Chapitre 67

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Nous sommes assis depuis un moment a table. Baltazar est a ma droit et Gael a ma gauche. J'aimerais bien avoir Baltazar sur mes genoux. J'aimerais avoir accès a lui. Je sais que je serais plus calme. Gael m'a déconseillé d'agir ainsi. Ailleurs, j'aurais pu, mais nous ne devons pas donné de bois au feu à la haine des renards a notre encontre. Je ne laisse rien transparaitre. Nous attendons dans un silence lourd. Les portes s'ouvre sur Alice et William.

- Enfin, nous allons pouvoir commencé le repas, dit Ariel.

Elle sourit a Alice de façon si forcé. Intéressant de voir qu'Ariel déteste sa propre enfant. 

- Mère, il ne fallait pas. Je ne suis pas l'invité d'honneur mais bien Aumatia. C'est un manque de respect de la faire attendre ainsi, dit Alice en me souriant.

Elle savait les écarts de ses parents. Elle ne nous avaient pas prévenu. 

- Je vois que ton âme sœur t'accompagne. Tu aurai pu le laisser chez toi, dit Fabien comme s'il allait gerber. 

- Père, cesser vos manques de respect. William est mon âme sœur. Il est dans son droit de m'accompagné. Vous cessez votre manque de respect, dit Alice.

Ils prirent place. Le repas commença dans le même silence pesant. Le repas était délicieux, mais il avait un gout amer en arrière gout. 

- Avez-vous fait bon voyage? Demanda Alice a mon encontre.

Elle me sourit bien gentiment. 

- Oui, Alice, le voyage ne fut pas trop long. Cependant, des modifications suit a notre arrivé on du être fait, dis-je.

Ces yeux se sont arrêter sur mon cou. Le marquage de Baltazar est visible avec ma robe. Nous portons tous une variant de nos tenus lors de notre arrivé. 

- Tu portes une nouvelle marque. A qui sont ces crocs? Qui a eu l'honneur de te mordre? Je sais que tu ne laisse personne te mordre sans vraiment le considérer avant, demanda Alice.

Je pris la main de Baltazar. Il me sourit comme un vrai gamin ayant gagner le gros lot. 

- J'ai refermé et solidifier mon lien avec Baltazar. Il est officiellement mon oméga. Il est protéger par ce lien sacré et nous pouvons rester ensemble. Je n'aimais pas la distance entre nous, dis-je.

- Oh, c'est tout un honneur que tu as donné a Baltazar. Je sais que ce type de lien est sacré comme celui des âmes sœurs, dit Alice.

- Tu as déjà assez de loup auprès de toi. Plus que cela serai inconvenant, dit Ariel.

- Mère, je tiens a vous gardé en vie. Cesser de manqué de respect a ma fille. Elle est l'héritière de loup. La futur monarque de tout une race. Je sais que selon bien des critères, ma fille n'est pas digne pour vous. N'oubliez pas une chose. Ma fille est la plus puissante dans cette pièce, même Gael, que nous connaissons tout pour être le loup le plus puissante depuis des siècles plie le genou devant elle. Reconsidérer votre comportement face a elle, dit Alice.

Le choque était visible sur le visage de mes aïeux. Un silence revient assez rapidement. Nous avons mangé.

Les portes se sont ouvertes. Je relevais le nez de mon repas. Une apparition digne des célestes entra dans la pièce.

- Magnus, nous vous attendions plus, dit Ariel.

- Ariel, je ne voulais pas manquer d'être introduit a la princesses. La fille la plus jeune de mon amie, dit cet homme.

- Magnus, je suis heureuse de te voir, mais je trouve mal venu que tu arrives en plein repas, dit Alice.

Son regard se posa sur elle. Il lui fit un sourire fulgurant. 

- Je pensais que tu serais heureuse de me voir. Tu es tout autant magnifique que le jour ou tu as été promis a Jacob. Je vois que William est enfin sortir de l'ombre. Ton bonheur est enfin visible pour tous. Je suis heureux. Vous voir vous tourné autour sans laisser libre court a vous instinct était un véritable supplice, dit Magnus en prenant place a table.

Il nous ignora encore un moment avant de me sourire. Jamais je ne m'était senti aussi invisible depuis ma mutation en louve. J'ignore pourquoi je me sentais a ce point insulter. Tout en moi voulait avoir son attention sur moi. Jamais je n'avais autant voulut quelque chose. Je me sentais tellement bizarre. 

- Je vois que ta fille a hériter du coté de son père plutôt que tu tiens, Alice. Nabi, Kobe, Andrei, Sergei, je suis heureux de vous revoir. Je me demande cependant les raisons de votre présence. Wow, Gael, il y a longtemps que l'on c'était vu. Au moins, 700 ans, tu n'as pas changé, toujours un véritable molosse. Mes yeux ont perdu leur efficacité ou bien, tu portes le marquage de ton âme sœur. Tu a enfin trouver la jeune louve qui va te supporte pour le reste de l'éternité. Pitié que la déesse lui vienne en aide. Pauvre enfant, dit Magnus en riant. 

Un violent sentiment de jalousie me pris au trip. Je n'aime pas qu'il connaisse autant sur mes loups. La familiarité avec la quel il leur parle me fait voir rouge. Il ignore totalement ma présence en plus. Je relâche mon aura a pleine puissance, même mes loups se retrouve a terre. Ils m'offre tous leur cou. Il me regarde totalement surpris. 

- Magnus, c'est bien ça. Je ne te permet pas d'insinuer que je ressemble a Jacob. Il n'est rien. Un loup si mal dans sa peau qu'il n'est rien contrairement a moi. Je suis une louve de sang pur. Ceux autour de moi sont mien. Je n'aime pas la familiarité avec la quel tu communique. Je suis la princesse héritière. Je ne l'ai pas choisi. Tout comme je n'ai pas choisi d'être ici en se moment. Je fais mon devoir d'alpha. Mon devoir est de veiller sur les plus faible. Vous, dis-je en me tournant vers mes aieux.

- Oh tout doux jeune louve. Je connais tes loups parce que nous nous sommes croisé. Je savais certain loup ont le sang chaud, dit-il en riant. 

Il ne me prenait vraiment pas au sérieux celui-là. 

- Magnus, tu ne dois pas t'attendre a avoir un semblant de bon sang venant d'une louve, dit Ariel. 

- Oh Ariel, ne dis pas cela, dit Magnus. 

- Je dis simplement la vérité. Tu te montrais courtois avec ses loups. Les loups manque sérieusement de savoir vivre, dit Ariel. 

Il continu de m'ignoré. 

- Je ne vous permet plus de m'insulter du a ma race. Je n'ai qu'un seule envie. Vous arraché la tête, mais je refuse de gout au sang ignoble qui coule dans vos veines. Je ne voudrais pas non plus l'infliger a l'un des miens. Je pars pour la suit de la tourné se soir, dis-je.

Je me suis levé pour sorti de la pièce.

- Tu n'as pas l'autorité pour changé les dates de la tournée. Tu dois suivre la planning mis en place, dit Jacob.

- Tu veux parier. Je peux très bien en finir avec ta vie comme j'aurais du le faire depuis notre première rencontre. Alors la, je ne serais pas obliger de me taper tout une tourné loin de ma famille. Je pourrais rétablir la tradition. En plus, de la véritable puissance que nous sommes les loups. Tu n'es rien Jacob. Quand le comprendras tu, dis-je en sortant de la pièce.

Nous sommes sorti de la place. Je mutais et courais jusqu'à la forêt. 

La reine de sangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant