Chapitre 32

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" Je me retourne dans mon lit, le bruit des casseroles qui s'entre-choque me sorte du sommeil. Agacée, je monte la couverture par dessus ma tête, comme si cela allait atténuée les bruits. L'odeur des crêpes en train de cuirs montent rapidement du rez-de-chaussée jusqu'à à mes narines. Je remonte la tête par-dessus ma couverture, un sourire accrochée aux lèvres, je me décide enfin à ouvrier les yeux, question de me motiver à sortir du lit et aller engouffrer une montagne de crêpes, je veux me retourner sur le côté, mais quelques choses me retient, j'ai mal, très mal. Je tente de me redresser mes une douleur me fusille la colonne et remonte jusqu'à mon crâne, j'hurle littéralement et me tord de douleur

J'ouvre les yeux et me crispe de douleurs, j'ai du mal à laisser mes yeux ouvert, j'ai l'impression d'être passée sous un rouleau compresseur.
Je cesse de bouger et me concentre sur ma respiration, je regarde le plafond et réprime une envie de pleurer en voyant ce maudit plafond de bois pourris, au lieu de jolie plafond blanc crème de ma chambre.
Ce rêve semblait tellement.. Tellement vrai.
Je pouvais sentir l'odeurs et la recette de pâte à crêpe de mon père, avec un soupçon de cannelle. Je ressentait vraiment la douceur de mes draps, l'odeur de rose qui flottais habituellement dans ma chambre. Je me demande si ses toujours le cas. Si il y a toujours mon odeur qui flotte dans l'air, ou si elle a disparue avec moi.

Mais au lieu de tout ça, je suis étendue au pied des escaliers poussiéreux, sur un plancher dur comme le roc et une odeur de moisis qui remplace celle de la rose. Et en plus, avec l'impression d'être cassée en mille morceau.

D'ailleurs, je n'avait aucune idée sur ce qui c'était passée et du pourquoi j'étais dans cette position. Le corps complètement endoloris.
Jetait tombée ? Andrew ma punit ? Qu'est-ce-que j'ai bien pu faire ?
Je creusait ma cervelle, à la recherche d'explication mais rien.
Mise à part la douleurs et une sensation nauséeuse, ses le vide totale.
J'essaie de revenir en arrière, mais ses le néant, le noir.

Je souffle et tente de me retourner sur le côté pour pouvoir me redresser plus facilement, mais la douleurs est tenace et ne veux pas lâcher prise sur mon corps tout entier, je lâche un juron et abandonne, bon sang, qu'est-ce-que j'ai foutue non de dieu.

La douleur commençais de mes chevilles et remontais jusqu'à ma tête, j'ai l'impression qu'on m'a arrachée le bassin, pour le remettre à l'envers, et de même pour tout le reste de mon corps.
Je lève légèrement le bras, ce simple geste me fais trembler d'effort, j'ai des écquimoses aux couleurs de l'arc-en-ciel qui parsemaient mon bras droits, j'imagine que ses pareil pour le gauche.
Je cesse tout effort autant physique que psychique, car la sensation de nausées se fait plus forte et je n'imagine même pas là douleurs que vomir causerait à mon corps.

Je me concentre sur ma respiration et tente de la faire régulière, j'ai l'envie de dormir qui me prend, je peine à la combattre.
Au moment où j'étais sur le point de la laisser m'emporter une voix prêt de mon oreille me fait sursauter et me procure en même temps une onde de douleurs qui me parcoure le corps entier. Cette voix..

" - Pas trop mal dormis ? Je fixe l'homme qui se tient devant moi, et tout me revient. Espèce de connard, il m'a balancé du haut des escaliers, comme un malade mental. Il a de la chance que j'ai du mal à bouger, car sinon je lui ferait ravaler se petit sourire en coin assez rapidement. Je plisse les yeux et lui envoie le regard le plus mauvais que j'arrive à produire, Oh, il jette sa tête vers l'arrière, ne fait pas cette tête, tu sais autant que moi que tu le méritais. Bon, " mérité est un très grand mots, mais je ne laisse personne me manquer de respect, il me regarde durement dans les yeux, puis reprend son sourire, mais maintenant tu l'a appris à tes dépends.

Je voulais lui cracher les insultes les plus acides que j'arrivais à trouver, mais ma voix n'était qu'un petit couinement faible.
Tout me revenait en tête, d'un coup. Andrew partit je ne sais où, ce malade et papa à la télévision.

" Aucune piste " il n'avais vraiment rien, cette nuit là, nous avions disparu comme des fantômes et maintenant, je suis complètement disparue de la carte. Et je suis, je ne sais moi-même où, sur la foutu carte.

Je n'aurais jamais du faire confiance à Alec. J'aurais dû partir de mon côté, appeler la police. Ma conscience me rappela que c'était en partit grâce à lui, que j'avais réussis à sortir de cette maison, mais il avais tout fait foirer. Après tout, ils sont frères. Ils sont liés par les sangs, ils devaient bien avoir un lien de ressemblance quelque part, puisque ce n'était pas physiquement, c'était forcément mentalement.

Alec.

Je me demande si il va bien, comment il se porte depuis que je l'ai laissé -, on peut aussi dire abandonnée -, attaché dans sa chambre. J'espère que Yan lui donner à manger ou je ne sais quoi.

Il doit être enquilosé au dernier degré, après tout se temps attaché à un lit.
Je me remémore mon premier séjour dans la cave et frisonne d'horreur et préfère repousser se souvenir loin dans ma tête.

-" Oheh, je te parle, Yan me prend le bras et essaie de me relever en tirant dessus, je hurle de douleur et il me laisse retomber lourdement, oh, sa fait mal ?

Oui sa fait mal.
Tout mon corps vibre et je me sent affreusement mal, l'envie de vomir revient en force et je n'arrive pas à le retenir cette fois.
Mon corps se crispe sous les spasme et mon estomac se retourne, Yan fait un saut vers l'arrière et éclate de rire,

Il rit ? Vraiment ?
Il tape dans ses mains et me regarde visiblement amusé par le spectacle que je lui donne.
Je tremble de partout, ma tête tourne et je me sent tout d'un coup encore plus faible que je l'était plus tôt.

- Shit, Yan s'assoit sur une marche, ne me dit pas que t'a fait une commotion cérébrale Cory.

Il dit sa avec une telle désinvolture que je ne sais pas si il se fou de moi ou pas.
Les vomissements cesses finalement, et je m'écroule sur le dos.
Ma vision se brouille et la dernière chose que je me souvient est le visage d'Yan au dessus de moi.

[...]

J'enfonce un peux plus ma tête dans l'oreiller, une odeur métallique vient titiller mes narines.
Je me remémore les dernier événement et soupire,
Je n'est jamais fait de commotion mais je croit que ses assez grave.

J'ouvre les yeux et regarde alentours, dès mur blanc, un plancher de bois franc.
Je ne suis pas dans la chambre d'andrew ni dans celle des invités.

Quelque instant je doute d'être encore dans la maison, je me redresse difficilement et écarquille les yeux tout rond,
J'avais saigner ? Les draps étaient tâches de sang, sèches.
Je jette à nouveau un regard paniquée autour de moi et la réalité me frappe,
Je suis dans la chambre d'Alec.
Mais Alec n'y est pas et j'ai prit sa place sur le lit.
Mais où est-il ? Il ses échappé ? Je doute un instant qu'Andrew est pu le tuer. Un frisson d'horreur parcoure mon corps à cette idée.

Bon sang, mais où est Alec.

voilà ! :)

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Je suis pas super fier moi héhé.

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