Chapitre 4

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Je ne pourrais pas dire sa fais combien de jours que je suis ici, car je ne fais que dormir tout le temps. Je croit que sa fais environs trois jours, car à chaque fois qu'il était venu pour mes besoins, il avait des vêtements différents.

J'avais comme toilette un vulgaire seau, il me détachais et je fessais se que j'avais à faire. C'était un vrai humiliation, il ne daignait même pas se retourner pour me laisser un peu d'intimité. Je mourais de faim et mes poignets était endoloris, je tentait d'étendre mes " pause pipi " le plus longtemps possible mais il finissait par le réaliser et de me relever lui même.

Lors d'un enlèvement, les premiers 48h sont crucial et je sais que sa fais plus longtemps que sa que je suis ici. Je commence sérieusement à paniquer.
La police doit être en route, il doivent avoir une piste, ou quelque chose je ne sais pas !

La porte s'ouvre et comme à chaque fois mon corps se raidit et je tremblote légèrement, je déteste avoir l'air si faible devant lui.
Il descend les escaliers qui grincèrent sur son passage et il s'avance vers moi, son éternelle sourire accroché aux coins des lèvres.

- J'imagine que tu commence à avoir faim. Je voit bien le ton de moquerie dans sa voix, malgré mon estomac qui cri famine je secoue vigoureusement la tête.

Il pouvait y avoir glisser n'importe quoi.

- Non ? Il pointe mon ventre amusé, tu devrait le dire à ton estomac.

En effet, celui-ci hurle comme une baleine échoué.

Il sort un petit couteau suisse dans sa poche arrière, me contourne et je sursaute lorsqu'il coupe mes liens d'un coups sec, je ramène rapidement mes poignets vers l'avant et les frottes vigoureusement, une ligne rouge et enflée marquais la peau de mes deux poignets.

Sans ménagement il me prit par le bras droit et me relève d'un coup sec, après trois jours à être assis, mes jambes sont molle et engourdis, j'ai du mal à le suivre dans les escaliers.
Je gravit difficilement les marches, une fois en haut je suis aveugler par la clarté.

L'homme me pousse vers l'avant et je clignote des yeux pour essayer de m'adapter à la lumière, comparer à la cave qui est très sombre, ici ses très éclairer.

Après quelques seconde, mes yeux s'adapte et je peux enfin découvrir la pièce dans laquelle je suis, c'était une cuisine moderne, avec un poêle, frigidaire en inox.
Il y avait un hilo en L noir, avec des tabourets rouge, il m'en pointe un.

- Assis toi.

Je vient de passer je ne sais combien de temps assis, il devait se douter légèrement que j'avais les fesses endoloris.
Je fut hésitante à refuser, mais je décide d'obeire pour cet fois, je n'avais pas envie de me le mettre à dos la première journée qu'il me sort de cet cave. Et puis son tons était sans réplique.

Il dépose un plat de pâtes devant moi, mais je refuse d'y gouter, même si je salive déjà à l'idée d'en goûter une seule bouchée.

- Mange, avant que se soit froid, il me pointe le plat de pâte

- Je n'est pas faim. Je répond d'une voix qui essais d'avoir l'air catégorique

- Mon cul que t'a pas faim ouais, mange, il c'était retourner vers moi et me fixe d'un œil mauvais,

- Mais, je n'est p-..

- Ferme-là et mange, merde ! Il frappa son point contre la table, et je prit aussitôt ma fourchette, bon sang, il devait être complètement fou ce mec.

Je roule un peu de pâte autour de ma fourchette et le porte tranquillement à mes lèvres, un sourire se dessine sur les siennes.

Je reprit vite une autre bouchée, me souciant peut de ce qu'il aurait pu y mettre, la faim m'avait fait perde toute volonté.

- Bien, il s'assit sur le tabouret prêt de moi et déposa sa tasse de café sur le comptoir, je vais maintenant t'expliquer certaines choses, tu doit avoir un tas de questions. Je veux que tu comprenne, que tu est à moi, je t'ai choisi. je faillis recraché mes pâtes, Tu doit faire tous se que je te dit, et n'ose même pas me désobéirent ou même me manquer de respect, Il planta son regard dans le mien, et lorsque je dit tous se que je te demande, ses bien tous se que je te demande. Il dit cette dernière phrase en posant sa main sur ma cuisse, alors là je recrache vraiment les pâtes que je n'avait pas réussis à avaler, Tu comprends ?

Je pousse sa main complètement dégoûté et bondit du tabouret et je m'éloigne le plus de lui.
Comment osait-il me toucher.
Obéissance mon cul, personne ne va me toucher.

- Je voit tu n'a pas totalement comprit, il rit, revient immédiatement ici. Il t'apota sa cuisse et m'invita a venir m'y asseoir, alors sa non.

Je secoua négativement la tête, et son sourire disparu.

- Coryanne, dit-il en fronçant les sourcils, tu ne veut quand même pas être punit déjà ? Un sourire mauvais réapparut sur ses lèvres, pas que sa ne me plairais pas.

Punit.
Le mot résonnait amèrement dans ma tête, non je ne voulait certainement pas être punit.

Je regarde a ma gauche et vit une porte d'entrée a à peine quelque mètres, l'homme suivit mon regard et arque un sourcil, visiblement amusé par la situation

- N'y pense même pas. Vient maintenant, je ne te le dirait plus. Ne me force pas a venir te chercher, chérie.

Je m'avance tremblante vers lui, son sourire s'élargit,

Une fois assez prêt, je saisit son café et lui balança en pleine figure, il hurla de surprise et se mit a gesticuler dans tout les sens.
Je m'élance vers la porte, rempli d'espoirs, mais ceux-ci fut vain car, après avoir tournée la poignée dans tout les sens je réalise que cette fichue porte etait fermé à clé.

Je me retourna paniquée et vit l'homme debout a quelques mètres de moi, le visage déformé par la colère, tient son sourire à disparu.

- La prochaine fois que tu voudras me blesser avec un café, assure toi qu'il est chaud d'abord.

Voilà ! c:

Avis ?

Commentaire ?

Désoler pour les fautes >.<

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