Chapitre 22

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- Je t'ai manquer Cory chérie ?

Se visage..
Sa voix..

Merde c'était bel et bien réel. Il était là, il nous avait putain de retrouvés.
Mais comment ?

Je regarda ses trait, comme paralysée.
Cette personne qui ma tant fais souffrir. Ce visage que je croyais ne jamais revoir.
Merde, sa ne fessais que deux jours. Deux putain de jours que j'était enfin débarrassée de lui.

Ses yeux, était sombre pratiquement noir, et brillait de cette éternelle brillance malicieuse.

Il était le diable incarné.

Ses seulement lorsque qu'il agrippa mon poignet pour m'extirper de la voiture, que je retrouva l'usage de mes membres, pétrifier jusque là et sortit de ma torpeur.

- Non ! Non ! Lâche-moi, lâche-moi ! Hurlait-je

Je me débattais comme une arrangée, lui assénant des coups violent au visage, un violent coup de pied le fit lâcher prise et tomber au sol.

J'en profita pour sortir par l'autre porte, et courir dans la direction opposer.

Je n'avais nul part où aller. L'autoroute était dans la direction opposée. Il n'y avais que la toilette.

Je n'avais Pas le choix, je couru vers celle-ci et m'enferma à clé.
Je me tenais à peine debout, tous se passais tellement vite.

Je pleurait toute les larmes de mon corps, je ne pouvais pas revivre tout sa.. Je ne le supporterais pas.
Merde, j'aurais du appeler la police.. J'aurais du.
Et Alec.. Je lui fessais confiance.
Il n'était donc pas mieu que son psychopathe de frère.
Mais j'y avait crue. J'avais crue en lui.
Je n'aurais pas du.

Des coups ce fit entendre à la porte,

-Coryanne ? Je sais que tu est là. Roucoula une voix menaçante. Si tu ouvre maintenant, je ne te ferais pas de mal.

Le peu de temps que j'avais passer avec ce monstre, était suffisant pour que je sache qu'il me mentais. Il mentais toujours.

Règle numéro 1, ne fais confiance a personne.

Les coups fut plus fort et insistant.

- Cory, tu ses que je peut défoncer la porte sa ne sera qu'une question de temps. Grogna-t-il

Je ne lui donna aucune réponse, je me tenais la devant la porte à trembler et pleurer, priant qu'elle lui résiste.

Mais je savais bien que non. Je savait bien que c'était une question de temps. C'était une vieille porte en bois toute pourrit. Quelque avec deux fois moins de force que lui y arriverait.

Tout d'un coup, un violent coup s'abattit sur la porte, puis un second, je ne pu m'empêcher de crier.

- T'entendre crier m'avais manquer Cory ! Je t'ai chercher depuis un bout de temps chérie.

Espèce de psychopathe.

Le loquet de la porte allais bientôt céder.
Je m'assieds sur le lavabo et posa mes pieds sur la porte, poussant de toute mes forces pour la garder fermer.

Au quatrième coup, le loquet cassa et tomba sur le sol.
Les jambes tremblante, je poussa sur la porte qui était maintenant a moitié ouverte.

D'un coup d'épaules, Andrew réussit d'ouvrir la porte, malgré mes efforts acharner à la garder fermer.

Il s'approcha de moi, plus menaçant que jamais.

- P-pitié.. Pleurait-je

- Cory.. Sa été si facile.

Je recula sur le lavabo, mais Andrew me prit par les jambe et me rapprocha de lui. Je le frappais de toute mais forces sur son torse, il lâcha mes jambes et attrapa mes poignets.
Il les relâcha finalement, pour mattraper une mèche de cheveux et approcher ma tête de la sienne.

Il approcha sa bouche de mon oreille et me chuchota:

- J'espère que ta profiter de tes vacances, car elle son terminer.
Je vais te le faire payer, Cory. Et pas qu'un peut.

Je posa mes mains sur son torse, tentant de l'éloigner de moi, mais il avait toute une autre idée en tête.

Il déchira mon pantalon de pyjama, comme s'il déchirais un bout de papier.

- Tu seras mieux sans sa, pas vrai ?

Il prit le bas de mon t-shirt, et le passa au dessus de ma tête.
Il me contrôlais comme une poupée de chiffons. Malgré mes efforts j'était a sa merci.

J'était tellement pitoyable.

Il ne me restais plus que ma culotte, je tentais de cacher ma poitrine avec mes bras, mes joue était baigner de larmes, je ne cessais de le supplier d'arrêter.

Il enleva son jeans et baissa son boxer.

- Non.. Pleurait-je

- Cory.. Tu m'a tellement manqué. Deux jours sans toi ses long tu sais ?

Non, sa ne pouvais pas recommencer. J'était si près de la libertés.. De revenir cher moi..

Il m'approche violemment de l'extrémité du lavabo, seulement une partit de mes fesses était encore sur celui-ci.

Je me tortillais comme un vers, il tentais d'enlever ma culotte mais je ne lui en laissa pas la chance.
Je n'allais pas lui donner la tâche si facile.

Bien vite je reçu une gifle, mais celle-ci ne me calma pas, loin de la.
Elle alluma ma volonté, je me débâtît que plus.

- Suffit ! Hurla-t-il, Arrête de te débattre, tu n'auras que plus mal !

- Lâche-moi ! Espèce de monstre psycopathe. Jamais je n'arrêterais de me débattre ! Jamais je ne te laisserais me toucher de mon grée! Criait-je

Il fronça les sourcils, probablement aussi choquée que je l'était par mes propos.

- Oh mais Cory, je ne te donne pas le choix.

Il ré-entreprit d'enlever ma culotte, mais encore une fois je le repoussa fortement,
le frappant de toute mes forces.

- Lâche-moi ! Hurlait-je

Cela ne servait à rien de crier, sa animais son ardeur, il aimait sa. Je le savait, je le voyait dans ses yeux.

Il fini par arriver à enlever ma culotte, je poussa un hurlement en replient mes jambes sur moi.

- Vien par ici. Dit-il d'une voix rauque

Il me projeta sur le petit plancher de la cabine, et monta en califourchon sur moi, tentant bien que mal d'ouvrir mes jambes que je gardais serrée l'une contre l'autre.

Il pinça l'intérieur de ma cuisse, instinctivement j'ouvrit celle-ci en poussant un hurlement.

- Un jour tu les ouvrira sans que j'ai a te le demander. Chuchota-t-il

L'inévitable se produit, donnant de violent coup de bassin en moi.

J'hurlais jusqu'à en perdre la voix, quand à lui, il poussait des grognement digne d'un animal sauvage.

Ses coups était de plus en plus violent, et de plus en plus profond.

Il pesais de tout son poids sur moi, j'étouffais ma tête tournais, je perdais peut a peut confiance.

- Cory ! Reste réveiller ! Cria-t-il, ce n'est pas fini. Grogna-t-il

Et le noir fut.

Voilà le chapitre 22 :)

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