Chapitre 18

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Je poussa le corps inerte d'Andrew sur le cotée, il retomba sur le dos, les yeux clos.

Je n'arrivais pas à le croire, mon regard passais du visage inerte de mon persécuteur à celle sous le choc d'Alec.

- Alec ? Demandait-je la voix tremblante.

Aucune réponse, son visage était pâle et il ne laissais paraître aucune émotion.

- Alec ? Répétait-je

- Il faut partir. Dit-il simplement.

Il lâcha son bâte, et me regarda dans les yeux pour la première fois depuis qu'il était revenu,

- Tu l'a tué ?

- Non. Il fronça les sourcils, simplement assommée, je croit.

Il croit.

- Il faut partir, maintenant.

Il s'approcha de moi et me tendit la main, tremblante, je la prit et me leva du lit.

- Prend tout ce que tu peut, vêtement, argent, tout ce qui peut être utiles. Dit-il

Sa y est, ont partaient. Je quittais cette endroit maudit.

- Alec, où allons nous ? Demandait-je

- Aucune idée, mais nous devons partir au plus vite.

Il lâcha ma main, et descendit les escalier a toute vitesse, de mon coter je prit des valise qui trainais dans le coin de la chambre, et y mît tout ce qu'andrew m'avait acheter.

Soit, sous vêtements, pyjama, t-shirt, pantalons, brosse à dents et quelques produit de beautés.

Je fouilla dans les tiroirs de la commode a la recherche d'argent, mais en vint.

Mais ou Andrew avait-t-il pu bien mettre son porte-feuille ?
Je balaya la chambre du regard, puis aperçue le pantalons qu'il avais jeter quelque minute plus tôt.

En fouillant dans les poche arrière, je trouva son porte feuille, et a mon bonheur il était bien garnie.

J'avais pu compter au moins cent-cinquante dollars.
Qui pouvait bien se promener avec pratiquement deux-cent dollars sur lui ?

Alec revint dans la chambre, deux sac de nourriture dans chaque mains.

- Ready ? Demanda-t-il visiblement nerveux.

J'acquiesça et le rejoint.
Son regard de posa sur le corp encore immobile de son frère.
Son regard se brouilla, et je pût y voire de la tristesse.

- Alec, je..

Il se retourna vers moi le regard reluisant.

- Partons, avant qu'il ne se réveille. Dit-il précipitamment.

Je le suivit dans l'escalier, il prit des couvertures et deux oreillers dans l'armoire et nous sortons a l'extérieur, je me dirigeais vers sa maison, mais il m'arrêta,

- Nous allons prendre sa voiture, la mienne est chez le mécanicien, et sa l'empêchera de partir a nos trousse, du moins pour un certains temps.

Il mît ses sac a l'arrière, prit ma valise pour la mettre dans le coffre.

Il monta du coter du conducteur, et moi du passager, a toute vitesse il traversa le champs et s'arrêta devant chez lui.

- Je vais me prendre des vêtement, attend moi ici.

- D'acco'..

Il ferma la porte avant que je finisse ma phrase.

SicknessWhere stories live. Discover now