Sickness

Chapitre 5

J'ai envie de me gifler moi-même tellement j'ai été stupide. Bien sûr que non qu'il n'a pas laisser la porte d'entrée déverrouillée.
L'homme se rapproche, son visage est crispé par la colère, il n'est plus qu'à quelques mètres. Je doit agir vite.

Il tend le bras vers moi, mais de mon côté je saisis la lampe qui était posée se la petite table, et la lui fracasse sur la tête, la lampe se casse et je croit que je lui est fait une entaille à la tête car un filet de sang coule sur son front.

Il perd l'équilibre et se penche sur le côté, lâchant un cri de douleur au passage.
Je saisis ma chance et prend l'ouverture qu'il avait fais à sa gauche, j'évite de juste son bras et cours vers les escaliers.

Ces complètement stupide, mais ses le seule échappatoire que je voit.

Je commence à gravir les escaliers de marbres brun pâles, lorsqu'il me saisit la cheville et me fait violemment tomber face première dans les marches.
Les larmes coulaient abondemment sur mes joues, c'était plus fort que moi.
Mais je n'allais tout de même pas me laisser faire si facilement.

Je lui donne un violent coup de pied, qui se voulait au visage, mais qui l'atteint à l'épaule.
Moi et mon sens du visou ! Peut importe, le résultat fut le même et Il bascule par derrière, et tombe à son tour sans ménagement dans les marches.

- Sa fait mal hein ? Je cri hors de moi

Je reprit mon ascension en vitesse, une fois à l'étage, je m'enferme dans la première pièce à droite que je voit et je tourne le loquet en vitesse.
Je jette un regard à la ronde mon cœur martèle ma poitrine,

Il y avait un énorme lit en baldaquin, quelques commodes et une penderie, juste à côté du lit il y avait une fenêtre, je court vers celle-ci, je tente part tout les moyens de l'ouvrir mais elle ne cède pas. Il a tout verrouiller se con.

C'était le silence totale, mise à part ma respiration saccadée, ont aurais pu entendre une mouche voler.
Je m'approche de la porte et tend l'oreille,
Je recule juste assez vite pour ne pas recevoir la porte en pleine figure, elle venait de s'ouvrit à la volée.
J'hurle d'un mélange de surprise et de peur et fit un bond en arrière.
Bien-sûr il avait la clé.

Il s'avance vers moi, d'une démarche ferme.
Plus il avance plus je recule, il fait un énorme pats vers moi et je bascule sur le lit, un affreux rictus vient titiller le coin de ses lèvres.

- Oh? Tu veut tout de suite passer à l'étape supérieur ? Je tente de me relever mais il me pousse fortement, tu aurait dû le dire plus tôt.

Il monte en califourchon sur moi, je tente de le frapper a l'aide de mes poings, mais il me prit les poignets et me les mît de chaque coter de ma tête.

- Je suis désoler ! Stop ! Les larmes coulaient le longs de mes joues,

- Mais Cory.. Sourit-il, Ses toi qui m'a mené jusqu'ici.

Il se relève et je soupire de soulagement, il replace son jeans avant de venir me saisir par les cheveux, il ne me laisse même pas le temps de me redresser qu'il me traîne déjà hors de la chambre.
J'essaie du mieux que je peut de me remettre sur mes pieds mais je n'y arrive pas.
Il me traîne dans les escaliers et ses mon dos qui en prend un coups, je ne peut pas retenir les gémissements de douleurs qui sortent de ma bouche,

- Sa fait mal hein ? Je me retient de lui cracher toute les insultes que je connais.

Il m'emmena vers la cave et cette fois, il me laisse me remettre sur ses pieds, la balade m'avait un peu sonnée,  mais il ne me laisse pas le temps de reprendre mes esprits qu'il ouvre la porte et m'entraîne déjà au sous-sol,

L'humidité vient me fouetter le visage, une fois en bas il me pousse pratiquement sur la chaise.
Il m'attache avec les cordes sans ménagement et les serres beaucoup à trop fort.
Une fois qu'il avait fini, il se redresse et s'éloigne en riant,

- Croit moi Cory, tu va regretter de n'a pas avoir mangée tes pâtes.

Voilà ! :)
Avis ?