Chapitre 7

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L'homme m'avait ramenée à la cave, mais heureusement cette fois il ne m'avais pas attachée. J'ai même eu droit à un petit matelas, comme ceux qu'on emporte en camping. Pas plus épais que deux centimètre."

" Tu m'appartient "
Cette phrase résonne et reste encrée dans ma tête.
Je n'appartiens et n'appartiendrai jamais à personne.
Comment pouvait-il penser, meme seulement un instant, pouvoir posséder une personne comme bon lui semble.
Gâcher la vie de quelqu'un comme sa ?

Je me retourna sur mon matelas pour la énième fois et soupira, bien sur, j'avais vérifiée si la porte de la cave était bien fermée à clé, mais elle l'était.

Si il croyais que j'allais rester et lui obéir docilement, alors la il se mettais le doigt dans l'œil.

Je me releva et comme ça à arpenter la cave du regard, je remarqua un tableau, au fond de la pièce peu éclairer et m'y dirigea.

Je resta bouche-bée.

Des photos de jeunes filles, était étalées sur celui-ci, Sophie Beaulieu, Celia, Carine..

C'était Toute les jeunes filles qui avait été portée disparue.

En effet, jamais je ne sortirais d'ici.

Je retourna m'affaler sur le matelas, et enfoui mon visage dans mes mains.

[...]

Je n'avais pas beaucoup dormit cette nuit, j'avait été assaillit de cauchemar plus glauque les un que les autres.

- Réveille toi.

J'ouvrit difficilement les yeux et sursauta a la vue de l'homme, debout devant moi.

- Tien, dit-il en posant un assiette a cotée de moi, je vais en ville acheté quelque trucs. Reste tranquille, je revient dans environs deux heure. Il tourna les talons et remonta l'escalier, il me lança une fois en haut, Soit sage mon ange. Et mange tout.

Il ferma la porte, et je jeta un regard vers l'assiette qu'il avait déposée auprès de moi
œuf, fraise et pain grillée.

Je repoussa l'assiette et me rallongea sur le matelas, qu'allait-je faire pendant deux heure ?

[...]

Je tandis enfin la porte claquer, je sauta sur mes pieds et patienta.

La porte grinça et son visage apparut dans l'embrasure,

- Vient. Ordonna-t-il du haut des escaliers.

Je le rejoignit à l'étage et il m'entraîna  a la cuisine,

- Voilà. Dit-il en désignant trois sacs alignée sur la table. Ouvre-les.

Vêtement, t-short, pyjama, brosse a dent... BROSSE A DENT.

Une brosse à dent ! Ce devait être la meilleur chose qu'il mettait arrivée jusqu'à maintenant, je ne mettais pas brosser les dents depuis qu'il m'avait emmenée ici, imaginer mon haleine.

Dans le dernier sac il y avais.. Des sous vêtements, trop sexy a mon gout.

Un sourire apparut sur son visage.

Le mien disparue.

- Voyons, sa n pas l'air de te plaire ? Dit-il mesquinement.

Non, pas du tout.

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