Ne laisse pas ton passé te voler ton présent

101 7 1
                                    

He mes baka neko, oui je sais pas pu écrire depuis genre un mois mais ça va s'arranger .......enfin je crois !!! J'y peux rien mais mon père c'est Sherlock !! Père: Tu fait quoi ??? T'es sur quel site ??? J'espères que c'est pas Facebook ou un truc du genre ! Moi: Mais non papa, tu te trompes c'est rien ^^! 

Bon sur ceux, la routine : Bonne Lecture

Pdv Reader

Il était trop mignon, si pressé mais si doux à la fois !! Tout à coup, j'entendis un bruit. Je me redressais, quelqu'un descendait les escaliers. On se regarda avec Jean. OUPS !!! Je courus me rhabillait, il fit de même en se précipitant. On couru ce cacher derrière le ring. La porte s'ouvra et......je  vis qui !!???? Le Caporal Chef Livai, en tenue de "sport" venu s'entraîner. Oh mon dieu, s'il nous trouve, on est mort !!! Jean me regarda et me dit en chuchotant: 

-"Vas-y je vais faire diversion

-T'es sûr ?

-Sûr !"

Il sortit de derrière le ring comme s'il avait été penché à chercher quelque chose. Je me fondis dans l'ombre, et me rapprochai doucement des escaliers en prenant soin de garder un oeil sur Le Caporal. Il sembla surpris de voir Jean et lui demanda ce qu'il foutait ici (je vous jure il lui a dit comme ça), et Jean lui répondit avec assurance, qu'il été venue s'entraîner. Normal, quoi !! J'atteignis les escaliers et les remontai sur la pointe des pieds. Sitôt sortis, je partis en courant comme une dératé jusqu'à ma chambre. Pris une douche, me changeai et réfléchis à quels moyens j'allais recourir pour tuer le nabot !! Le poison ?? Hum, trop simple. Un lancer de poignard qui oh lalalala, à virer comme par hasard de sa cible et est aller se planter dans sa petite tête !! (Mouaahaha, rire machiavélique). Bon on se calme Denis et tu t'écrases pendant un bout de temps.

Le soir, je reçus un papier comme quoi je devais me rendre immédiatement dans les quartiers du nabot. Pfff, manquait plus que ça !!! J'arrivais et sans toquer à la porte, rentrait (NDA: Ouh la thug !!), le nabot était assis à sa chaise derrière son bureau en train de boire avec son petit air suffisant et arrogant son thé. Ce qu'il m'énerve !! Il me toisa et dit:

-"Je ne veux plus que tu t'approches de Jean.

-Hein !! (comment il le savait!)

-Je ne suis pas débile, je t'ai vue cet après-midi.

-Heu, je ne vois pas de quoi vous parlez (Grillez !!)

-Si, non seulement tu vois très bien de quoi je parle mais en plus tu vas m'obéir.

-Et pourquoi ??

-Je te propose un marché.

-...

-Laisse Jean tranquille, il doit se concentrer sur son entraînement, et non sur une vulgaire fille comme toi. Si tu arrêtes de le fréquenter, je te donnerais la permission de quitter l'entraînement vers la fin de semaine. Tu disparaîtras et nous trouverons bien une raison à ceux là.

-...(il m'avait blesser au plus profond de moi, mais il fallait que je quittes ce carcan maudit. De toute façon, Jean ne m'aime pas, j'en suis sûr!)

_Entendu ??

-Bien, c'est entendu."

Je quittai le bureau en silence. Une insondable tristesse s'abattit sur moi. Les larmes coulèrent. C'était fini. Je n'étais plus qu'une coquille vide. Sans âme. Sans humanité. J'étais devenu une machine. Tout fonctionner mais juste par automatisme. Dans le couloir sombre tout était silencieux, comme si le temps était arrêter et moi avec. Je courus à ma chambre, les larmes ruisselait sur mes joues, et me barricadai à l'intérieur. De toute la soirée je restait cloîtrais dans ma chambre, sanglotant sur mon lit. Ce était qu'un cauchemar, j'allai me réveiller, c'était certain !! Je détestai "les ailes de la liberté" mais j'aimais tellement Jean. Vous le savez, vous tous. Cette sensation de déchirement qui vous ronge de l'intérieur, vous ne savez plus quoi faire, vous n'arrivai pas aligner une pensée cohérente et surtout  vous avez constamment l'impression de faire le mauvais choix. Rien ni personne pour vous consolez. Et là vos démons resurgissent, vous pensiez les avoir chasser pour toujours !?? Faux, ils étaient encore là, bien cachés au fond de vous-même, attendant le moment propice pour venir hanter vos rêves, vos pensées et votre esprit. Je ne rien d'autre à dire. Je m'en vais dans cinq jours.

Le lendemain, je me réveillais, ou plutôt sortait de ma longue nuit blanche, les yeux bouffis de sommeil et les muscles engourdis. Je partis manger, en allant m'asseoir à une table, je croisai...oh NON !! Jean !!

Pdv Jean

En allant m'asseoir à une table, je croisai t/p, je tournai mes pas vers elle. Elle me jeta un regard vide. Et là, j'eu peur. Peur d'avoir mal fait les choses. Peur de l'avoir blesser sans m'en rendre compte. Mais surtout, peur de la perdre. Je ne voulais pas tout ça. Que s'était-il passer hier ?? Pourquoi avait-elle l'air aussi triste ?? Il y avait une telle douleur dans son regard. Tout s'était arrêtait, on était là tout les deux à se fixer dans un monde pas possible. On était là tout les deux dans un silence complet à se fixer comme des naufragés d'une tempête dévastatrice. Je voulus m'avancer vers elle mais un groupe me passa devant. Quand je pus enfin voir, elle avait disparue. Sa chaise était toujours tirée. Je vis Conny passer devant moi, et l'attrapais par le bras en lui chuchotant:

-" Tu sais ou est allé hier t/p ?

- Il me semble que le Caporal Chef, l'a convoquer dans son bureau pour quelque chose.

- Ok merci.

-De rien, mais attends tu vas où Jean ??!!"

Que lui avait dit ce satané caporal pour qu'elle soit comme ça ? J'allais à la chambre de t/p, toquai. Pas de réponse. Je toquai à nouveau. Pas de réponse. Furieux, je m'en allais. Plus loin, je m'arrêtais et donner un grand coup de poing dans le mur. Que ce passait-il ?? Y'en avais plus qu'assez, moi je voulais qu'une chose: consoler t/p et la tenir dans mes bras. C'était trop demander ?? Pourquoi fallait-il que le monde soit si injuste ? Y'en a marre !! Personne, n'est le mieux placé pour choisir ce que l'on doit faire !! Nos choix, se sont les nôtres et il n'y rien qui peut nous en détourner. Ma colère me passa d'un coup, abattu je me laissai aller contre le mur. Une larme coula de ma joue. Seule. D'autres vinrent. Bientôt un torrent de larmes salées se déversa sur mes joues. Que pouvais-je y faire à tout ça?

Pdv Reader

J'étais en train de pleurer, réfugiai dans les limbes de mon esprit quand, soudain j'entendis qu'on toquai à la porte, une première fois doucement. Je ne répondis pas, je savais qui était-ce. Il toqua une deuxième fois violemment et je l'entendis s'en allais,  (enfin je pensais) puis un gros boum !! Et quelqu'un qui s'affalait contre le mur de ma chambre, j'entendis aussi des sanglots. Alors, je me mis de nouveau à pleurer. Ma vie n'avait pas toujours était rose et Jean avait été un de mes rares rayons de soleil à me faire émerger et  sourire sans faire semblant. Pourtant, je n'avais pas le choix. Était lui ou ma liberté. Il valait mieux que chacun contenu de son côté. L'un finirait haut gradé et l'autre finirait dans la rue à chaparder et  voler pour survivre. S'était ainsi la vie. Chacun, se créer son chemin et essaye de franchir les obstacles semés.

Bon, voilà petit chapitre que vous attendez depuis presque deux mois, je suis désolé s'il est trop triste mais ce jour là en l'écrivant j'avais le blues, un peu de déprime et beaucoup de nostalgie. je pense que c'est une des textes le plus tristes que j'ai jamais écrit mais tout va s'arranger enfin je pense, on verra ^^! Au fait, j'ai posté il n'y a pas longtemps un OS, allez  la voir juste pour me faire plaisir et me dire si c'est elle est bien ou .... je ne sais pas moi trop longue, trop fleur bleue ou encore trop naïve. Enfin dites le dans les commentaires !! Sur ceux à la prochaine pour le nouveau chapitre mes petits baka neko, que j'adore !!!

(Snk) Jean x ReaderWhere stories live. Discover now