Chapitre 8

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Le corps de Damien était allongé sur moi et je pouvais attendre ses battements de son cœur

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Le corps de Damien était allongé sur moi et je pouvais attendre ses battements de son cœur. Il dormait profondément. Je n'en revenais toujours pas... Je l'avais marqué... J'ai voulu le faire pour ne pas que personne ne pose le regard ou touche mon Alpha. Il était mien. Je l'avais marqué, mais je ne lui avais pas donné plaisir de me marquer à son tour. Habituellement, c'était les mâles qui le faisaient en premier. J'ai souri intérieurement. Damien se réveilla tranquillement, en déposant un baiser sur mes seins. Son regard croisa le mien et dit :

- Bonjour, mon amour.

J'avais eu un frisson à l'entendre m'appeler comme ça.

- Bonjour... Bien dormi?

- Je ne me lasserais pas d'être dans cette position.

Je souri.

Damien s'était levé rapidement et avait regardé autour de lui.

- Damien?

- Chut.... Tu entends?

- Quoi?

- Les animaux sont énervés.

Je voyais des nués d'oiseaux volés dans la direction opposés de la maison. Qu'est-ce qui se passait? J'étais inquiète... Non... Mon âme-sœur me regarda et dit :

- Nous devons y retournés en vitesse....

- Qu'est-ce qui se passe?

- Tobias vient de m'avertir que ton amie est en train d'accoucher et ça ne se passe pas bien.

Mon cœur manque de s'arrêté.

- Mia?

Sans réfléchir, je me transformai et je parti à la course, suivi de Damien. Mia n'allait pas... Je devais être là... C'était mon amie, ma sœur de cœur! J'arrivai dans la maison en reprenant mon apparence humaine et je me dirigeai vers l'odeur de sang. Mia était couchée par terre dans le salon entre les jambes de Lucas et deux autres filles de la meute de savait pas quoi faire. J'oubliai ma nudité et me précipita au pied de mon amie... Je l'a voyais, Mia souffrais... Elle était à bout de force et ne tiendra pas plus longtemps.

Je demandai à une des louves :

- Que se passe-t-il?

- Le bébé... Trop tôt... Encore deux semaines.... Son travail a commencé, il y a deux heures.... Me disait-elle en pleurant.

Je regardai Lucas.

- Je ne sais pas... Elle s'est évanouie à la première douleur... Je crains que ça se passe mal... Je ne veux pas la perdre... C'est mon âme-sœur....

- Tu ne l'a perdra pas...

Dans un instinct de survie, je fis ce que la plupart des médecins auraient fait. J'avais entré ma main dans l'appareil génitale de mon amie et je fronçais les sourcils. Je comprenais... Le placenta était mal placé et les enfants voulaient sortir... Oui, j'ai bien les enfants... Je crois qu'ils ignoraient.

D'Argent et D'OrWhere stories live. Discover now