- Chapitre 14 -

214 13 25
                                    

Pdv de Carrie :

Moi : Lachez moi ! Ne me touchez pas !!!

Il me gifle.

Alain : J'AI PAYÉ ALORS TU VAS FAIRE SE QUE JE TE DIS OK ??!!

Il place une lame de couteau sous ma gorge. Je suis terrifiée. Mes larmes coulent à flot et je perds complètement tout mes moyens. Il se frotte contre moi et je sens son érection contre moi. Je me sens mal.

Alain : Tu vois l'effet que tu me fais petite salope ?

Il se penche et me fais des suçons dans le coup. C'est répugnant. Je cris et me débat comme je peux mais rien ne semble pouvoir l'arrêter. Il me force a me mettre à genoux devant pendant qu'il sort son penis pour me le mettre sous le nez. Une envie de vomir me prends.

Alain : Suce moi !

Moi : Non s'il vous plait.... stop...

Il prends ma tête de force et enfonce son engins dans ma bouche de force. Il fait bouger ma tête d'avant en arrière. Je pleure, je ne réagis presque plus de mes actes. Je me sens faible. Je n'arrive pas à me défendre.

Alain : Bonne pute. Oh ouiii... qu'est-ce que tu suce bien. Humm.... Je vais jouir dans ta belle bouche de salope.

Je sens un liquide chaud se répendre dans ma bouche. J'ai envie de vomir.

Alain : Avale.

Je ne peux pas.

Alain : AVALE !

Il maintient ma bouche fermer et me bouche le nez. Je n'ai pas d'autre possibilité.... J'avale comme je peux. Il me lâche et je m'effondre au sol. Je tremble. Comment quelqu'un peu prendre du plaisir à faire ça ? Pourquoi ça n'arrive qu'à moi ?

Alain : C'est pas finis poupée !

Il me fait un sourire sadique. Et la c'est le trous noir.

__________________________________________________

Ma tête me fait mal. Je suis allongé sur le sol. Je n'ai pas envie ni la force de me lever. Certains objet de ma chambre sont cassés. Des débris de verre traîne au sol. Dans un élan de faiblesse ou de détresse je prends un morceau de verre entre mes doigts. Je fais glisser le bout de verre sur mon ventre nu. Je sens du sang couler. Ça fait mal mais ça fait du bien en même temps. J'encore plusieurs fois le verre dans mon ventre jusqu'à qu'il n'y ai plus de place. Je passe à mes cuisses puis mes poignets. Je suis tellement désespérée que je m'entaille même les chevilles. Je veux me vider de mon sang. Je veux faire sortir toute la souffrance qui c'est emparé de mon corps. Je veux faire réaliser à mes parents le mal qu'ils me font. Je veux leur faire comprendre que si je meurs plus personne ne pourra sauver Rose. Je veux leur prouver que peut être moi aussi j'ai besoin d'amour pour vivre, que moi aussi je suis un être humain. Je veux pouvoir vivre comme tput le monde sans avoir peur de me lever le matin ni de me coucher le soir.

Je suis bien restée quatre heures à me vider de mon sang. Personne n'est venue me voir et tant mieux. J'essaie de me relever mais c'est très dur. J'arrive à aller jusqu'à la douche. L'eau chaude sur mon corps meurtrie me brule. Je frotte frénétiquement mon entre jambes pour me sentir moins sale. L'eau est rouge. Mais c'est comme ça. Peut être que j'aurais du rester chez Océane ou devrais-je me confier à quelqu'un ? Mais à qui ? Je n'ai personne qui tient à moi...

Je m'efforce de m'habiller et retourne dans ma chambre. J'essaie de ranger les dégâts malgré la douleur. Une fois finis, je retire mes draps et les met de côté. Je m'allonge sur mon lit neurtre et j'attends. J'attends que le temps passe. J'attends ma prochaine punition. Je me suis endormie avec cette sensation de ne servir à rien et d'être personne.

__________________________________________________

Ma porte s'ouvre doucement me faisant ouvrir les yeux.

Rose : Désolée de t'avoir réveillé..

Moi : Il est quelle heure ?

Rose : 11h30..

Moi : Déjà ?!

Rose : Oui... Dis moi est-ce que ça te dirais de venir manger avec moi ce midi ?

Moi : Moi ?!

Rose : Oui toi...

Moi : Je peux pas... Je vais me faire frapper après...

Rose : Non je dirais que tu m'a servis de larbine à papa et maman alors ils ne diront rien.

Je baisse ma tête automatiquement....

Rose : Alors tu veux bien ?

Je ne sais pas pourquoi je m'apprête à lui répondre ça mais je sens déjà que je vais le regretter.

Moi : D'accord...

À suivre...

Bébé MédicamentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant