Entre la jeune portugaise et le français, les choses ont toujours été beaucoup trop vite et ils démarrent maintenant leur petite famille.
Mais les choses seront loin d'être facile pour ce jeune couple mais leur amour finira toujours par triompher c...
Dédicace àAnasBlanc car tu suis les aventures d'Este et Antoine depuis le début et parce que j'adore toujours tes petits commentaires 💞💞
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17 octobre 2022 Paris, France
Maria et Luis arrivent précipitamment au poste de police et ils sont emmenés dans la salle où leur fille se trouve. Ils regardent alors avec tristesse leur premier-né qui s'est transformé en un monstre et ils se sentent tellement responsable alors que rien n'est de leur faute.
De l'autre côté du miroir, Felipe regarde Antoine qui se tient devant lui et il a du mal à croire qu'il n'ait pas réussi à éliminer ce joueur de foot.
- « Il faut dire que ma sœur ne sait pas viser le cœur. » Lâche Felipe.
- « Tu aurais pu le faire toi-même au lieu d'envoyer ta sœur. »
- « Un vrai Borbón ne se salit jamais les mains. »
- « Sauf que tu n'es pas un Borbón. » Lui répond Antoine.
Felipe n'a peut-être pas le sang des Borbón qui lui coule dans les veines mais il a été élevé par eux et il pense et agit comme eux.
- « Je suis un Borbón-Miguel. » Lâche-t-il en souriant.
Pour Antoine, il est évident qu'il n'a rien d'un Miguel. Il sait qu'aucun Miguel n'irait jusqu'à tuer pour se venger.
- « Monsieur Griezmann, je vais devoir vous demander de sortir. » Dit Murillo.
Tout ce qui inquiète l'inspectrice est ce que pourrait faire Felipe à Antoine et il est préférable qu'il sorte de là pour ne pas qu'il tente encore une fois de le tuer.
Antoine sort et Murillo regarde Felipe qui continue à la regarder avec ce regard si froid. S'il s'agissait de sa toute première enquête, elle aurait eu sûrement peur de lui mais là, il ne lui fait rien du tout. Elle a l'habitude de se retrouver face aux pires ordures de la société.
- « Pourquoi avoir demandé à vos sœurs de tuer Antoine et Luisa pour vous ? » Demande Murillo.
Maria regarde cet homme qu'elle a aimé comme son fils et quelques petites larmes coulent le long de son visage.
- « Je n'arrive pas à croire que j'ai donné naissance à un monstre. » Dit-elle.
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