Chapitre 14 - L'approche

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Après ce qu'il venait de vivre, les deux adolescents se donnèrent rendez-vous dans la salle des fêtes inoccupés depuis plusieurs années de leur village.

Inès était arrivé la première, elle était toujours retournée par ce qu'elle venait de subir chez elle.
Pour se divertir l'esprit un maximum, elle ne pouvait s'empêcher de faire les cent pas dans la grande pièce principale de ce lieu.
Sur sa droite se trouvait un grand mur doté de fenêtres tout aussi immense sur tout le long de celui-ci. les vitres étaient sales mais lorsque l'on s'approchait on pouvait distinguer la vue panoramique entre deux toile d'araignée.

— Qu'est-ce qu'il fait, ça fait un moment qu'il devrait être arrivé.

Impatiente elle se dirigea vers les fenêtres pour essayer d'apercevoir son ami qui devait arriver. Alors que son regard essayait de trouver Swan à l'horizon, une voix ténébreuse surgit dans son oreille droite.

— Qu'est-ce que tu cherches?

Inès sursauta.

—Putain mais tu es con tu m'as fait peur!

— Calme-toi on craint rien ici! enfin...

Swan se dirigea vers l'entrée où se situait un mini couloir doté d'un renforcement avec des portes-manteaux à côté de la porte. Celle-ci était entièrement en verre, laissant la lumière du soleil couchant rentré dans la pièce.

— Arrête ça c'est pas drôle!

— Dis-moi pourquoi tu m'as fait venir ici?

— Écoute, tu te souviens de Pauline ?

Swan eût alors un flash-back qui lui rappela l'étrange vision de ce qui c'était passé dans l'après-midi.

— Je t'avais dit quoi. ne prononce jamais son nom! Dit-il en revenant d'un pas furieux et inquiet vers inès.

— Écoute moi je t'en supplie, elle est revenue. Répliqua Inès angoissée est terrorisé

— Écoute. Moi aussi je l'ai revu mais... je pensais que cela n'était que mon imagination. Quand l'as-tu vu ?

Inès déboussolé recommença à faire les cent pas

— C'est pas possible! c'est notre imagination, on ne peut pas revenir des morts... c'est pas possible..

Soudain un bruit de casserole venant de la cuisine résonnèrent dans la pièce.
La cuisine se trouvait en face des grandes vitres. Cette pièce était cloisonné, le seul moyen de pouvoir y rentrer était de passer soit par une des deux portes de l'un de ses murs vierge ou alors il fallait contourner la pièce et passer par une autre porte  cachée derrière un bar rongé par les mites.
Inès regarda alors Swan paniquée. Les deux adolescents décidèrent alors d'aller voir ce qui avait provoqué ce bruit. Ils entrèrent tous les deux par une porte différente de la cuisine, alors qu'il marchait pour essayer de voir où la casserole était tombée les deux portes se refermèrent en même temps. Le stress commençait à monter mais les deux adolescents essayait de garder leur calme et d'ouvrir les portes tranquillement. Soudain Inès aperçu une ombre noire dans le coin des escaliers qui se trouvaient au fond de la pièce. Paniquée elle se précipita sur la porte essayant de l'ouvrir de force.

— Non laissez-moi sortir s'il vous plaît laissez-moi sortir!

Inès arriva à enfoncer la porte, Swan se précipita alors pour essayer d'avoir des informations sur ce qui venait de se passer.

— Il y avait une ombre noire dans le coin avec nous, elle était en train de...

Inès n'eut pas le temps de finir sa phrase que tous les volets électriques des fenêtres qui se trouvait juste en face commencèrent à se fermer les un après les autres.

Swan ferma la porte de la cuisine et se précipita alors pour allumer les lumières priant pour que celle-ci fonctionne encore.

— Je peux pas rester ici on est pas en sécurité il faut que je parte. S'exclama Inès terrifiée

Alors elle se dirigea vers la porte d'entrée mais celle-ci était fermée.

— C'est toi qui a fermé à clé???

— Non, dis-moi il était pas là les manteaux tout à l'heure?

— Non. Je comprends pas ça fait plusieurs années que personne n'est venu ici...

Les porte manteaux qui se trouvaient juste à coté de l'entrée était de nouveau tous pleins de vestes aussi étrange les unes des autres. Soudain une des portes du fond de la pièce s'ouvrit dans un grincement à glacer le sang. Les deux adolescents se regardèrent inquiet.

Le frisson sanglantWhere stories live. Discover now