Trench |-/

Chapter 10

Je remarquais une chose, mon ami était seulement là, lorsque j'allais mal, lorsque j'étais à bout, comme à cet instant même. Il ne me réconfortait pas vraiment, il m'encourageait souvent à ignorer les règles, ce qui me procurais beaucoup de problème, la cabane, la fuite.

Cela donnait enfin un sens, lorsqu'il ne voulait pas aller dans le camp ou plutôt ne pouvais pas.

Je réfléchissais surement à voix haute puisqu'il me regardait terrifier, après quelque minute de réflexion, je m'arrêtais et fixais le vide, plutôt je fixais blurryface, il était en face de moi et me regardais avec un air diabolique. J'avais peur, je savais qu'il pouvait me manipuler facilement à faire de choses affreuses, et je ne voulais pas faire de mal au Banditos.

Je courais.

Je courais sans réfléchir, en ligne droite, en espérant qu'il n'allait pas me suivre ou pire, me trouver.

J'avais abandonné le Banditos dans la forêt sans l'avoir prévenu, je préférais l'abandonné que de le mettre en danger.

Je fuyais, ne sachant nul où j'allais. Je trébuchais plusieurs fois et remarquais que j'étais arriver sur la route déserte. Je m'arrêtais pour reprendre mon souffle, j'étais totalement désorienter, je ne savais pas quoi faire. J'entendais une voix, mais ne vis personne, elle me disait que jetait naïf, qu'il pouvait m'utilise autant qu'il le voudrait, je serais trop faible pour me défendre, qu'il pouvait s'amusé avec moi et m'insulter, je n'allais rien faire, il n'avait pas tort.

Je ne pouvais plus entendre sa voix qui me transperçais la tête de plus en plus, j'essayais de fermer mes oreilles à l'aide de mes mains mais ça ne servait à rien.

Je l'entendais encore, et encore, et encore, il ne me lâchait pas.

Je paniquais, j'allais devenir fou.

Une ombre noire surgit des arbres, il était là, il m'avait trouvé, Blurryface. Il m'encerclait de telle sortent que je ne pouvais pas m'échapper, on aurait cru qu'il pouvait se téléporter.

Il jouait avec moi et je ne le supportais plus, il se moquait.

J'hurlais le plus fort possible et essayais de m'enfuir, je commençais à nouveau de courir.

Je courrais comme si ma vie en dépendait, ce quel faisait en quelque sorte, j'étais perdu.

Je me retrouvais dans une forêt sombre, je m'arrête essouffler et me recroquevillais sur moi-même en m'adossant sur un arbre, je prenais ma tête dans mes mains pour me cacher les yeux et fermais celle-ci.

J'essayais de convaincre mon esprit qu'il n'existait pas, qu'il devait disparaitre. J'aurai une nouvelle vie désormais, il devait comprendre cela et moi aussi.

Je l'entendais, il arrivait et continuait à m'insulté, je hurlais, il n'était pas réel, que je le veuille ou non, mon meilleur ami était qu'un mensonge, un mensonge, une fiction crée par mon cerveau malade. J'avais les yeux fermer peur de le voir, peur de l'affronter, je n'entendais plus rien.

J'avais eu un peu de courage et décidais d'ouvrir les yeux.

Je m'effrayais, il était là, en face de moi, sont regard transperçai mon âme, sont regard rouge.

Il était tellement près.

J'entendais une dernière fois le Banditos crier mon nom.

Lorsque je me réveillais,je remarquais que j'était dans la voiture, j'étais installer devant et m'étais endormi lors de la route.