[1] « Trop jouer c'est finir par se brûler »

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Le lendemain

Je me réveille j'étais bien de mauvaise humeur, je part faire mon rituel du matin j'allume mon téléphone je vois 5 appels manquer de Deborah et plusieurs messages de Malick, Kevin, Harouna et quelques meufs que j'ai géré par-ci par-là et de Kelly quand je reçois un message de Jonathan je l'ouvre ;

« Jonathan : je veux te voir chez moi ce soir après ton travail. »

Ah ouais c'était bien sec je réponds juste « Ok. » bref je continue à faire ce que je fessait quand mon téléphone sonne je vois que c'est Lisa je l'ignore complètement flemme d'elle.

Je fini je me parfume la base, quand je vois que mon téléphone sonne encore et c'est Deborah je réponds ;

- Moi : ouais allo ?

- Deborah : c'est bon t'es revenu toi même ?

- Moi : je ne suis jamais partie.

- Deborah : tu ma appeler comme tu étais en manque d'affection ou quoi la ? Sa me bip mais sa éteint son téléphone tala elongui !

- Moi : *sourire* moi être en manque d'affection ? T'es folle ah ouais ?

- Deborah : uuuh toi même fou, bon dit moi ta quoi ?

- Moi : direct elle rentre dans le vif du sujet !

- Deborah : bah oui vue comment tu n'a plus jamais répondu donc c'est normal.

- Moi : vasy rien c'est réglé.

- Deborah : t'es sûr Ayrton ?

- Moi : bah ouais c'est bon t'inquiète.

- Deborah : tu ma trop pris pour une débutante mais bon je vais faire comme si je te croyais, sinon c'est quand tu passe à la maison ?

- Moi : *rire* pour écouter du Matou Samuel flemme.

- Deborah : *rire* t'es sérieux la ?

- Moi : je rigole toi aussi

- Deborah : ouais bah dans le « je rigole » y'a toujours une part de vérité, je préfère écouter du Matou Samuel qu'écouter des musiques qui n'ont même plus de sens y'a même plus de phrases comme ta musique la « khapta » pardon ngai té ! (Pas moi)

- Moi : *rire* j'avoue elle est nul mais jure maintenant sa rentre pas dans ta tête ? 🎶 jsuis une moula, j'suis en esprit 🎶

- Deborah : continue à me chercher toi, musique ezanga sens na forme ! (Une musique qui n'a pas de sens ni de forme)

- Moi : *rire*

Que je la fessait chier elle n'aime pas les musiques de maintenant pour elle c'est plus comme à l'ancienne.

On parle un peut et on raccroche entre temps j'étais déjà arrivé devant mon taff j'arrive et je commence à travailler, quand sa toc à ma porte je dit à la personne d'entrée et je vois qui ? Lisa j'étais choquer wesh elle fou quoi ici elle ? Elle était accompagnée de mon collègue.