[1] « Trop jouer c'est finir par se brûler »

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Je me réveille je vois qu'il est 9h du matin, je sent qu'il y'a quelqu'un à côté de moi je tourne ma tête je vois qui ? Maé ! J'ai vibrer carrément, je sent que je ne suis pas habiller je me regarde je vois que je suis non vêtu, putain c'est pas ce que je crois je la regarde je vois qu'elle est aussi non vêtu j'avais la haine.

Je ne devais pas la toucher j'étais énerver contre moi, putain Ayrton qu'est-ce qui ta prit ? Je bouge direct dans la salle de bain enfaite c'est comme si j'avais honte de l'avoir fait avec elle, c'est ma meuf j'ai des sentiments (j'avoue enfin), mais sa ne devais pas ce passer comme sa, je l'esquiver au max j'avais arranger ma maison.

J'étais trop dégoûté je penser grave, j'avoue que la je fessait le lâche je couche avec elle et je ne la calcule pas mais c'était plus fort que moi je réfléchissais à la connerie que je venais de faire pour une fois dans ma vie, d'un côté j'étais content j'étais le premier à être passer par là et d'un côté je me disais Ayrton ta pas tenue ta parole.

C'était trop dure pour moi 1 ans sans rien faire elle m'attirait grave, c'est pour sa je ne dormais pas tout le temps à ses côtés et quand je le fessait je me forcer à ne pas aller plus loin mais la non depuis Barcelone c'était chaud.

J'entends du bruit dans ma chambre bon elle c'est réveillé, je la vois arriver au salon avec mon jogging débardeur elle était sexy j'avoue je l'ai bien mater.

On dirait qu'elle m'esquiver aussi, bon si elle fait sa personne va ce parler à cette allure, elle bouge dans la cuisine, je la suit je mets ma fierté de côté je dois la rassurer au max je fait le batard la en la fuyant.

Je vois qu'elle boit elle ce retourne je la bloque contre le mur elle ne pouvait plus bouger je lève sa tête.

- Moi : y'a quoi ?

- Maé : rien pourquoi ?

- Moi : tu ne m'a pas dit bonjour.

- Maé : toi non plus.

- Moi : bonjour.

- Maé : bonjour.

- Moi : t'es belle la.

- Maé : arrête ta vue ma gueule ?

- Moi : t'es belle sans maquillage je te l'ai toujours dit.

- Maé : hum.

- Moi : tu me fuit ?

- Maé : non pourquoi ?

- Moi : on dirait.

- Maé : même pas, j'ai changer les draps.

- Moi : hum merci.

Je la regarder grave je la lâcher pas du regard.

- Maé : quoi ?

- Moi : viens.

Je la prends par la main on bouge au salon on s'assoit sur le canapé.