L'amor

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Ça commence tout doucement, un regard, une pensée, puis les regards et les pensées se multiplient.
Ensuite vient les premières paroles échangées, les premiers sourires puis éclot enfin le rire.
C'est un doux son que je ne cesses de vouloir entendre.
Alors j'ai changé ma veste,me convertissant en drôle.
C'est vrai je n'étais pas très bon mais quelle bonheur quand elle riait.
De fil à aiguille je ne pouvais plus enlever la veste juste pour pouvoir l'entendre rire.
Tandis qu'elle ne pouvait plus se passer de mes piteries.
Et là survient le primptemps avec l'éclosion des amours et de la haine. Le temps nous a rapproché et nous voilà face a face.
Nos yeux se sont trouvés, ancrés l'un dans l'autre.
Les vagues dans les tiens, présage de la folie et une fougue inconnue de toi même.
Les miens sont envahis par une tornade sans queue.
Le mélange est assez dangereux j'en conviens mais que voulez vous? L'irréparable à été commis et l'été est arrivé plus vite qu'on ne le croyais. Notre amour, prenait du soleil et nos ailes se deplièrent prêts à embrasser le monde.
La tornade en moi s'accoupla aux vagues de ton esprit, repoussant ainsi nos obstacles contre les galets.
Nous nous épanouissons a vue d'œil l'un dans les bras de l'autre quand l'automne cette timide est venue nous surprendre.
L'arbre de notre amour s'est mis a jaunir de ses feuilles.
Il nous fallait une sortie.
Alors j''ai mis mon *boba, plus a l'aise, nous volions vers d'autres horizons, écumant les mers d'embûches vers la consolidation de nos liens.
Mais la nature plus forte nous à rattrapés,épuisés que nous étions d'avoir trop luttés.
Elle nous à désséchés, nous rendant méconnaissable.
Mais l'hiver est arrivée, Anoblissant nos traits et nos liens.
Notre flamme s'est rallumée mais cette fois ci à l'extérieur de nos corps.
Nous regardions brûler de tous leurs feux l'expression de nos anciennes folies.
La jeunesse en feu renaissait dans l'âtre sous nos yeux vieillis par le temps.
Enfin la fin de l'hiver est arrivé annonçant un renouveau.
De nouvelles feuilles grandiront sur l'arbre de l'amour mais les nôtres à jamais, éternelles resteront jusque dans notre dernier baiser.

Hector de lumière.

Muses et MédusesWhere stories live. Discover now