Chapitre 32.

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Aaron.

Le bâton de Jason tombe aux sol. Je ne quitte pas mon oncle des yeux, tout comme mes bêtas et mon âme-sœur. Ils sont tous troublé par ce qu'a prétendu Thomas. Et juste pour cela, j'ai envie d'éclater sa tête contre le sol.

- Quoi? Murmure Océane.

Je fais signe à Léon de la faire sortir. Parce que autrement, elle ne va jamais pouvoir s'en remettre. Jason reste toujours debout derrière Thomas mais cette fois-ci, il me regarde. En ce qui me concerne, je suis toujours debout les bras croisés entrain de fixer Thomas sans aucune expression. Mais je bouillonne de l'intérieur.

Léon finit par bouger et l'a fait sortir. Je sens qu'elle veut protester mais elle s'abstient. Et tant mieux. Une fois la porte fermer un rire nerveux m'échappe.

- Continue, lui ordonnais-je.

- Si je meurs, ils meurent.

- Ils sont déjà morts.

- Ça c'est ce que tu crois...

- Ah ouais?

Je me retourne et me dirige vers les grandes armoires noirs dans lequel on y range le matériel. J'ouvre le tiroir et y sors un marteau. Une fois devant lui, je crie:

- Ce que je crois-moi, c'est que tu as peur.

Je lui mets un coup de marteau sur les côtes et le regarde crier de douleur. J'adore ce son. Mais j'aime moins le fait qu'il ment à propos de mes parents. Surtout que c'est lui qui les a tué. Ma haine augmente encore plus quand je m'en rappelle. Il est la personne qui mit fin à la vie de mes parents. Je lui redonne un coup.

- Explique-moi! Criais-je. EXPLIQUE CE QUE TU PRÉTENDS!

- Ils...ils sont cacher quelque part, arrive-t-il à articuler.

Je hoche la tête et me mord la lèvre pour éviter d'hurler. Cette fois, je frappe sur sa jambe. Je pense que je l'ai cassé mais ça m'est égale. Généralement, je n'utilise pas d'objets pour torturer quelqu'un. Mais je mets une croix sur tout mes règles avec lui. Il mérite le pire.

- Ils sont enterrer, commente Jason.

Je le foudroie du regard. Je déteste qu'on m'interrompt quand je torture quelqu'un, et il le sait très bien.

- On a transporter leurs corps.

Je rigole encore plus. Il reçoit un coup sur les côtés puis sur l'épaule. Comment ose-t-il prétendre une telle chose? Je suis conscient qu'une autre personne aurait eu de l'espoir en l'entendant parler mais pas moi. Pas alors que j'ai la capacité de sentir leurs corps inanimé sous la terre. Pas quand j'ai l'impression de leur parler à cause de leurs odeurs si présent même après tant d'années. Alors non, je ne le crois pas.

- Tu vas le tuer, chuchote Jason.

Sa remarque me sort de ma transe et c'est alors que je remarque qu'il a raison. Je me suis défoulé sur lui. Et à entendre ses faibles battements de cœurs, si je continue il mourra. Mais je ne veux pas qu'il meurt de cette façon. Je dépose le marteau sur le plan de travaille et ouvre l'armoire. Je fixe le bâton en métal devant moi. La roue tourne Thomas.

Quand il voit l'arme que j'ai en main, il ouvre grand ses yeux. Et pour la première fois, j'entends ses battement de cœur irrégulier. Ce qui me surprends parce que malgré tout ce que je lui avait fait, il a fait preuve d'un grand sang froids. Cependant maintenant, il a peur. Et j'adore ça.

- Je ne pense pas que..., commence Jason par la pensée.

- Je n'ai pas demander ton avis.

Je fais le tour de la pièce avec le bâton en main. De cette manière je le torture plus mentalement que physiquement. Il a peur et se demande quand il recevra le coup ce qui augmente son stresse. Mais la vrai raison est que j'hésite.

L'humaine et l'Alpha dominantWhere stories live. Discover now