Chapitre 33.

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Océane.

1 Semaine plus tard.

- Ne t'inquiète pas, tu vas réussir, dis-je à Nathan pour le réconforter. N'est-ce pas Aaron?

- Je ne peux rien dire, se plaigne-t-il en levant les bras en l'air.

Je soupire d'agacement et le regarde ennuyer. Aujourd'hui il y a le concours des louveteaux, dont Nathan. Il est venu se matin pour prendre son petit déjeuner avec nous et viens de me confier qu'il a peur.

- T'es pas sérieux?

- Quoi? Si je lui dit quelque chose ça sera injuste envers les autres.

Il continue de manger son pain l'aire de rien. Il peut au moins le réconforter. Je souris à Nathan et fusille Aaron du regard. Nathan est un garçon très intelligent et d'après ce que m'a dit Aaron il gagne presque à chaque fois.

- Je vais partir, nous informe Nathan en se levant.

- Mais...

- D'accord, me coupe Aaron.

Une fois la porte fermer, je l'ignore en rangeant la table. Comme il ne réagit pas je prends la brique de lait, qui est devant lui, et le range dans le frigo.

- Qu'est-ce que je vais boire maintenant? Me demande-t-il agacé.

- Oh pardon, je n'ai pas fais express.

- Ramène-le moi alors.

- Non.

Il laisse tomber le pain qu'il avait entre les mains sur son assiette et me regarde surprit. Il finit par plier les yeux et hoche la tête.

- Si tu veux jouer à ça.

Je m'adosse contre le four et le regarde faire le tour de la table pour ouvrir la frigo à côté de moi. Il prends la brique de lait et y boit une gorgé. Oui, parce que monsieur Aaron ne boit pas dans des verres. J'ai finis par m'habitué.

Une fois le frigo fermer, il se rapproche de moi pour m'embrasser. Je ferme les yeux. Mais quand je ne sens pas ses lèvres sur les miennes je les ouvre et vois Aaron qui se retient de rire. Il finit par exploser de rire.

- T'aurais du voir ta tête, rigole-t-il, t'étais comme ça.

Il ferme les yeux et ouvre grand la bouche pour m'imiter. Je frappe son torse et proteste:

- Arrête ! C'est pas vrai.

Il continue de rire et m'embrasse le front. Il attrape son pain et le mange en sortant de la cuisine.

- Je vais aller voir si tout va bien, me prévient-il la bouche pleine. Je te rejoindrais pendant le concours.

- D'accord.

J'ai toujours détesté les personnes qui parlent la bouche pleine. Je lui est déjà fais la remarque mais il ne m'écoute pas. Parfois j'ai l'impression de vivre avec un barbare. Je finis vite de ranger la vaisselle et monte dans ma chambre. Qui est devenu le nôtre.

Aaron a décidé du jour où lendemain qu'on devait partager une chambre. Ça ne m'a pas dérangé. Juste au contraire, j'ai aimé cette décision.

Je rentre dans le dressing et m'habille. Je choisis de porter un jean noir et un gros pull en laine blanc. Il commence à faire de plus en plus froids. Je secoue en voyant les vêtements d'Aaron qui sont très fins. Ils ont de la chance de ne pas avoir froids.

Je sors de la maison et me dirige vers celui de Brad. Léon m'attend pour que je l'aide avec des plans. J'ai demandé à Aaron de me trouver un travaille ou un passe-temps parce que je m'ennuie. Il m'a proposé d'aider Léon et j'ai accepté.

L'humaine et l'Alpha dominantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant