Chapitre 49.

31K 1.9K 174
                                    

Océane.

7 ans plus tard.

- Non, non ! Me plaignais-je en appuyant l'oreiller sur mon visage. Je refuse d'entendre ça.

Aaron rigole encore plus. J'essaye de le pousser avec ma main pour qu'il arrête.

- T'abuses.

- Vas leurs dire d'aller autre part.

- Où veux-tu qu'ils aillent ?Me questionne-t-il. C'est un besoin naturelle.

- Mais j'ai pas besoin de les entendre. Ça ne te dérange pas toi?

- Non, j'ai l'habitude.

Ses gémissement deviennent plus fort, je serre plus fort l'oreiller pour éviter de les entendre ce qui augmente les rires d'Aaron. Il se lève d'un coup, toujours en rigolant. J'enlève l'oreiller et le regarde mettre son bas de training.

- Viens.

Je me lève directement et le suis. En passant par la chambre de Léa je m'arrête.

- On devrait la prendre aussi.

- Y a que toi que ça dérange. M'informe-t-il en prenant ma main.

- Mais...ce n'est pas normal d'être habituer à entendre tout ça.

- Si tu savais tout ce que j'entends.

Il m'emmène jusqu'au fond du couloir. Je ne comprenais pas ce qu'on fessais là jusqu'à ce qu'il saute et attrape quelque chose du plafond. Je reste choquer lorsqu'un escalier en bois apparait.

- C'est quoi ça? Lui demandais-je choquer.

- Je l'ai fais faire il y a pas longtemps. N'en dis rien aux enfants, ça sera notre cachette.

Je monte les escaliers doucement jusqu'à arriver sur le toit. Je reste bouche-bée en voyant la vue. C'est juste magnifique. On voit toute la forêt d'ici. Aaron se dirige vers une longue boite en bois et y sort un matelas. Il ferme la boite et place le matelas au dessus.

On se couche dessus. Je dépose ma tête sur son torse et admire les étoiles dans le ciel. C'est tellement magnifique que j'en perds les mots.

- Je savais que t'allais aimer.

- Si tu me l'aurais dis, j'aurais mis un gros pyjama.

- Mais il fait chaud.

- Il fait un peu frais.

Il se lève d'un coup et se dirige vers les escaliers.

- Où vas-tu?

- J'arrive dans 2 minutes.

Lorsqu'il revient avec notre couverture, je lui souris. C'est un des plus beau moment que je vis depuis longtemps.

- On devrait trouver quelque chose pour Léo et Julie. On ne va pas venir ici à chaque fois?

- Pourquoi pas? Me demande-t-il.

- Maintenant c'est parfait mais en hiver? Et quand il pleuvra?

- Je trouverais quelque chose ne t'inquiète pas.

J'embrasse sa mâchoire. Chaque année qui passe me rappelle à quel point j'ai un âme-soeur formidable. Il est toujours là pour moi, quoi qu'il arrive. Et même s'il nous arrive de nous disputer, on s'aime plus que tout.

- Il sera bientôt temps que Léa trouve son âme-soeur. Remarquais-je.

- Non. Répond-t-il fermement.

L'humaine et l'Alpha dominantWhere stories live. Discover now