Le Bad Boy De Ma Classe {ZeldrisxOC}

Chapitre 13: Le Retour

Le lendemain alors que je recopie les cours de Zeldris je relève mon regard vers l'avant de la classe en entendant des ricanements, le nouvel élève répondant au nom d'Arthur s'est déjà trouvé un petit groupe d'amis.

Diane: Il s'est vite trouvé une place. Remarque à son tour ma camarade. Il faut dire qu'il est vraiment gentil, tu as des nouvelles de Zeldris ?

Moi: Toujours pas, ça fais déjà deux jours qu'il n'est pas venu en cours.

Gloxinia: Salut Zel.

Surprise je remarque notre interlocuteur s'avancer jusqu'à sa place comme si de rien n'était, sans nous adresser un regard il continue sa journée typique.

Arthur: Coralie. Appel la voix de mon camarade en approchant avec son cahier de science. Ça ne te dérange pas de m'expliquer ce cours ? Les gars ne l'ont pas comprit non plus, et comme tu es la meilleure dans cette matière, je me suis dis que tu pourrais ?

Moi: Bien sûre.

Arthur: Merci.

Howzer: La drague pas non plus Arthur. Remarque ce dernier d'humeur taquine.

Arthur: M-Mais pas du tout ! Commençant mon schéma sur une feuille je lui explique petit à petit le cours dans ma version, celle-ci semble lui plaire. Tu dessines bien.

Moi: Merci.

Arthur: C'est simple en faite.

Le laissant à ses exercices de son côté je Remarque le regard de Zeldris posé sur nous, le professeur étant finalement absent je continue de recopier les cours pour la personne qui me sert de binôme.

Diane: Zeldris, tu participes avec nous au tournoi de volley ?

Zeldris: Si tu veux. Répond ce dernier sans sourciller.

Je suis surprise par sa réponse, et moi qui croyait que la pauvre Diane allait devoir marchander, mon téléphone venant de sonner je décide de regarde ce dernier.

Meliodas: Rassure moi, Zeldris est bien en cours ?

Moi: Oui, pourquoi ?

Meliodas: J'ai réussis à le faire sortir de sa chambre, je voulais être sûr qu'il ne m'est pas menti, il n'est pas trop grognon ?

Moi: Comme d'habitude je dirais.

Meliodas: Ne lui en veux pas trop, il est un peu perdu en ce moment.

Je soupire en continuant d'écrire le cours de Zeldris, perdu, je ne comprends rien ? Il semble aller pourtant très bien, mon cœur me tiraille, j'aimerai tellement le comprendre et l'aider a-t-il des problèmes en dehors du lycée ?

Gelda: Laisse, je vais finir. Récupérant les feuilles elle me sourit. Tu es pâle.

Moi: Merci.

Gelda: Pense à te reposer.

J'espère seulement qu'il sera reconnaissant pour tout le mal que je me suis donné, m'installant pour une sieste là tête dans mes bras je profite d'un peu de calme dans notre classe.

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En début d'après-midi étant en cours de physique chimie je me retrouve en binôme avec Arthur pour lui expliquer les cours précédents.

Arthur: Merci de m'aider.

Moi: C'est normal, tu en aurais fait autant.

Merlin: Monsieur Howzer, je rêve où vous venez de faire tout le contraire de ce que je viens de dire ?

En voyant son mélange tourner au noir une mousse sort aussitôt de la fiole, arthur se mettant à ricaner je lui donne une légère accolade en rigolant à mon tour.

Moi: Tu en aurais fait autant si je n'étais pas là.

Arthur: Non, j'ai une parfaite partenaire. Il m'adresse un clin d'œil. mpossible.

Nous nous sourions mutuellement pour continuer d'écrire les résultats de chaque expériences, ce garçon est vraiment adorable il dégage quelque chose qui met aussitôt les gens à l'aise.

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Sortant de ma salle de cours et à peine les escaliers descendu, je croise monsieur Hendrickson qui passait par là.

Hendrickson: Avant que vous ne partiez, je peux vous demandez de déposer ça sur le bureau de votre classe, c'est pour mon collègue.

Moi: Bien sûre.

Je fais aussitôt demi-tour en soupirant intérieurement, je me demande si je suis déléguée ou postière ? Le soleil commence déjà à ce coucher, il fait nuit tellement vite en ce moment, mon tas de feuille à la main j'entre dans notre salle de cours resté entrouverte.

???: T'es pas avec ton nouveau petit copain ? Demande une voix au centre de la pièce.

Assit sur sa chaise je reconnais Zeldris me fixant un air complètement ailleurs, le timbre de sa voix est différent de d'habitude, quelque chose cloche.

Moi: Zeldris ? Mais qu'est-ce que tu fais ici ?

Zeldris: Je t'en pose des questions ? Dit-il froidement en détournant le regard.

Moi: Tu viens de le faire, et Arthur est nouveau, étant délégués nous sommes chargé de l'aider, ce que tu n'as pas fais.

Zeldris: Super, ça me fait une belle jambe.

Moi: Je te rappelle que tu as disparu, et que tu reviens du jour au lendemain sans explication.

Zeldris: Je me suis absentée deux jours, c'est pas la mort, je ne t'ai jamais demandé de t'inquiéter.

Déposant mon sac au sol je m'avance jusqu'à sa table les bras croisés contre ma poitrine, il ne bronche pas d'un cil.

Moi: Dis, tu veux pas mettre ton alter ego de côté et être plus gentil ?

Zeldris: Et toi ? Il peste en quittant sa chaise me fixant avec mépris, je ne l'avais encore jamais vue réagir ainsi. Tu ne veux pas arrêter de mettre ton nez dans les affaires des autres ? Retourne jouer avec ton nouveau camarade.

Moi: Nan mais je rêve ? Alors qu'il s'enfuir vers les fenêtres je reste sans voix, pourquoi réagir ainsi ? Tu me fais une crise de jalousie ou je rêve ? Je m'inquiète pour toi ! Je sais que tu as pleuré ce jour là, ne me mens pas, je sais que tu caches quelque chose ! Les poings serré je m'approche de lui, il est temps d'éclaircir ce mystère. Arthur est un simple ami, mais puisque tu es si aveugle que ça, je m'inquiète pour toi tout simplement..! Tout simplement parce que je ressens plus que de l'amitié pour toi ! Idiot...

Il se contente de lever d'un bref centimètre sa tête, mon cœur à prit la raison sur mes paroles je ne contrôle désormais plus rien.

Moi: Je me suis dis que peut-être s'était en rapport avec tes notes, et que tu ne voulais pas redoubler, ou peut-être une dispute avec ton frère, ou encore tes parents, je ne les ai pas vue..!

Zeldris: Elle est morte.

Il me coupe la parole d'un ton calme mais remplie de tristesse, mes esprits reviennent aussitôt à la réalité.

Moi: Quoi..?

Zeldris: Ma mère est morte, il y a plusieurs années.

Je recule d'un pas en le voyant frapper du poing sur la table, malgré la douleur du choc il ne bronche pas, il se tourne en ma direction rompant le peu d'espace qui nous séparait, son regard est remplie de peine et de tristesse, le voir ainsi me brise le cœur. Je comprends mieux pourquoi Meliodas m'a expliqué que ce n'était pas à lui de m'en parler.

Zeldris: S'était le même jour auquel je m'étais absenté, j'avais besoin d'être tranquille.

Alors j'avais vue juste, il pleurait avant que je ne vienne le déranger, je sors de mes pensées en sentant sa main saisir ma cravate pour attirer ses lèvres jusqu'aux miennes, je reste suspendu à ses lèvres les yeux clos, je n'arrive plus à bouger, son baiser est si doux.

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