Chapitre 12

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La petite troupe était rentré au châteaux, Barbara avait repris son travail de servante le sourire aux lèvres. Lili, Dylan et Cole avaient rejoins la salle à manger pour le déjeuné. Heureusement, les deux pestes étaient arrivés en dernière et s'étaient retrouver aux antipodes de Dylan, Cole et Lili.

Lili était à coté de Cole qui était à coté de Dylan et en face d'eux se tenait Émilie et Charles qui riaient tout les deux. Depuis la discution qu'avaient eu Dylan et Cole avec le petit Charles, on voyait que leur cousin cherchait moins à faire des blagues à sa sœur, on les voyaient tout le temps jouer et s'amuser ensemble. Ils étaient aussi proche que Dylan et Cole.

Charles et Émilie racontaient à leurs cousins la matiné qu'ils avaient passé. Louis et sa femme Ania étaient descendus au village comme tout les mercredi pour discuter avec les villageois, la famille royal d'Italie pensait qu'il fallait être proche de son peuple afin mieux comprendre leurs problèmes et leurs attentes pour les régler et ainsi rendre le peuple heureux.

Alors que Cole écoutait ses cousins raconter qu'ils s'étaient faits une nouvelle amie, il remarqua qu'Émile avait une croute sur le haut de son front, il était pourtant sur qu'elle ne l'avait pas hier. Il espérait que Charles qui était un petit casse-cou ne l'avait pas entraîner dans un de ses jeux stupides.

«-Mil, que t'es-t'il arrivé au front ? Demanda Cole.
-Je pensais être la seule à avoir remarquer, avoua Lili.
-Non j'ai également remarqué au début du repas, s'exclama Dylan, tu ne l'avais pourtant pas hier.
-Que s'est-il passé ? Redemanda Cole.
-Rien du tout, fit précipitamment la petite fille.
-Mil, ma douce, tu peux nous le dire, nous voulons juste t'aider, la rassura la future riene.
-Charles et moi jouions à chat et nous étions dans les escaliers alors nous avons mit la mains pour stopper le jeu le temps de descendre les escaliers et nous avons croisé Eva et Sarah. Eva trouvait que je ne descendais pas les marches assez vite, elle m'a poussée. Quand je me suis relevée en bas des escalier, ma tête saignait, Isabella m'a soigné. Ce matin avant que nous nous rendions au village, Sarah a fait un gros bleu sur le bras de Charles.
-Bandes de salle nimbauts ! Hurla Eva.
-Vous n'êtes que des petits menteurs ! Renchérit Sarah.
-C'est faux, se défendit Charles, nous disons la vérité !
-Je vais te mettre une vérité dans la figure si... Commença Eva.
-Tu ne touchera pas à mes cousins Livie, fit froidement Cole.
-Mais enfin vous n'allez pas croire ces... Commença Sarah.
-Évidement que nous les croyons ! S'exclama Dylan. Nous connaissons Charles et Émilie, ils n'ont jamais menti, pas une seule fois. Nous vous connaissons également, vous n'êtes que de pestes irrispectueuses qui se croient irrésistibles alors qu'elles sont ideuses.
-Espèce de stupide crétin ! Être le futur roi ne te permet pas de nous insulter de la sorte, s'enerva Eva.
-Et être les nièces du roi d'Allemagne ne vous permets pas d'être de tel catin ! Clama Lili. Je suis sa fille et je ne me permets pas le quart de ce que vous faites. Si l'une de vous touche encore à Émilie ou à Charles, je m'occuperai personnellement de vous le faire regretter !
-Mon oncle, s'exclama Sarah à l'adresse du roi George, faites quelques chose, ils ont sallit notre honneur.
-Si j'ai bien compris, fit calmement le roi, vous vous débrouillez parfaitement sans eux. Mais qu'avez-vous dans la tête pour vous en prendre à des enfants ? Éleanor ne vous a pas élevées de la sorte. Vous nous faites honte. Vous faites honte à l'Allemagne.
-Mère... tentèrent les sœurs à l'unisson.
-Votre oncle a raison, fit calmement Éléanor.
-Tania va vous emmener dans vos appartements, je ne veux pas vous voir en dehors de ses derniers avant le diner sinon je vous donnerai une punition qui restera graver dans vos cervelles d'autruche jusqu'à la fin de vos vies. Ai-je été assez clair ? Demanda leur oncle.
-Oui mon oncle, firent les filles d'une même voix.
-Bien, fit George avec un sourire satisfait, maintenant faites vos excuses à ces petits, à Lili, au prince Cole et à son frère.
-Est-ce une mauvaise plaisanterie ? Demanda Eva.
-Ai-je l'air de plaisanter ?»

Les filles s'excusèrent avec beaucoup de mal et très peu de sincérité et Tania les emmena à leurs appartements sous le regard satisfait de toutes les personnes attablés. Les discutions reprirent normalement comme si l'incident n'avait pas eu lieu.

«-Cole tu as menti, s'exclama Charles.
-Pardon ? Demanda le concerné.
-Tu m'avais de me lire une histoire au prochain banquet et tu ne l'as pas fait ! Je veux mon histoire s'il te plait.
-Oh je veux que m'en lise une également, l'informa Émilie.
-Je suis désolée Charles, j'ai complètement oublié.
-Comme cela me deçois de toi Cole, s'exclama Lili pour le taquiner.
-J'ai une idée pour me faire pardonner.
-Dis-nous, demanda Charles, nous sommes tout ouïe.
-Cela vous plairai-t'il que je vous emmène à la clairière demain si le temps nous le permet ? Nous partirions au petit matin, je vous lirai autant d'histoire que vous le désirez le matin et nous pourrions nous baigner dans le lac durant l'après midi. Nous piniquerions au dejeuné et nous repartirions au couché du soleil.
-Oh oui. Merci ! Merci ! Merci Cole ! S'exclama Emilie.
-Je le ferai uniquement si tante Ania et oncle Louis sont d'accord, s'exclama Cole.
-Je suis totalement d'accord, sourit son oncle, j'ai une confiance absolu en toi Cole.
-Feras-tu attention à eux ? Demanda Ania.
-Comme s'ils étaient mes propres enfants.
-Mon fils, si tu nous apportes un enfant avant ton mariage je te décapite, rit son père.
-C'était une image père, fit Cole avant de changer de sujet. Cela serai-t-il possible que Tania et Barbara nous accompagnent ? J'aurais besoin de leur aide pour certaines choses.
-Évidement, accorda son père.
-Dylan et Lili nous accompagnent-ils ? Demanda Émilie.
-Quelle bonne question ! S'exclama Lili.
-À mes yeux la question ne se pose pas mais je comprendrais si vous avez d'autres occupations.
-Non. Non. Pas du tout. Je vous accompagne volontier, s'exclama Dylan content de pouvoir passer un peu de temps avec Barbara.
-Je serai ravie de venir avec vous, sourit Lili.
-Je trouve ça très généreux de ta part, fit doucement Éléanor à Cole, j'aurais aimé avoir un cousin tel que toi étant plus jeune.»

Cole lui sourit et ils terminèrent le repas ensuite ils passèrent le reste du repas à planifier la journée de demain, espérant tous silencieusement que la météo serai de leur côté.

Mariage Forcé.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant