𝑅𝑒𝓉𝒾𝓇𝑒 𝓉𝑜𝓃 𝓂𝒶𝓈𝓆𝓊𝑒 [𝒜𝒰] 𝑅𝑒𝒹𝒹𝒾𝑒/𝓈𝓉𝑒𝓃𝒷𝓇𝑜𝓊𝑔𝒽

𝐸𝒾𝑔𝒽𝓉

Au fond Richie espérait que personne n'ai entendu son père hurler de la sorte et le battre. C'était devenu une habitude sordide dont il avait honte et dont il cachait les preuves, mais malgré tout il avait une marque violacé sur la joue qui ne trompait pas, mais il allait mentir et ça passerait comme toujours.

Après ce triste événement dont le roi se moquait un peu, il partit à la grande table à manger que Richie rejoignit en silence, il descend les marches, se tenant droit, il est élégant, distingué, très classe malgré la douleur qui tiraille son corps. Le soleil était désormais bien levé, à la table s'étendait des plats de cuisinier talentueux, du thé frais et une autre théière bien chaude, des petits biscuits et de la brioches, Beverly faisait son meilleur pour faire bonne impression mais la bonne nourriture l'ennivrai, son père lui interdisait trop de sucrerie pour ne pas qu'elle grossisse et honnêtement elle n'avait pas manger de brioches au beurre ou tressé depuis une bonne décennie, son regard se detacha enfin de la nourriture pour se diriger vers une porte qui amenait à la cuisine la rouquine souria tendrement en observant son serviteur qui essuyait une assiette.

C'était peut être pas si mal.. Ils avaient un minimum de liberté et ils comptaient bien profité, en se retenant de rire eddie mima une tasse de thé à ses lèvres, montrant a la jolie princesse Ou du moins essayant de lui faire comprendre qu'il l'avait préparer lui même et qu'il voulait lui faire goûter. Elle se retenait de rire mais son visage changea du tout au tout quand des bruits de pas commençaient à résonner dans le hall'' bonjour prince ! ''

Avait dit plusieurs jeunes femmes à son passage,

- Avez-vous passé une bonne nuit ? J'espère que votre chambre était assez confortable pour vous.

Ce sont des formalités qu'il est obligé d'avoir dans ce monde de richesse, la salle où ils mangeaient n'était pas vide et il n'y avait pas uniquement la famille royale. Il y avait des gardes, des servantes et servants, sa mère. Il doit être le prince Richard lorsqu'il y a du monde il n'a pas le choix et il fait alors bonne figure devant la princesse même si ils savent tout deux qu'au fond ça n'est pas leur vrai nature. Il voit la princesse, lui fait une révérence et lui baise la main avant de s'asseoir dans son siège.

Beverly l'avait regardé, leurs regards c'étaient croisé et ils avaient discrètement sourit, Richie avait sentit le regard plus ou moins interrogateur de la rouquine sur sa joue et il avait simplement sourit. Il ne dirait rien, il ferait simplement comme si il était tombé ou quelque chose comme ça. Mais il devait avouer que la présence de Beverly était agréable..elle était différente des autres.

-elle était parfaite prince, c'est très généreux de m'accueillir ici.. J'espère que votre nuit a été tout aussi agréable que la mienne.

-princesse c'est tout naturel vous savez, mais dites moi quelle sont vos passes temps

-mes.. Oh et bien je joue du piano.. Et..

Beverly discutait, elle avait l'air intimidé et honnêtement elle avait un sacré mauvais pressentiment sur le roi Tozier, mais elle souriait avec douceur, douceur qui n'était absolument pas son genre mais bien un masque. Quand eddie s'approcha de la table pour y déposer un plateau de cupcakes garnis, il resta silencieux, ses muscles étaient tendus.. A savoir pourquoi ?

-oh.. Pouvez vous me servir un peu de thé s'il vous plaît ?

Demande la rouquine en tendant avec souplesse sa tasse de thé, Eddie l'avait regardé.. C'était comme un jeu ridicule pour les deux amis mais eddie peinait à garder son rôle, il se pencha avant de saisir la théière

-bien sûr Princesse.

Ils en faisaient trop, et c'était comme une habitude ridicule.. Mais lentement eddie glissa dans sa tasse un peu de thé chaud qu'il avait infuser avec plusieurs plantes et calmement il reparti en cuisine avant qu'on ne lui demande de l'aide à la salle de bal, il riait dans le silence, maudissant sa meilleur amie alors qu'il essayait d'ajuster son short. Richie avait amener sa tasse à ses lèvres sans comprendre et ses papilles le remerciait de ce goût divin dont il n'avait jamais gouter sachant bien que ses servantes ne le préparaient pas de cette manière.