Chapitre 32 : Je suis pas rassuré à l'idée de publier ce chapitre

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- Mr Witt est occupé.

- S'il vous plaît c'est important !

- Que lui voulez vous ? C'est pas vraiment une période facile pour lui. répondit l'homme qui avait ouvert la porte à Caustic et Amélie

Cette dernière prit les devants et commença à expliquer les raisons de leurs venue à cet homme jusqu'à ce que Caustic la coupe.

- Qui êtes vous ?

- Moi ? Un ami de Théo, c'est pourquoi je veux savoir pourquoi vous êtes ici à le rechercher. expliqua simplement l'hôte à ses visiteurs

- Et moi je veux savoir votre nom pour savoir si vous êtes digne de confiance. répondit sèchement le scientifique

- Eh bien je sens que l'on va attendre longtemps.

- Je peux sinon prendre une simple photo, un ami pourra retrouver votre identité. proposa "gentillement" le scientifique

- Il ne me trouvera pas, je suis sensé être mort depuis longtemps.

- Votre ami est aussi sensé être mort depuis longtemps ?

Les questions du scientifique était de plus en plus acerbes, son énervement et son impatience se faisait clairement ressentir.

L'homme devant lui commençait à répondre à plus en plus de leurs questions tout en leurs en faisant poser de plus.

- Il est effectivement sensé être mort mais je ne suis pas sûr qu'il accepterait de travailler avec vous.

- Pourquoi ?

- Hé bien parce que...

- Non je voulais dire pourquoi tu nous fais poser des questions que l'on avait pas en arrivant ici ?

- Ben parce que vous ne vous les êtes pas posé et que c'est pourtant essentiel.

- Mais si tu nous fais nous poser ces questions c'est que tu comptes y répondre. Alors pourquoi tu ne nous livre pas tout sur un plateau ?

- Pour couvrir la fuite de mon ami, qui est votre cible.

Le scientifique prit deux lentes et sifflante inspirations et expirations pour se calmer.

Mais il n'y arriva pas et chargea l'hôte de la maison pour le défenestrer par la fenêtre à l'autre bout de la pièce, ne le retenant que par le col de son tee-shirt.

Les morceaux de vie expulsées de la vitre de la fenêtre tombèrent sur les passants qui regardèrent en haut de la surface décrépite du mur de l'immeuble pour voir l'origine de leurs dérangement.

Finalement ils se dirent que c'était juste le service des impôts qui venaient prospecter chez quelqu'un qui n'avait pas payé depuis au moins trois jours.

Personne n'appella donc les secours.

- Alors dit moi maintenant ton identité et celle de ton ami espèce d'abrutis.

"J'ai merdé." se dit intérieurement l'homme à moitié dans le vide.

Soit il mourait en ne disant rien et ne pourrai pas apporter son aide à Théo lors de l'attaque.

Soit il racontait tout à ses interrogateurs et mettait en péril tout le plan qu'ils avaient prévus jusqu'à présent.

Ce qui était sur c'est qu'il avait mis hors de lui le psychopathe qui le maintenait en vie.

- Lâche le. Enfin lâche le à l'intérieur, pas dans le vide. Tu vois ce que je veux dire.

Une voix venait de l'entrée de l'appartement, derrière les trois protagonistes.

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