Épisode 107

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Le lendemain après la visite du champ de melon miel sur le chemin de retour Davos m’emmène sur la tombe de sa mère. J’ai eu la peur de ma vie en voyant la photo sur la tombe. On aurait dit moi avec une coiffure différentes en voyant ma surprise John Davos sourit en me disant

Davos : Tu comprends mieux pourquoi je n’ai pas pu me tenir loin de toi ? Ton visage et ta voix c’est tout pareil.

Chloé : C’est effrayant quand même.

Davos : Tu sais ont dit chez nous que personne ne peut donner nos enfants à autrui on se ressemble tous. Ta mère est la première femme qui a réussi.

Chloé : Coline est capable de te cacher toi-même à toi-même et tu ne te retrouverai jamais.

Davos : Je n’ai pas eu besoin de te parler tu est déjà au courant de tout. Avant de mettre ma signature définitive sur les documents est ce que tu veux de la société ? Je veux dire avec tout ces inconvénients.

Chloé : Je ne veux rien avoir a faire avec un trafic d’armes

Davos : Je vois. Alors il est temps de calmer ton grand père et ton cousin avant un grand malheur.

Dit-il complétement déçue croyait-il vraiment que j’allais m’impliquer dans leur trafic d’armes ? Je lui souris et nous rentrons à la maison pour nous retrouver une fois de plus devant Joaaz. Je pouvais pas comprendre le vieux il vient faire quoi exactement tout les jours devant moi. Davos lui dit

Davos : Tu a gagné tu peux rentrer a Luanda je viendrai te rendre ton entreprise après les vacances.

Joaaz ne semble pas du tout intéresser par ce que son fils lui disait. Il vient vers moi pour me regarder de plus près. C’est la que j’ai tout compris. Le vieux ne venait pas réclamé une entreprise non il venait voir sa défunte épouse.

Chloé : Bon je ne suis pas elle

Joaaz : On ne sais jamais… Tourne toi

Je me retourne et là il dit

Joaaz : C’est criminel de ressembler autant a une personne. Même son grain de beauté tu l’a.

Davos avait lui aussi enfin compris ce qui animait son père il soupire un peu et s’en va nous laissant seul. Le vieillard me demande

Joaaz : Tu fait quoi dans la vie a part te balader comme une paresseuse fillette!

Chloé : Je suis une expert comptable et je ne me balade pas le vieux arrête de m'insulter.

Joaaz : Tu te balade à cet heure tu devrais être à l’entreprise entrain de faire quelque chose d’utiles.

Chloé : Je croyais que tu ne voulais pas d’étranger…

Joaaz : Et alors c’est pas une raison…

iL va rester là a me poser des questions sur ma vie sur mon enfance. De loin Fredo observe la scène qui ne lui plaît pas. Il ira en parler à son père le frère de Davos. Ce dernier aussi s’inquiète le vieillard aurait il subitement changer d’avis ? La femme que j’avais l’impression de connaître sera envoyer en reconnaissance chez moi après le départ de Joaaz. Avec le temps je commençais à connaître les gens qui jouaient la comédie devant moi. Cette femme prénommer Rachel s’approche de moi quand je m’apprêtais à rentrer dans le pavillon. Elle parlait mon dialecte le Ewé. Un dialecte originaire du sud du Togo.

Rachel : Enfin j’ai l’occasion de parler avec toi Chloé.

Chloé : Comment se fait il que vous parler ma langue

Rachel : Parce que je suis togolaise Chloé. Cela m’étonne que tu ne sache pas qui je suis mais bon.

Chloé : Je suis censé vous connaître ? Vous êtes trop vieille pour être la fille de ma mère. Qui êtes vous ?

Rachel : Tu ne sais vraiment pas qui je suis ma fille ?

Chloé : Non ! Je ne vous poserai pas la question si je savais madame. Et arrêter moi ce sourire hypocrite s’il vous plaît ça me déconcentre.

Rachel : Tu est vraiment la fille de ta grand-mère.. Je me présente Rachel Davos. La mère de Damien. J’ai failli devenir ta belle mère Damien ne t’a pas parlé de moi ? J’ai épouser le père de Fredo.

Chloé : Arrêter de mentir la mère de Damien est morte dans un accident de voiture avec son père.

Rachel : Je vois il m’en veut toujours. Et bien je suis vivante même si mon fils me considère morte.

Chloé : Pour qu’un fils déclare sa mère morte il en faut vraiment beaucoup. Je suis difficile avec les émotions mais ça c’est clair. Madame au-revoir.

Rachel : Il ne m’a tout juste pas pardonner d’avoir quitté son père pour mon mari actuelle c’est tout.

Chloé : Ça c’est votre version. Vous avez failli devenir ma belle mère. Je doit rentrer j’ai une folle de Rosa qui m’attend à Lomé pas besoin d’une deuxième Rosa non merci. Vous sentez les problèmes de loin.

ChloéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant