chapitre 2

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Après une heure le rapport avait finit par être envoyé, en résumé ils l'ont trouvé à plusieurs kilomètres du palais en plein dans le désert avec aucun bien matériel sur lui, les soldats ont conclu qu'il avait perdu connaissance à cause de la chaleur. L'histoire était plutôt suspect, Khaleb se dit d'abord que ça devait sûrement être un touriste, parceque le tourisme fait partie de l'une des premières sources de revenus d'Albérize puis il réalisa que si s'en était un ils auraient déjà trouvé son identité et qu'il aurait sûrement des affaires personnelles sur lui sauf... Sauf si il a été attaqué dans ce cas là l'affaire se complique car même si il avait été attaqué une simple image de lui les aurait servie à l'identifier.

Il attendit que la nuit tombe pour se rendre à l'hôpital, le sujet était encore trop frais pour être médiatisé si les journalistes le voyait entrer dans un hôpital ils voudraient sûrement connaître la cause et bien sûr découvrir la raison de son déplacement, ce n'était pas monnaie courante de voir un souverain aller dans un hôpital sans raison valable il avait un médecin personnel pour cela, et des journalistes trop envahissant n'étaient pas ce dont ils avaient besoin maintenant ils ne possédait pas assez d'informations sur l'inconnu et si cette histoire avait le malheur d'être médiatisée cela créerait un scandale aussi il ne voulait pas que son peuple pense qu'il ne sont pas en sécurité à Albérize.

Sa voiture se gara devant l'entrée d'urgence il mit une bavette puis enfila ces lunettes version aviateur. On lui avait déjà envoyé le numéro de chambre dans laquelle se trouvait leur homme . Il n'avait pas voulu se déplacer avec un garde pour ne pas éveiller les soupçons il se dirigea calmement vers la dite chambre c'était l'une des chambres les plus éloignés du troisième étage ils utilisait le plus souvent cette chambre lorsqu'un détenu était gravement blessé en prison non seulement elle était dépourvu de fenêtre mais elle possédait aussi une porte blindée avec un verrou à reconnaissance digital et elle était entièrement insonorisées empêchant ainsi toute tentative d'évasion et tout possibilité de fuite d'information.

Il utilisa sa main droite pour débloquer le verrou puis entra, à l'intérieur l'attendait le commandant de troupe qui lui avait transmis les informations un médecin sûrement celui qui avait fait le bilan de l'homme et un inspecteur il avait restreint le nombre de personnes informée.

- Bonsoir mon seigneur - dirent ils en cœur en faisant une révérence, le médecin se courba si bas qu'il crû que sa tête allait frôlé le sol carrelé.

- Bonsoir - répondit-il brièvement, il continuait de s'avancer leur signifiant de s'écarter pour qu'il puisse voir l'homme en question et c'est ce qu'ils firent - vous pouvez commencer - continua t-il en s'adressant au hommes présent dans la pièce et ce fut le médecin qui se désigna en premier en même temps c'était en quelque sorte la plus importante partie du rapport dans l'instant.

- Avant de commencer je tiens a vous annoncer qu'il s'est réveillé il y a une heure mais nous avons dû l'endormir pour des raisons que je compte vous donner dans peu de temps -

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