VII - Point de vue Gorka

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🔞 Chapitre explicite. Pour ceux qui aiment pas attendaient le chapitre suivant. Merci 🔞

Je suis allé jeter un œil au salon de tatouages d’Ash où tout me paraît en ordre. 
Vera ne donne pas de nouvelles et Lord voulait s’assurer que tout était en place. 
Je pourrais le rassurer !

Il va falloir faire tourner ce business, on en a besoin pour camoufler le fric qu’on gagne dans les ventes d’armes. Nous pourrons mettre les autres tatoueurs à bosser en attendant que mon frère sorte de prison.
Je parlerai au Près au moment venu. 

Je monte sur ma bécane et une envie soudaine me prend.

Le sourire aux lèvres, je roule avec ma Harley jusqu’à la fille qui occupe toutes mes pensées dernièrement.
 
Je ne me rassasie jamais de son regard intense ainsi que de son corps fougueux. 
Mon côté primitif ressort toujours avec elle, je me sens comme un animal affamé. 

Parfois, je la regarde dormir paisiblement, son visage calme m’apaise et chasse mes démons. Ceux qui me hantent et qui veulent me faire douter de mon présent. 
Il faut profiter du moment et c’est ce que je fais. Je veux profiter d’elle pendant le temps que cela durera entre nous.

Pandora se déplace avec grâce entre les stands de la boutique. Sa chevelure rouge me nargue pour que je la tire pour dévorer sa bouche pulpeuse. Ma queue se réveille instantanément et je n’ai pas envie de retenir ce désir qui envahit mes veines.
Je frappe à la porte, ma tigresse vient m’ouvrir avec un large sourire.

- Gorka ? On est fermé. J’étais juste en train de mettre de l'ordre dans les vêtements exposés.

- Il n'y a que toi ?

Elle me dévisagea sans comprendre.
Mon regard glisse sur sa silhouette, ses cheveux sont attachés dans un grand chignon au-dessus de sa tête, son corps couvert d’une robe à l'effigie du drapeau UK, autour de son cou une large écharpe gris foncé ainsi que des bas imitant de hautes chaussettes avec des chaussures à talons compensés.
 
Incroyable comme mon corps réagit au sien juste en le voyant.

Sans lui laisser le temps de réfléchir, je fonce sur sa bouche. Je l’aspire, la suce et la possède avec autant d’urgence comme si cela faisait des mois qu'on ne s'était pas vu. D’abord surprise, ma petite femme reste inerte mais de suite elle répond à mon baiser avec fougue. 

Ses petites mains trouvent le chemin de mes cheveux qu’elle tire, son corps se colle au mien comme un aimant.
Quand ses dents mordent ma lèvre supérieure, ses gémissements meurent dans ma bouche, mes doigts viennent attraper ses fesses pour la soulever.

- Désolé bébé, mais je pense qu’il va falloir organiser à nouveau ta boutique, me marre-je.

Elle sourit en envahissant de nouveau ma bouche. Notre désir augmente à une vitesse fulgurante, nous n’arrivons plus à nous contrôler. 

Je la couche sur la table du bureau à l’arrière de la boutique, mes mains glissent sous sa robe pour trouver ses deux mamelons durs qui s’endurcissent encore plus sous mes doigts.
 
Pandora se cambre ressentant mes caresses, je continue à tracer un chemin sur son épiderme. Quel pied de la voir ainsi offerte et à là merci de mes attentes !
Dès que mes doigts touchent sa chatte, ils ressortent humides et la respiration de mon bébé se fait erratique.
 
Si je me sentais déjà à l'étroit dans mon caleçon, en ce moment je me sens exploser. Cette femme me remplit de tentation et de volupté. 

Pour la remercier de me faire sentir si vivant, ma bouche se promène sur ses tétons en les torturant, les léchant pour ensuite venir se poser sur sa féminité dégoulinante. 
Et là, c’est un couinement intense qui m’accueille. Pandora gémit sans cesse, se tortillant d’extase en essayant de s’accrocher pour venir planter ses iris dans les miens pendant que je mange son paradis.

- Gorka, me supplie-t-elle.

Je sais qu’elle veut me sentir en elle et moi donc !
Je rêve de ça tout le temps, mais je veux prendre mon temps. Lui donner du plaisir est mon objectif ultime alors je continue. 
Je goûte chaque repli de peau, j’aspire ce bouton qui a triplé de taille sans relâche. 
Le fait de lui procurer de la satisfaction m’excite tellement que je pourrais presque jouir avec ses grognements rauques.

Je suis loin du mec qui baisait une meuf sans s’inquiéter de sa jouissance, l’important c'était de me vider de la tension sexuelle, le reste je m’en foutais. 
Tellement de fois, que j’écoutais m’appeler de connard et cela me faisait marrer. 
J’étais le parfait connard mais un dieu au pieu et elles en redemandaient toujours plus.

Un frisson me ramène à la réalité, mon bébé se contracte, je sais que son orgasme arrive. Une de ses mains s’enfonce dans mon cuir chevelu, son bassin ondule pour accélérer mon action. 
Je l’admire, la contemple dans sa transe jusqu'à ce qu’elle pousse un cri libérateur en faisant trembler son corps sur mes lèvres.

Lentement, je me relève en approchant ma bouche de la sienne, je murmure :

- T’es trop belle quand tu jouis, bébé !

Ses lèvres se pressent contre les miennes, ses jambes entourent ma taille pour que je me rapproche encore plus.
Ma queue reste à l’entrée de son sexe, elle est sensible et pour ne pas la crisper, je l’insère avec prudence après avoir mis une capote.
 
Elle est incroyablement brûlante, humide, un bien-être me saisit. 
Mes coups de reins sont contrôlés pour sentir ses parois me serrer à chaque mouvement. Je ressens des picotements arriver trop vite à mon goût pour finir ce qu’aime le plus. Baiser Pandora s’est avéré une drogue pour moi. Il me faut toujours plus.
J'accélère le rythme jusqu’à retourner sa position.

Les pieds de mon bébé flagellent quand ils touchent le sol, mais son cul cambré sous mon regard lubrique, me fait perdre la raison. Alors je la pilonne sauvagement, sortant complètement et rentrant d’un coup. 
Sa bouche ouverte me montre que le tourbillon qui m’envahit, elle le sent aussi et demande qu’à être satisfait.

Je me sens chez moi en elle. Son corps s'emboîte parfaitement avec le mien, le mien semble accro à cette peau, à cette chatte qui m'accueille avec appétit, me faisant perdre la raison.

Putain que c'est bon !

Encore quelques coups de reins et je me sens partir. Partir dans une ivresse immense, absolue.

- Jouis en moi Gorka, murmure Pandora, tournant sa tête vers moi.

C'est en fixant son regard de braise que je jouis fortement, me vidant dans ce bout de latex.

Encore quelques coups de bassin et je me laisse tomber sur son dos, caressant sa peau de ma chaleur.

Quelques secondes après, Pandora se rhabille, j'admire chacun de ses gestes délicats. 
Avec elle à mes côtés, tout semble facile.

Je suis amoureux de cette femme. De tout !
Son caractère et son putain de corps qui m'envoutent à chaque fois que mes yeux tombent dessus. 
Je la baiserai toute la nuit, toute la journée si je pouvais.

- Gorka ?! Ne me dis pas que tu en as encore envie ?!

Je lui offre mon sourire malicieux en m'approchant, je glisse mes doigts entre ses cuisses.

- Ta bouche sur mon entrejambe je dirais pas non, murmurai-je.

Les joues de mon bébé prennent feu ce qui me fait sourire. Je suis sûre qu'elle est encore mouillée et meurt d'envie de m'avoir à nouveau.

- Mais ce n'est pas le moment. On a tout le temps pour baiser, ma sublime boîte de Pandora.

Je m'éloigne en l'aidant à ranger le bureau. 
Je m'amuse à voir ses yeux fuyants, ses cuisses qui s'entrechoquent.
J'ai allumé un feu qui crépite en elle à nouveau, mais comme dit mon frère la frustration peut être bénéfique pour plus tard.

À la porte de la boutique, on s'embrasse intensément avant de se séparer. 
Je me sens tellement bien avec elle que je soupire de bien être. 
Avant que je monte sur ma bécane, je la préviens :

- N'oublie pas de faire un effort avec Aymeric ! Tu ne peux qu’être comblée à nos côtés ! 

Volupté du Désir 🔞Where stories live. Discover now