𝐋𝐢𝐥𝐢𝐭𝐡 [18 +] 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬

𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐢𝐱

Fin du chapitre neuf :

J'étais assise sur une chaise dans son bureau, en attendant qu'il entre. Ce n'était pas un grand bureau, il était sombre avec un grand bureau et un canapé près de la porte. Je ne sais pas grand-chose de lui, mais nous avons conclu une réunion parce que nous avions besoin de choses l'un de l'autre. Il était plus âgé que moi, peut-être trente ans. J'étais encore dans mes pensées quand j'ai entendu la porte s'ouvrir.

- "Bonjour Lilith." dit-il, avant de serrer ma main dans la sienne.

-"Bonjour Matteo." Il s'est assis derrière son bureau et m'a regardé.

- "Dis-moi, qu'est-ce que tu veux ?" il m'a demandé.

- "Je voudrais des armes. Je veux aussi que tu cherches quelque chose pour moi."

"Hum, et qu'est-ce que j'ai en retour ? "

-"Eh bien, j'ai de la drogue si tu veux... "

- "Oh aller, si tu veux à la fois des armes et des recherches, tu vas devoir me donner plus. "

- "Je n'ai rien d'autre, je suis désolé."

- "Eh bien, tu as toujours ton corps..." Il dit en souriant.

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Chapitre dix
Présent (France)

-" Tu sais quoi ? C'est bon, je vais le faire moi-même." Je lui ai dit avant de me lever.

- "Au revoir, Matteo."

- "Au revoir, Lilith, à bientôt." Il m'a dit avant de partir.

Je n'avais pas prévu de le revoir.

La semaine suivante a été fatigante. Je travaillais dur avec l'aide de Georgia. Nous apprenions à nous connaître. Elle apportait de la lumière dans ma vie. Elle était si gentille avec moi. Elle m'a aidé à rencontrer des gens. Je n'étais pas asser bête pour lui faire confiance mais je la respectais alors j'écoutais ses conseils.

Ma mafia devenais de plus en plus grande au fur et à mesure que le temps passait. C'était un travail difficile, moi et mes femmes devions flirter avec tous ces hommes dégoûtants et les amener chez moi et quand ils entraient, nous les frappions et les amenions au sous-sol où moi et mes hommes les torturions.

J'avais un autre projet. Je voulais savoir où il était. J'avais toujours peur de ce qu'il me ferait s'il me trouvait.

2 semaines plus tard :

- "Dis-moi où il est !" J'ai demandé avant de le frapper à la tête.

- "Tu n'as jamais entendu parler de l'Omerta ?" Il s'est presque moqué de moi.

- "Tu ne devrais pas avoir peur de lui, tu devrais avoir peur de moi." J'ai dit avec un large sourire sur mon visage.

-" J'ai le temps mais je ne suis pas vraiment une femme patiente. Alors, soit tu me le dis, soit je te brise tous les os du corps. Je traquerai ta famille. Je tuerai tous ceux que tu aimes. Je ferai de ta vie un cauchemar." Je l'ai laissé choisir.

-" Je ne peux rien te dire ! Si tu ne me tues pas, alors il le fera."

-" Tu es pathétique, tu ne me connais même pas. Mais ne t'inquiète pas, quand j'en aurai fini avec toi, tu le verras comme un ange."

-" Ace, trouve sa petite amie." Je donne l'ordre à un de mes hommes.

- "Non !" Le bâtard a hurlé.

-" Tu vas me dire où il est ?"

-" Non... Je ne peux pas, mais ne la touchez pas !" Il ose me donner un ordre.

-" Va la trouver." Je dis à Ace que je prends mon couteau préféré et que j'arrache son jean et sa chemise.

- "Maintenant c'est à mon tour de jouer."

Je lui ai coupé les orteils un par un. Ses cris ont rempli la pièce. Il y avait du sang partout.

-" Quand tu veux, tu peux me dire où il est." Je lui ai rappelé.

-" Je ne peux pas te le dire ! Il grogne de douleur.

-" D'accord, alors." Je lui arrache les ongles avec des pinces.

-" Tu ne veux toujours pas me le dire ?" Je demande calmement.

-" Non." Il chuchote. Je savais qu'il ne l'aurait pas encore fait.

-" Tu sais, il y a quelque chose que j'aime faire aux hommes pendant que je les torture. Devine ce que c'est."

-" Je ne sais pas."

-" J'aime couper vos bites et les donner à manger à mes chiens. Tu aimerais ça ?" J'ai acheté des chiens récemment, ils étaient noirs et grands et je les adorait.

-" Non ! Non ! Ok, je vais te le dire !" Il a crié comme si j'avais déjà pris sa queue. J'ai levé les yeux. Les hommes.

-" J'attends, et mes chiens ont faim..."

-" Je ne sais pas exactement où il est, mais... il te cherche. Il est en France. J'ai entendu dire qu'il a trouvé ta maison d'enfance. "

-" Putain !" J'étais baisée. Ma mère était encore dans cette maison. Et s'il l'avait tuée ? Ok, paniquer n'aidera pas.

-" Bien, je te laisse sortir, mais tu devras délivrer un message pour moi."

- "Quel message ?" Il demande

-" Le jeux ne fait que de commencer." J'ai souri.

-" C'est vraiment toi ?" Je le regarde pour avoir une confirmation. Je savais que c'était lui, mais je n'arrivais pas à y croire.

Je savais qu'il me retrouverait un jour, mais pas comme ça, pas ici. J'étais si confuse.

-"Oui, c'est moi, Lilith," a dit Lorenzo. J'avais peur de ce qu'il me ferait s'il arrivait à m'avoir. Je savais qu'il était en colère à propos de ce que j'avais fait.

Mais pour le moment, il n'y avait rien qu'il puisse faire. Bon, il n'y avait rien que je puisse faire non plus.
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