𝐋𝐢𝐥𝐢𝐭𝐡 [18 +] 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬

𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐭𝐨𝐫𝐳𝐞

Chapitre quatorze
(il y a 2 ans)

Cela fait déjà 10 mois que Lorenzo m'a kidnappée.

Chaque jour est le même. On se dispute pour tout, je commence à en avoir marre. Il baise ses putes la nuit quand je veux dormir. Je ne peux pas dormir la nuit alors je dors jusqu'à tard le matin et ça le rend furieux.

Il est 11 heures du matin maintenant. Je me dirige vers la salle de bains et me déshabille pour prendre une douche. Avant que je puisse l'atteindre, la porte s'ouvre.

- "C'est quoi ce bordel Lorenzo !" Je crie et regarde autour de moi pour attraper une serviette.

- "Il est 11 heures et tu n'es toujours pas prête?" Le bâtard demande.

- "Si tu arrêtais de baiser ces putes jusqu'à 3 heures du matin, je me réveillerais plus tôt !".

- "Oh, tu es jalouse." Je le vois sourrire.

- "Quoi ? Tout le monde ne veut pas baiser avec toi, Lorenzo." Je leve les yeux.

- "Tu ne peux pas me le cacher, Lilith. Je sais que même si tu me détestes, tu me veux quand même." Il sourit.

- "Si tu penses que je te veux, alors tu as vraiment perdu la tête.

Il bouge et marche vers moi. Oh non.

- "Non Lorenzo, arrête !" Je fais quelques pas en arrière jusqu'à ce que le mur m'arrête.

- "Tu es sûre que tu ne me veux pas ? Ou tu es juste en train de te persuader ?"

- "Je suis sûre." J'ai dit fermement mais c'est sorti comme un murmure.

Il m'a attrapé par la gorge et a poussé mon corps contre le mur alors que sa main a fermement attrapé la serviette.

- "Lorenzo." Je l'ai regardé. Je ne voulais pas qu'il me voie nue.

- "Non. Tu as dit que tu ne voulais pas de moi, alors tu vas devoir le prouver". Il sourit.

Il enlève la serviette de mon corps. Je frissonne à cause de l'air froid et de sa présence.

Il se mord les lèvres. Mon corps est petit et formé, la seule chose plus ou moins plate est mon ventre. J'ai encore des cicatrices sur le dos et les jambes.

- "Tu es si belle." Il a dit en regardant mon corps.

- "S'il te plaît Lorenzo. Je suis mal à l'aise."

- "Il n'y a pas besoin d'être mal à l'aise. Tu es à moi. Tu dois être confiante avec ton corps."

Il touche légèrement mes bras. Ça me donne des frissons. Il ne me fait pas me sentir dégoûtante ou comme si j'étais un objet sexuel. Il me fait juste sentir que je suis belle.

- "C'est toi qui as fait ça ?" Il demande en touchant mes jambes, là où sont les cicatrices.

- "Non." Je refuse d'en dire plus.

- "Elles sont belles aussi." Il me dit.

- "Tu n'as pas besoin de me mentir, Lorenzo." Elles ne sont pas aussi laides qu'avant, mais on peut toujours les voir si on regarde bien.

-"Je ne mens pas. Ça te rend différente et plus forte."

Il a commencé à toucher l'intérieur de mes jambes. Je me tortille. Mais il s'arrête, remonte ses mains jusqu'à mon ventre et attrape doucement mon sein. Je suis surprise. Je ne suis pas habituée à ça. Il se penche, approche sa bouche de mon téton et le suce. Je me force à ne pas faire de bruit. Il le mord doucement. Je sens que je devient excitée. Je ne l'ai jamais été avant.