Chapitre 21 : septième ciel

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- ok. Je vais ouvrir mon pantalon et tu peux me... enfin, si tu veux bien.

- oh que oui Rogers, crois-moi faut pas me le dire deux fois.

Steve descend alors sa fermeture éclair et comme Tony a toujours les yeux bandés, il guide sa main à l'intérieur de son boxer que le beau brun se fait un malin plaisir d'effleurer d'abord, puis de caresser ensuite, et enfin de malaxer généreusement afin de réveiller la « bête » pour de bon.

Il s'agite de plus en plus rapidement sur son membre et le frêle blond rapproche tout naturellement son cou de la bouche de Tony afin qu'il s'occupe encore plus de lui.

- mords-moi s'il te plaît, mords-moi.

Son amoureux lui mordille le cou avec plaisir et Steve se rend compte que les gémissements qu'il entend dans la pièce sont en fait les siens.

- est-ce que je peux...

Steve comprend tout de suite ce que Tony lui demande et il est évidemment partant à cent pour cent.

- oui, par contre, c'est plus pratique pour toi si je me lève je pense.

Alors que son beau brun est toujours assis sur le canapé, Steve choisit de l'embrasser langoureusement, sa langue danse ardemment avec celle de l'autre.

Puis sa bouche se faufile doucement mais sûrement à la base de son cou avant de déposer un tendre baiser sur le coin de sa mâchoire.

Steve se met finalement debout devant lui et descend son boxer sur ses chevilles avant de prendre la main de son mec pour mieux la guider sur son membre déjà bien durci par l'excitation.

- voilà, je suis prêt.

La voix du frêle blond est à peine audible, il a peur que Tony veuille faire machine arrière mais rien n'arrête le beau brun et il le prend en bouche dans la foulée, tel un mort de faim.

Les lèvres expertes de son mec sont divines sur lui, son savoir-faire ne se dément pas et il use et abuse de sa salive parce qu'il sait pertinemment que c'est ce que Steve aime.

- putain, t'as toujours aussi bon goût Rogers.

Le frêle blond se sent toujours aussi démuni face aux compliments de son amoureux qui prend le temps de faire son éloge entre deux généreux coups de langues, les joues de Steve s'empourprent, elles sont littéralement en feu.

- c'est trop bon, je vais pas tenir si tu continues... je veux... je veux te goûter aussi.

- ah oui ?

- oui... enfin... si ça te dérange pas.

- ah mais ça me dérange pas du tout Rogers ! J'en rêve même !

Un rire spontané s'échappe de la gorge de Steve, c'est fou à quel point son amoureux a le don de lui faire sentir qu'il est vraiment désiré et désirable à la fois.

Il lui vole un nouveau baiser du bout des lèvres avant de poser ses mains de chaque côté de sa taille.

- est-ce que je peux te déshabiller ?

- j'espérais justement que tu dises ça, Rogers.

Les yeux toujours bandés, Tony allonge de lui-même son dos sur le dossier du canapé avant que les doigts de Steve ne se débarrassent de son pantalon d'abord puis de son caleçon ensuite.

- attends, je reviens tout de suite !

Ni une, ni deux, Steve disparaît quelques instants dans la salle de bain avant de courir rejoindre Tony sur le canapé.

C'est la vie, pas le paradisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant