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Le soir même, Sarah demanda à Oleya de la suivre. Le repas devait se dérouler ailleurs. Oleya ne se posa pas la moindre question. Tout était différent et compliqué ici, entre le protocole et les traditions, c’était difficile de s’y retrouver. Elle ouvrit la porte et entra dans la pièce. Sarah lui dit d’attendre ici et partit. Oleya s’avança, elle n’avait jamais vue cette pièce. La décoration faisait très mille et une nuits. Il y avait des tapis brodé au sol, une très grand baie vitré, plusieurs coussins au sol. Il y avait également deux portes une, droit devant elle et une derrière les coussins. Elle était curieuse, mais pas au point de les ouvrir. Elle s’approcha des coussins et décida de s’y asseoir, il y avait une table basse assez longue. Peut-être était-ce une salle pour dîner ? Sur cette table,il y avats un livre qu’elle ne put s’empêcher de prendre dans ses mains. Elle regarda le titre de ce livre et fut stupéfaite : il était très abîmé mais il était beau. Des dorures tout autour du livre avec des mots écrit en arabe.
« Le Saint Coran », elle le posa sur la table et entendit la porte s’ouvrir. Elle se leva quand elle vit le roi entrer. Avec sa malchance, elle marcha sur le bout de sa robe et tomba en avans. Le roi se précipita et réussi à la rattraper avant qu’elle ne tombe. Il l’aida à se mettre debout mais il ne lâcha pas ses bras.

Oleya : Merci Votre Altesse.

Malik : Vous ne vous êtes pas fait mal ?

Oleya : Non pas cette fois.

Il avait les yeux plongés dans les siens, elle retira ses mains ; qu’il avait dans les siennes.

Oleya : C’est… c’est Sarah qui m’a dit de venir ici.

Malik : Oui, j’avais peur que vous refusiez de venir si l’invitation venait de moi.

Oleya fronça les sourcils.

Oleya : Pourquoi aurai-je refusé ?

Malik : Et bien, mon comportement avec vous a été très malpoli. Je comprendrais que vous ne souhaitiez plus me voir.

Elle ne savait pas quoi dire, car oui, elle avait été vexé. Mais pas au point de ne plus vouloir le voir. Elle s’assied sur un des coussins et il en fit autant. Il y eu un léger silence.

Oleya : C’est un endroit très paisible ici.

Malik sourit.

Malik : Je suis heureux que ça vous plaise, c’est mon endroit préféré également. Personne ne peut y entrer.

Oleya : Alors, pourquoi j’y suis ?

Malik : Parce que j’avais envie et vous êtes la seule à y être entré.

Oleya : Et vos autres favorites ? 

Malik : Certainement pas. Je n’ai pas confiance en elles.

Elle fut stupéfaite.

Oleya : J’ai du mal à comprendre si vous n’avez pas confiance en elles. Que font-elles encore là ?

Malik la regarda un moment.

Malik : Mon arrière grand père avais un harem à l’époque.

Elle fut stupéfaite.

Oleya : Attendez un harem, un vrai harem, avec beaucoup de femmes ?

Malik : Oui ; cette pratique m’a toujours écœurer.

Oleya : Mais avoir des favorites c’est différent pour vous ?

Malik : Oui. Enfin c’est une façon de faire autrement. Les conseillés veulent perpétuer la tradition qui était très importante pour mes ancêtres.

Oleya triturait ses doigts en baissant la tête.

Malik : Ce qui est sur c’est que j’ai trois favorites dont une que je préfère vraiment.

Elle leva légèrement ses yeux et le regarda de coté.

Malik : Mais pour la tradition, je me dois d’avoir plusieurs favorites un temps avant de sélectionner ma maîtresse officiel.

Elle se mit a sourire.

Malik : Dites-moi ce qui vous amuse ?

Oleya : Eh bien, tout à l’aire très carré et strique.

Malik : Ce n’est pas faut.

Oleya : Avez-vous des moments de folie ?

Malik : Comment cela ?

Oleya : Et bien des moments où vous lâchez prise, ou vous vous amusez vraiment ?

Il inspira.

Malik : Malheureusement non, mais j’ai des moments que je préfère à d’autres.

Oleya : Vraiment et lesquels ?

Malik : Quand je suis avec vous par exemple.

Elle baissa les yeux et se mit à rougir.

Malik : Vous être très jolie quand vous rougissez.

Oleya : Arrêté, sinon je vais vraiment devenir encore plus rouge.

Elle regarda la petite table et partit dans ses pensées.

Malik : Que ce passe-il ?

Oleya : Je me demandais pourquoi étiez-vous énerver contre moi ?

Il fut presque heurté par sa question mais il lui devait une réponse.

Malik : J’étais simplement jaloux.

Elle le regarda.

Oleya : Pardon?

Malik : Oui.

Oleya : Je ne comprends pas pourquoi ?

Malik : Et bien je n’ai pas vraiment apprécié votre proximité avec le jardinier. Et le fait d’imaginer que vous puissiez avoir une personne dans votre vie ne m’a pas plu.

Oleya : Mais vous avez plusieurs favorites, comment pouvez-vous être jaloux.

Malik : Comme je vous l’ai dit précédemment. Trois favorite, une préférée.

Les 3 Graines De Vérités Où les histoires vivent. Découvrez maintenant