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Devinez qui est covidé?
Oui c'est moi, sa va encore être la galère avec mon système immunitaire pourri sa va être compliqué.
J'espère que vous êtes tous en bonne santé. Protéger vous.
XoXo Jane





Amal : Votre Altesse, j’ai du mal à comprendre ce qu’il se passe.

Malik : Ça me parait évident.

Amal la regarda avec haine.

Amal : J’espère que vous n’allez pas la choisir. Et nous ?

Malik : Il n’y a pas de nous.

Oleya était choqué et le regarda.

Amal : Pardon ? Que vous a-t-elle dit pour que vous la préfériez soudainement.

Malik : Je l’ai toujours préféré.

Amal : Attendez vous… Enfin cette femme n’a pas l’étoffe pour être une favorite.

Malik : C’est vrai, elle a l’étoffe d’une reine.

Il la regarda avec un sourire amoureux. Oleya était à la fois choquée et touchée.
Il se mit face à elle, il prit son visage en coupe et colla ses lèvres au siennes. Sous le regard effaré d’Amal. Une fois que son chaste baiser fut terminé, il regarda Amal.

Malik : Je sais tout ce que tu as fait ! Je sais que tu es de connivence avec Raoul et  crois-moi la prison sera parfaite pour toi.

Elle eut peur.

Amal : Non je n’ai rien fait. Je ne sais pas de quoi vous parlez.

Malik s’assit sur son siège et mit Oleya sur ses genoux. Il la regarda.

Malik : Vous l’entendez ? Quelle défense trouvera t-elle ?

Amal : Vous vous trompez de personne je vous assure. J’ai toujours été correcte avec vous.

Malik : Tu devrais revoir la définition du mot correct.

Il la regarda nerveusement et Oleya le sentit se tendre.

Malik : Raoul et toi êtes des ordures. Tu crois que je ne sais pas que vous aviez tout prévu pour m’évincer du trône. Avec un mariage et un accident.

Il se mit à rire nerveusement.

Malik : Jamais, je ne me serais marié avec toi !

Amal se sentait mal entre nervosité et peur.

Amal : Et vous vous seriez marier avec une pauvre fille que vous ne tutoyez même pas !

Le roi appuya discrètement sur un bouton et plusieurs gardes arrivèrent et l’encerclèrent. Amal avait les sourcils froncés. Malik se leva et la regarda avec un sourire effrayant.

Malik : Sa s'appelle du respect. Je la respecte trop pour la tutoyer sans son accord contrairement à toi.

Il leva la main et les gardes la prirent par les bras. Oleya s’interposa.

Oleya : Attendez !

Malik la regarda étonné. Que faisait-elle ? Elle regarda les gardes et leva la main.

Oleya : Emmenez là et que je ne la revoie plus !

Elle le regarda.

Oleya : J’ai toujours rêver de dire ça.

Il l’embrassa de nouveau. Et les gardes partirent en la tirant. Elle avait beau hurler ça lui était complètement égal. Elle rejoindrait Raoul en prison. Oleya le regarda et de sa main gauche elle lui caressa la joue.

Oleya : Pourquoi avez-vous fait cela ? Vous ne saurez jamais.

Malik : Je n’ai pas besoin de savoir. Le fait que vous ayez fais un AVC m’a ouvert les yeux.

Oleya : Comment ça ?

Malik : Le passé m’importe peu aujourd’hui. Je veux construire un avenir et profitez de mon présent avec vous.

Elle baissa les yeux et se mit à rougir. Elle se mit à jouer avec le col de sa chemise.

Oleya : Et pour le vouvoiement ? C’est vrai ?

Malik : Bien-sûr.

Elle mit ses bras autour de son cou.

Oleya : Donc je dois vous autoriser à me tutoyer c’est cela ?

Il lui sourit.

Malik : En effet.

Elle approcha ses lèvres des siennes et lui murmura.

Oleya : Un baiser est-ce suffisant ?

Malik regardait ses lèvres avec une furieuse envie de les prendre.

Malik : Si tu me tente, je ne pourrais te résister.

Son cœur se mit à battre rapidement. Elle ferma les yeux et il l’embrassa. Ils entrouvrirent leurs bouches. Sa langue rencontra la sienne et se caressèrent. Elle ressentit une vibrante attirance pour lui. C’était la première fois qu’elle embrassait un homme. Et quel homme !

Oleya : Mes affaires sont réellement dans ta chambre ?

Malik : Tu ne peux pas imaginer ma joie de t’entendre me tutoyer. Et oui, tes affaires sont dans ma chambre. Je te veux près de moi.

Il avait un air plus grave.

Oleya : Pourquoi cet air grave ?

Il lui sourit.

Malik : Je veux que tu te reposes, viens avec moi. On va dans ma chambre.

Cette phrase lui fit légèrement peur. Si elle partageait sa chambre, cela voulait dire qu’elle aurait une intimité avec lui. Une intimité physique, quelque chose qu’elle n’avait jamais connu. Quand elle entra dans sa suite, elle se rappela de la première fois où elle était entrée dedans. Il l’emmena au fond et ouvrit une porte. Elle vit un grand lit, très grand lit avec des draps en coton d’Égypte. Elle avança et s’assit sur le lit. Elle toucha les draps, ils étaient si doux. Quand elle leva son regard, elle vit qu’il l’observait.
Malik : Tes affaires sont dans l’armoire juste là.

Oleya : C’est une grosse armoire pour le peu d’affaires que j’ai.

Malik : Tu devrais peut-être l’ouvrir.

Elle fronça les sourcils et se dirigea vers celle-ci. Elle l’ouvrit et fut stupéfaite. Il y avait de nombreuses robes longues, de plusieurs couleurs. Elle le regarda étonné.

Malik : J’espère que ça te plaît. Je sais que c’est ton style de vêtement.

Oleya : Merci, il ne fallait pas.

Il s’approcha d’elle.

Malik : Bien sur que si. Je veux que tu te sentes bien ici.

Il la prit dans ses bras. Elle ferma les yeux et posa sa tête sur son torse.

Malik : Maintenant, je veux que tu fasses une sieste.

Il insista et elle fini par cédé.

Les 3 Graines De Vérités Where stories live. Discover now