Dans le piège d'un mafieux

Je n'en veux pas!!!

Il est dans son bureau entrain de régler quelques affaires avec un des hommes quand un petit détail le titilla .
-???: Où sont les cargaisons d'armes? demanda-t-il intriguer.
-???: On ne nous les a pas encore envoyé
-???: Tu te fous de ma gueule, ca fait plus d'une semaine qu'il sont arrivées au port cria-t-il.
Il se leva et se dirigea vers sa fenêtre et regarda à l'horizon.
-???: Soit ils se sont foutues de ma gueule soit un petit merdeux se jouer à me voler ma marchandise
-???: Je ne pense pas que...
-???: Je ne te demande pas de penser dit-il tout en se retournant ; mais d'obéir et exécuter mes ordres est-ce si difficile à comprendre ?
Il baissa sa tête face à ces mots. Il sait que s'il le pouvait, il pourrait répliquer mais personne ne lui tient tête, lui; Jayden Cameron. Personne n'ose sauf si il veut se retrouver avec une balle sur la tête.
-Jayden : Tu iras avec les autres à côté du pont pour voir ce qu'il se manigance dit-il en sortant de son bureau sans oublier de claquer la porte bien fort pour le faire comprendre qu'il ne tolérât aucun échec. Il est déjà 7h moins le quart de l'après-midi donc il doit préparer son arrivée.
En descendant les escaliers, en direction de la cuisine, il vit Andréa ; sa nourrice depuis son plus jeune âge. Il entra et souffla d'agacement, il met ses coudes sur le bord de l' hublot et la regarda dans les yeux. Elle lui sourit, un sourire qu'il lui rend par un autre plus crispé.
-Andréa: Comment vas-tu mon enfant ?
-Jayden : Pas très bien. Aujourd'hui nous recevrons un invité très spécial dit-il avec sarcasme.
-Andréa : Qui est-ce ?
Il respira, ne pouvant pas prononcer son nom à haute voix, mais il doit le faire, il le sait, il doit le faire pour lui montrer qu'il a passé ce moment, que maintenant rien ne pourra l'atteindre.
Après quelques minutes, il osa ouvrir sa bouche et dit <<Sylvain>>.
Quand il eût prononcé ce nom, il le dit avec une telle froideur qu'il n'en revenait pas. En plus de cela, il ne voulait la répondre de la sorte, à elle, la seul personne qui est restée auprès de lui malgré tout. Quand il leva sa tête vers sa direction, il vit dans ses yeux une lueur de compassion flottait à l'intérieur de ses yeux noisettes mais finit par s'en aller trop pris par cette pitié.
Pourquoi ? Se répéta - t - il.
Pourquoi ne veulent-ils pas comprendre qu'il ne veut pas de leur pitié, il n'en veut pas, pensa - t - il en entrant dans son bureau.
Il n'en veut pas, il n'en veut pas, il n'en veut pas, il n'en veux pas!!!! dit-il en jettant tout ce qu'il se trouvait devant son bureau.
-Jayden : Je n'en veux pas!!! dit-il en aggripant ses cheveux.
Puis donna un coup de poing dans la table puis sortit dans sa villa.