Chapitre 5 : Bem-vindo (Bienvenue )

170 8 64
                                    

Nous arrivons dans un nouveau territoire, je ne suis encore jamais venue au Brésil. C'est si paradisiaque ça me donne envie d'aller dans l'eau.

Durant ces heures passées ensemble, nous n'avons pas échangé plus de cinq phrases. Par contre les regardent que nous nous sommes échangé ont été multiples.

Il n'est pas très bavard.

Avoir un père qui a consacré plus de son temps à son travail qu'à sa propre famille, m'a permis d'avoir voyager plusieurs fois dans le monde.

À mon dix-huitième anniversaire j'ai eu droit à un jet privée, pour que je puisse oublier son absence pendant la meilleure fête d'anniversaire de ma vie. Il n'a rien trouvé de mieux qu'un truc matériel.

Et après c'est moi la superficielle !

J'ai juste envie de me jeter sur ce matelas bien confortable, dormir et me réveiller des heures après sans faire de cauchemars. On ne va même pas pouvoir profiter de nos petites vacances puisque demain matin nous attaquons directement le travaille.

- Monsieur et madame Turner, il ne nous manque plus qu'un clébard et un môme pour être le stéréotype d'une famille parfaite.

- Pas de bol, je hais les deux être vivants que tu viens de présenter. Dis-je d'un ton sec.

Déjà que j'arrive à peine à me supporter moi-même, je ne m'imagine pas devoir m'occuper d'un enfant et d'un chien.

Je ne veux pas me retrouver dans un parc à ramasser des crottes.

Les enfants ça cris, ça pleure... Je ne supporterais pas. Heureusement que pendant mes années de lycée je n'ai pas surveiller ces mômes comme mes camarades pour financer leur robe de fin d'année.

- Un chat ? Non... Au moins j'aurais essayé. Souffla l'homme qui me sert de mari durant ces longues semaines en voyant mon expression de visage.

- Il n'y a donc pas de personnels dans cette maison ?

- Il faut savoir se débrouiller seul dans la vie.

J'ai plus de cinq valises comment veut-il que je me débrouille seule ? En plus avec cette manicure encore fraîche, hors de question.

- Toi ! Tu peux m'aider à les monter non ?

- J'ai conduis pendant des heures, j'espère que tu te fous de ma gueule ? Allez fais moi travailler les muscles qui se cachent derrière ce petit corps. Dit-il en prenant les deux seules valises qu'il avait emporter.

Il tourne ses talons en partant vers l'entrée de cette maison. Je lui sort mon majeur en guise de réponse.

Et moi qui croyais que c'était un gentleman.

Sous cette chaleur atroce, je retire une par une les valises que j'ai préparée la veille. Il aurait pu prendre au moins une ou deux valises pour me faciliter la tâche.

Je le déteste

Après les avoir tous fait rentrer dans la maison, je peux enfin admirer la beauté de chaque pièce. Je pars ensuite à la recherche de ma chambre, il fallait qu'il choisisse la chambre à côté de la mienne.

C'est les deux plus belles chambres soit pas idiote Iza.

- Alors la petite fille à son papa n'est pas trop épuisée après avoir montée toutes ces marches ? Me demande ce fils de chien en me voyant descendre les escaliers.

- Tant que je ne suis pas en train de ramper c'est que tout va bien.

- On a un shooting photo tout à l'heure.

The LegaciesWhere stories live. Discover now