Chapitre 18 : Boouuuhhhh

87 2 1
                                    

Izabella

Arrivée à la maison après que cette petite insolente se soit moquer de moi, je repense à la façon dont Alessio n'a pas bouger son petit doigt pour me défendre face à elle.

Il n'y a personne, les filles ne sont toujours pas rentrés de leur soirée et monsieur m'a laissé rentrer seule.

En sortant de ma douche, la sonnerie de la porte se fait entendre dans toute la maison, je me demande qui ça peut être puisque tout le monde a ses clés.

En ouvrant la porte, une dizaine d'enfants tendaient leurs petits sacs rempli de bonbons, c'était déjà la fin de soirée, leurs maquillages dégoulinait et certains n'avaient plus la force de porter les masques d'halloween.

- Doces ou um feitiço ! Hurla chacun d'entre eux.

- Un sort ! Je suis une sorcière et j'aime beaucoup les petits enfants. Hurlai-je à mon tour pour les faire peur avant de leurs claquer la porte au nez.

Une petite seconde seulement à suffit pour qu'ils puissent encore venir sonner sur cette fichue sonnerie, je n'ai pas été assez effrayante. En ouvrant la porte mes yeux s'écarquilla en la voyant devant la porte.

- Tu as dit un sort ?

- Toi ? Qu'est ce que tu fais ici ? Dis-je avec un visage rempli d'incompréhension.

Sans même m'en rendre compte, la folle furieuse m'envoie son poing en pleine gueule, je vais la tuer ! Après avoir essuyer mon sang coulant de mon nez jusqu'à ma bouche, avec le dos de ma main, j'attrape violemment les cheveux de cette dernière avant de cogner son visage contre le mur.

Très vite la maison ressemblais à un champ de bataille, jusqu'à ce qu'elle m'assomme avec un vase. A partir de ce moment, je ne capte plus rien, ma propre sœur venais de m'assommer pour faire je ne sais quoi avec mon corps inerte.

La connasse !

Cependant mon subconscient m'informe que la grosse folle est en train de traîner mon corps partout dans la maison, comme si j'étais qu'un vulgaire sac poubelle.

On dit souvent que les jumeaux sont très différents, mais dans mon cas, nous sommes vraiment identiques. De la tête au pieds, la même façon de penser, la même force physique et surtout les mêmes défauts. La rancœurs nous bouffe de jour en jour.

La rancœur est un sentiments d'amertume persistants envers cette personne qui nous a fait du mal. Elles peuvent être difficiles à surmonter, mais il est important de trouver des moyens de pardonner et de laisser aller ces sentiments pour notre propre bien-être. La fierté c'est encore pire.

***

Izabelle

- Réfléchis un peu, moi je n'ai pas la même chance que toi. Je ne pourrais jamais me faufiler dans la maison sans qu'ils puissent me voir. Dit-elle en m'embrassant.

C'est vrai, elle n'a pas tord si j'arrive à rentrer dans cette maison alors que les deux sont à l'intérieur ça va être plus compliqué que prévu. Je vais devoir m'attendre à tout.

- Et ces femmes qui travaille pour eux ? Tu m'avais dit qu'elles dorment là-bas et passe presque tout leurs temps dans cet maison. Dis-je en mettant mon t-shirt.

The LegaciesWhere stories live. Discover now