05. 𝙡𝙚 𝙘𝙪𝙡𝙤𝙩 𝙤𝙥𝙚𝙣 𝙩𝙝𝙚 𝙜𝙪𝙞𝙡𝙡𝙚𝙢𝙚𝙩

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1h03, cinq aout, Miami Beach

𝘓𝘜𝘡





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𝘗𝘢𝘳𝘥𝘰𝘯 : ce n'est pas l'oubli, ni la réconciliation.

Le pardon « efface » le ressentiment lié à l'acte négatif qui a été commis, mais ne peut effacer l'acte lui-même. Il peut simplement libérer l'offenseur et l'offensé de certaines conséquences négatives de cet acte.



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La nuit est bien noir dans cette rue. L'air chaud du mois d'août traverse la voiture depuis que j'ai baissé les vitres et que j'ai coupé le moteur.

Je patiente, qu'est-ce que j'attends ?

Je n'en sais absolument rien.

Un signe du destin peut être.

Sur la route je n'ai pas arrêter d'observer le paysage. Les énorme building, les palmiers colorées de Miami et les commerces au grandes vitres lumineuses m'ont pas mal attirées.

Cette ville est vraiment belle, des cafés au différentes ambiances, des parcs ou les gens pratique du sport, font du roller, des plages et des galléries d'art sont présents dans chaque rue.

Miami est un endroit culturellement riche, luxueux avec énormément d'activité. La ville est connue pour ses grand hôtel, ses célébrités mondialement connues, son taux de vie élever, ses plages paradisiaque.

Les personnes ici sont qualifié d'helthy, mange correctement, pratique des activités sportifs, associatifs ou culturel.

Ma petite sœur se repose sur le siège passager. Je l'ai ajusté du mieux possible pour éviter qu'elle se fasse mal. Et moi je me contente de regarder dans le vide, l'esprit encore embrumer.

Elle m'a tous raconter.

Ses mots n'arrêtent pas de tourner dans ma tête.



" Il m'a prêté son téléphone pour regarder angles friends"

" Ils m'ont dit que vous étiez amis au lycée"

" Tu savais qu'Elias connaissait Hagrid ?"

" J'ai dormi dans la chambre de Mathias, il a un panier de basket dedans."

" Tante Julia a dit que tu étais très forte"

"Hadriann m'a confié un secret"




C'est de cette manière que j'ai retracé à peu près les derniers événements depuis mon évanouissement.

Nous étions à la station essence de Corale Gabe, vers quarte/cinq heures du matin, quand mon corps m'a lâché.

Ils étaient là, ils ont dit à ma sœur que c'était eu le taxi que j'avais appeler, puis il nous ont emmené.

Ils auraient pu faire n'importe quoi de nous.

𝘽𝙡𝙖𝙘𝙠-𝘽𝙪𝙧𝙣 [ 𝙡𝙖 𝙘𝙤𝙣𝙛𝙧𝙚́𝙧𝙞𝙚 𝙈𝙤𝙧𝙖𝙫𝙚𝙠 ]Where stories live. Discover now