ROSELLA

𝐗𝐈𝐈𝐈 |𝐔𝐍𝐄 𝐏𝐇𝐎𝐓𝐎 ?

Je pense que je n'ai plus besoin de vous le dire... SPAMMEZ DE COMMENTAIRES, ÇA M'A MANQUÉ 💃🏽

Bonne lecture 🥀⭐

Z A N E   C O L E M A N 

« Lorsqu'un cœur est brisé, il est bien difficile de le réparer... »

BOUM.

— Trouvé...

Merde, Tao, le bras droit, vient de tirer, frôlant mon genou. Je retiens un grognement au fond de ma gorge, il ne faut pas que je faiblisse maintenant. Sa balle a transpercé la porte de la cabine pour frôler mon genou.

Je resserre mes bras autour d'Eva alors qu'elle crispe ses yeux et secoue la tête. Cette drogue l'a vraiment rendue toute molle. Je dois demander des analyses de sang pour savoir ce qu'elle a bien pu boire.

Je lui avais dit de ne pas venir ! Elle en fait vraiment qu'à sa tête !

Elle est froide. Glacée. Même après avoir enfilée mon pull.

— Oh ! Comme c'est mignon ! Ils se câlinent !

Je tente de sortir mon arme que j'ai coincée derrière mon dos, maintenue par ma ceinture. Eva s'accroche à mon T-shirt comme une sangsue et j'ai vraiment envie de la gifler pour m'avoir désobéis. Elle me complique la tâche pour pouvoir nous sortir de cette merde.

Une fois mon gun dans les mains, je le pointe sur Tao mais il ne cille pas. Il me défit du regard et j'ai horreur qu'on me regarde dans les yeux sans mon accord et il le sait très bien, je détiens ça de mon enfoiré de père.

Je m'approche férocement de lui avec Eva dans les bras. Elle ne m'a pas lâché. Sa prise est très serrée et je suis surpris par la force qu'elle peut exercer.

—Qu'est-ce que tu veux , putain ?!

— Je veux la fille, répond-il calmement alors que mon sang commence à chauffer. Mon chef va l'adorer !

— Tu peux te fourrer le doigt dans le cul, connard ! T'auras rien de ma part alors bouge-moi ton gros cul gras !

Ses traits se sont durcis. Il a arrêté de sourire car il vient de comprendre que je ne suis clairement pas en train de rigoler.

— La fille, répète-il d'un ton plus dur.

Mais je n'ai peur de personne. Zane n'a pas plus peur. Zane n'a plus de sentiment. Seule la colère fait partie de moi alors Tao, range moi ton autorité à deux balles, ça ne marche pas sur moi.

— T'auras. Rien. De. Moi. C'est clair comme ça ?

Il rit tandis que moi, je bouillonne. Il commence à me casser les couilles, lui aussi.