Chapitre 41 : J'ai fait ce pourquoi je suis revenu

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- Élise, appela le tordu au visage souriant d'un ton assez hautain et menaçant. Voyons pourquoi pleure tu ? Ne t'aie-je pas manquer depuis tout ce temps. Depuis notre dernière rencontre remontant il y a sept ans de cela.

Elise en sanglots dévisagea William Sparks qui souria, semblant aimer voir son cœur ; son esprit torturé. Elise répliqua alors :

- La... La ferme, comment... Comment ose tu me dire ça ! s'écria -t-elle en train de se larmoyer laissant couler quelques filets de bave sous sa bouche. Tu viens de tuer la personne auquel j'ai commencé à apprécié en cette soirée. Tu... Me l'a prît, tu me l'a retiré.

Billy riait et s'abaissa à peu près à son niveau en prenant un " air " compatissant.

- Mais... Ça veut dire que, tu n'es pas contente de me revoir ? Après toutes ces années et puis, qu'est-ce qu'il y a chez lui que tu ne trouves chez moi. Lui tout comme moi avions certaines choses en commun.

- Certainement pas, répliqua Élise d'un ton froid et enragé. Il est au plus loin de te ressembler.

- Au que si il y en a, ajouta -t-il, es-tu sûre de ne rien voir qui te frappe à l'œil, n'est-ce pas ?

- No... Non ! cria -t-elle d'injustice, je te l'interdit...

- Elise. Ne ment pas, toi même tu l'avais remarqué dès l'orque vous vous êtes rencontrer.

Elise détestait une chose dans ces paroles, le fait qu'il y ait raison refusant de se l'admettre, elle détourna le regard éclatant petit à petit en sanglots.

- Elise je t'en prie. Aller avoue le, une partie de toi en le voyant croyait que je n'étais vraiment très loin juste après ma disparition planifié. De toute façon, il n'avait pratiquement rien de nouveau, solitaire ; discret ; rejeté ; TIMBRÉ FOU TORDU ET MARGINAL !

- Arrête de dire ça c'est faux ! hurla -t-elle de profondes rage qui s'échappa de sa gorge.

- Elise ! N'hausse pas le ton, tu sais très bien que c'est la vérité. N'est-ce pas ? s'écria interloqué tournant sa tête s'adressant aux publics entier. Il se redressa drastiquement et lentement s'avançant de plus près voyant tout les espaces autour de lui défilé petit à petit. Sa main gauche sous sa poche laissant échapper un léger ricanement. Allez-y soyez franc il n'y a rien chez lui que vous voyez en moi ? interrogea -t-il d'un ton presque sarcastique, lorsque tout à coup par une force incroyablement terrifiante le cadavre du pauvre Willem Mason Ross trainer par le sol, imprégné de sang de tout son corps engloutissant complétement son apparence ne laissant que ses cheveux châtains foncé ébouriffé noyer eux-aussi par la marée.

Elise sombré par la folie et la tristesse voyait le corps du défunt transporter vers le sol comme si qu'il était tiré par des tas de fils lui étant accroché par tous son corps. Il semblait se diriger vers le tordu et qui d'un coup de redressa instinctivement dans les airs, en pleine lévitation, montrant la dépouille du pauvre garçon : offrant un spectacle horrifique aux yeux des spectateurs qui hurlaient à plein poumons, en sanglots et d'autres se mirent à se larmoyer de terreur de haine et de pétrification.

Il leur souriait avant d'hausser les épaules et de scruté attentivement le corps mort du pauvre lycéen.

- Alors qu'en dites vous ? Vous le voyez n'est-ce pas, lui et moi avons des choses en commun non c'est flagrant n'est-ce pas ? Grand de taille, cheveux longs tout comme moi TIMBRÉ FOU tou comme moi. Recouvert de sang et pour finir Willem et William...

- Non ! s'écria Jessica de fureur. Lui au moins contrairement à toi il était tout à fait normal et saint d'esprit, toi... Tu n'as rien de normal tu fais du mal aux gens ; que ce soit grand comme petit... Et sans aucune gêne, t'es qu'un monstre. T'es... T'es pas quelqu'un de normal.

Le tordu souria de plaisir et se mit à applaudir frénétiquement comme si qu'elle avait eue tout bon sur ce qu'elle disait. Il ricana.

- Jessica, tu as bien appris t'es leçons à ce que je vois je suis très heureux et ému qu'une partie de toi se souviennent de ses meilleurs moments à être le p'tit con, le rejeter ; le FOU MALADE MENTAL PERVERS SADIQUE TIMBRÉ MARGINAL ANORMAL passant longeant les couloirs de l'école primaire, répliqua -t-il avant qu'il ne tourne son regard vers celui du pauvre lycéen en lévitation recouvert de sang serrant ses joues comme un enfant avant de lui foutre une gifle et que son corps tout entier ne se relâche recroquevillé au sol comme un drap éparpillés d'une maison manière, Élise là première fût choqué et rempli de haine par ce qu'il venait de faire. Il manipulait et faisait ce qu'il voulait avec les corps de ses victimes.

" Qu'... Qu'attendez vous de nous ?" interrogea un des professeurs du lycée tremblant de ses lèvres, que faites vous ici.

- Tu compte nous faire quoi, hein ? interpella Samantha restant forte à l'extérieur mais tétanisé au plus profond d'elle-même.

- Tu compte nous tué à la Carrie au bal ? Tu comptes t'y prendre de qu'elle manière heu... Hein ? ajouta Jaden balbutiant presque.

- Dit nous pourquoi tu es revenu pour qu'elle raison valable ? intervint Céline émotionnellement furieuse, déterminée, anxieuse et terrorisé.

- J'ai tout planifier depuis le début. Je ne suis plus à ce stade de passer dans les couloirs à être observé par tous de quelconque manière : mon revois n'était que la première étape avant... Ce jour ! Ce soir. Il tourna à moitié sa tête vers la gauche ainsi que ses yeux. Elise, tu te souviens lors de notre première rencontre toi et moi. Au que oui elle s'en rappelait, lui redonnant des mauvais souvenirs de son passé trouble. Je t'avais dit quelque chose, je t'avais dit que, un jour je voudrais devenir célèbre, que l'on parle de moi dans tous les journaux du monde. Que le monde entier sache, et connaissent mon nom !
Au que oui qu'elle s'en rappelait, et jusqu'à aujourd'hui. Elise se boucha les oreilles tentant d'oublier un démon qu'elle ne pourra jamais s'échapper et oublié. Cela est inutile de boucher t'es oreilles, je sais très bien que tu t'en souviens. Je t'avais aussi dit que ça allait prendre beaucoup de temps avant d'en arriver là. Les temps changent, les gens aussi, mais moi... Je suis là ! Et je le resterai.

Après se sinistre monologue macabre la salle fût attrapa par énorme silence horrifique, stressant et angoissant les spectateurs " ne sachant pas encore ce qu'ils s'apprêtent tous à vivre.


































Soyez prêts !

Le Challenge # TOME UN : [ EN COURS ]Where stories live. Discover now