Chapitre 6- Liens

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Moi: Gabrielle?
Gabrielle: ...
Moi: Gabrieeeeeelle?
Gabrielle: ...
Moi: Gabrielle!
Gabrielle: ...
Moi: GABRIELLE!
Je continua de toquer à la porte avec ténacité... Jusqu'à ce que le bois de la porte se remplace par quelque chose de plus mou...
Masky: OUCH! T'es stupide!
Moi: Désolé j'avais pas vu que t'avais ouvert la porte. Gabrielle est là?
Masky: Ouais qu'est-ce qu'il y a de si urgent?
Moi: J-Je... Jeff.
Masky ouvrit grand ses yeux. Il se tassa pour me laisser passer et j'entre dans la chambre. Je vis que Gabrielle dormait comme un bébé dans leur lit défait. Elle respirait régulièrement et ses mains étaient en poings.
Masky: Comme tu peux le constater, elle est revenue de sa mission complètement vidée...
Will s'approcha du lit et la secoua doucement. Il lui donna un petit bisou amoureux sur le front.
Masky: Réveil toi Gab, il y a ta sœur...
Gabrielle entrouvrit ses paupières mais les referma aussitôt. Son air se renfrogna et elle mit les couvertures sur sa tête.
Gabrielle: M'en fou... Veux dormir...
Masky: C'est une urgence ma chouette s'il te plaît...
Gabrielle: Gna, gna, gna... C'est quoi l'urgenceuuuh...
Masky: L'urgence c'est Jeff...
La mention de Jeff fit l'effet de la caféine sur Gabrielle. Elle se réveilla les yeux encore endormis comme s'il ne voulait pas sortir de leur état de relaxation mais son cerveau était bien en fonction.
Gabrielle: Je suppose que... Ouais ok j'arrive.
Gabrielle et moi on communiquait qu'en se regardant depuis longtemps. Sans le savoir, depuis longtemps, on avait nos propres pouvoirs psychiques. Seulement, nous nous en rendions pas compte. Je sorti de la chambre sur le regard interrogé de Will et attendit -encore- dans le couloir. Après trois minutes et demi, Gabrielle sortie, fraîche comme une rose et bien habillée.
Gabrielle: Qu'est-ce qui s'est passé? Il t'a fait mal?
Moi: Non... Il m'a juste embrassé...
Gabrielle: JUSTE? Tu sais ce que ça fait quand une Creepypasta embrasse une autre Creepypasta?
Moi: Oui.
Gabrielle me regarda étrangement, s'attendant à ce que je répondre non.
Gabrielle: Alors tu sais qu-
Moi: Ça fait un gros total de 3 jours que je suis ici! Comment suis-je censé savoir ça hein!?
Gabrielle me regarda d'un air dubitatif et repris ses esprits. Au final, c'est vrai. Je ne suis pas ici depuis longtemps et déjà, elle me tombe dessus.
Gabrielle: Quand tu embrasses une Creepypasta et que les deux vous êtes amoureux, y a un lien qui se créer.
Moi: Parfait.
Gabrielle: T'aimes ça, savoir que t'as un lien bizarre inexplicable avec Jeff The Killer!? Mais t'es folle ou quoi? C'est le plus dangereux des meurtriers du monde!
Moi: Uno, j'ai cohabité avec une dangereuse meurtrière toute ma vie et j'en ai jamais subit les conséquences. Deuxièmement, je suis pas amoureuse du plus grand meurtrier du monde donc aucune chance qu'on est un lien bizarre inexplicable.
Gabrielle m'interrogea du regard. C'est vrai que selon mon explication, j'aurais embrassé le grand Jeff The Killer et que j'en étais pas amoureuse. Mais en y repensant, c'est lui qui m'avait embrassé. Je n'avais rien décidé moi! De toute façon, qu'est-ce que j'en avais à faire de son lien cosmique bizarre?
Gabrielle: Alors tu n'auras aucun lien...
Selon son intonation, son affirmation ressemblait beaucoup plus à une question.
Moi: J'en aurai pas de toute manière mais qu'est-ce qu'il fout ton «lien»?
Gabrielle: C'est simple, tu ressens les mêmes émotions que ton autre moitié.
Moi: Mais... Ben?
Ben? C'était d'après le journal démantibulé de Jeff le plus grand des manipulateurs. D'après Trinch, c'était moi qui m'était fait piéger dans le «Ben's Kiss Game». Nouvelle victime. Nouvelles après nouvelles. Gabrielle me regardait l'air désolé.
Gabrielle: Apparemment, si vous n'avez aucun lien, tu ressentiras pas les mêmes choses que lui. T'as qu'à trouver un moyen de lui faire ressentir quelque chose et tu verras.
Moi: M-merci...
Elle ouvrit la porte de sa chambre et retourna avec Will, à l'intérieur de la pièce. Moi, je resta dans le corridor. Qu'est-ce que je vais faire pour voir si Ben m'aime vraiment? Je descendis l'escalier qui menait au corridor du rez-de-chaussée. Je trouva Slenderman qui s'affairait dans la cuisine à faire je-ne-sais-quoi.
Moi: T'as pas vu Ben?
Slenderman: Dans le salon sur sa console -encore-.
Je pris de nouveau le couloir et déboucha sur le salon. Ben était bel et bien assis par terre en indien en train de battre des zombies à Call Of Duty 2. J'attendis qu'il finisse sa ronde pour l'approcher. Quand le dernier zombie fût tuer avec un AN-94, une mitraillette que j'aimais beaucoup dans ce jeu, je sorti de l'embrasure de la porte et entra définitivement dans la salle de séjour.
Ben: Oh, hey!
Moi: Salut, je peux jouer?
Je lui désigna d'un signe de tête la XBox. Il acquiesça et me laissa de la place sur le parquet devant l'écran. Il me donna une de ses manettes et ferma sa partie solo pour en rouvrir une en multijoueur. Il se fit une nouvelle classe de jeu.
Ben: Je vais pas te laisser de chances tu sais.
Moi: Ouh, j'ai peur! Moi non plus je te laisserai aucune chances!
Je me fis à mon tour une classe avec mon fameux AN-94 et des C4. Je pris aussi des couteaux balistiques et des Claymores, des genre de grenade qui éclatent en détectant du mouvement. Je vis que Ben me regardait ébahit que j'aille autant d'expérience dans mes choix d'armes. Duh, je m'appelle HackerKiller! La partie commença dans la map de Nuketown. On avait un total de quinze minutes pour faire le plus de points en s'entre-tuant. Je brisa la glace et fit un premier 15 points et le tuant de dos avec mes couteaux balistiques. (Très silencieux ceux-là!) On continua de jouer et chaque fois, mes points grimpaient à une vitesse hallucinante. Ceux de Ben, un peu moins mais restait qu'il était très bon et très habile avec son DSR-50, un sniper. Après les quinze minutes de mitraillage, la partie s'arrêta d'elle-même. Ben et moi regardâmes les résultats. J'avais gagnée! 195-190 pour moi! Je vis que Ben était vraiment déçu de s'être faite battre par une fille, exactement ce que je voulais. Être déçu était une émotion. Si on avait un lien, je serais aussi déçue malgré que j'aille gagnée. J'attendis, encore et encore mais j'étais toujours aussi euphorique d'avoir battu le Ben Drowned. J'étais fière de moi et aucun signe que j'étais déçue. Je n'avais donc aucun lien étrange avec Ben. Il n'était donc pas amoureux de moi. Je m'étais fait piégée dans son «Ben's Kiss Game» comme une débutante -ce que, je l'admet, je suis-. Juste pour confirmer mes soupçons, on dirait, il me regarda droit dans les yeux et me dit:
Ben: Je-je m'excuse pour tout ça mais...
Je l'interrompit en sortant précipitamment du salon, l'écran affichant que j'avais gagné...
***
*une semaine plus tard*
«Ça fait déjà 15 jours que je passe dans ce foutu manoir. Plusieurs filles me détestent en pensant que je veux leur voler Jeff mais je ne l'aime pas du tout! Il me tanne à me faire des sauts et à crier sur tout les toits à quel point il est fabuleux et magnifique. Personne ose le contredire bien sûr, car c'est LE Jeff The Killer. En général, je m'entend bien avec le clown monochrome; Laughing Jack, et l'autre gars sympathique nommé Eyeless Jack. La seule chose que je déteste chez eux c'est qu'ils ont le même nom ça me tanne un tantinet. Notre trio est inséparable. C'est vraiment bien d'avoir des amis garçons. Pas de chicanes inutiles de fillettes et surtout, les meurtres sont plus faciles. Puisque Eyeless est quand même joli et on ne remarque pas ses yeux quand il met son capuchon, on attire souvent des filles. (Qu'on tue après mais bon...) Laughing Jack par exemple je préfère ne pas trop me tenir près de lui quand il tue... C'est comment dire? Intense. Bref, cher journal démantibulé, je compte te brûler car ma vie au manoir n'est plus aussi excitante qu'au début. Ça devient redondant les missions de Slendy chaque après-midi à 15 heures. Adieu.
-Hacka»
Je déposa mon crayon et prit la petite boîte grise sur la commode. Mon ami clownesque dormait à poings fermés sur notre lit car finalement, on avait décidé de dormir dans le même lit queen. C'était plus confortable et plus rassurant. J'ouvrit délicatement la boîte et pris l'allumette restante. Je la craqua et une flamme jaillit au bout. Sa lueure jaunâtre donnait à la pièce un air lugubre. Je pris mon carnet et le plaça dans la cheminée entre quelques bûches. J'approcha l'allumette et aussitôt à bonne distance, le calepin rempli de mémoires des premières nuits et des premiers jours au manoir s'enflamma. Oui, la vie ici était rendue monotone. À part Jeff qui me tapait sur le système, rien était plus redondant que la vie au manoir de Slenderman ces temps-ci. Ah, j'oubliais: j'ai une maladie. Je suis bipolaire depuis quelques jours. Mes émotions changent aussi brusquement que Jane chiale à cause qu'elle croit que je lui vole Jeff. Je peux être vraiment heureuse mais trois secondes plus tard, j'ai envie de pleurer et je veux être seule. C'est étrange et je n'aime pas ça, c'est stressant de juste toujours penser que je ne suis jamais «heureuse». Il a toujours le monstre qui me guette, qui attend un moment de faiblesse pour me rendre dépressive. C'est un vrai cauchemar. Pour l'instant, heureusement, je suis joyeuse et j'ai le goût de tuer.
21:34
J'ai le temps pour faire les courses à la place d'Eyeless. Je lui rapporte tout le temps les reins de mes victimes pour le nourrir. Quel lâche, toujours en train de manquer de reins et de tripes à bouffer! J'enfila mon sweat blanc et pris mon couteau. Je descendis quatre à quatre l'escalier et vit que Slendy préparait encore des petits plats pour le lendemain. Je le salua et sorti pour satisfaire mes besoins en tant que Creepypasta. Je me faufila furtivement entre les arbres et attendit... À l'orée du boisé j'entendis un homme crier.
?: Je te laisse.
Une voix féminine répondit sur un ton triste.
?: Qu-quoi?
?: Tu veux que je le répètes combien de fois!? Je te laisse.
?: T-tu... Alors c'est vrai les rumeurs?
?: Ouais.
?: T-tu m'as vraiment trompé après 2 ans?!
J'entendis que la voix de la fille trembloter et ses cordes vocales lâchèrent. Pauvre elle! Se faire laisser par un gars et... Devant moi. Too bad.
?: Marika, écoute... Oublie moi.
Marika: Non mais... Je vais faire ce que je veux t'es qu-qu'un menteur! Je te hais Jérôme! Je te hais!
Jérôme: JE M'EN FOU! T'es qu'une... RAAH! Va-t-en!
Je sorti de ma cachette, bien décidé à faire regretter à ce Jérôme ses paroles blessantes.
Moi: Ou pas, si tu me permets Jérôme, je vais m'inviter.
Marika: T'es qui? Et non va-t-en!
Jérôme: M-M-Marika, f-fait moi c-con-confiance une d-dernière f-fois. COURS!
Marika ne bougea pas. Dommage, elle devrait pourtant. Bon, apparemment elle me connaît pas, je vais donc lui laisser la chance de sa vie (Hahaha, jeu de mot!). Je me présenta donc pour faire connaissance avec ce pauvre couple.
Moi: Jérôme je vois que vous me connaissez, Marika, non. Je vais donc, dans les circonstances, me présenter pour vous.
Jérôme ne bougeait pas, paralysé par la peur qui le tenaçait. Du côté de Marika, elle semblait confuse mais je crois personnellement qu'elle commençait peu à peu à comprendre.
Jérôme: M-Marika, v-vite!
Jérôme avaient les yeux grands ouverts mais refusait de bouger tant que son ex-copine ne bougerait pas. Marika le regarda droit dans les yeux et d'un ton sans merci lui répondit:
Marika: T'es une vraie mauviette. Cours Jérôme, cours si tu as si peur.
Jérôme: M-mais c-c'est—
Moi: Ouais c'est l'infâme mais modeste tueuse en série, HackerKiller.
J'avais dit cette dernière phrase avec un sourire «amical». Je vis que les yeux de Marika s'agrandirent. Un frisson la parcouru. Parfait. La peur régnait en maître sur eux. Et cette peur se nommait HackerKiller. Marika était blême ressemblant étrangement à la couleur de la peau de Jeff... Pourquoi je pense à Jeff!?
Je sorti mon couteau de sa cachette pour leur prouver que j'étais pas venu pour jouer aux cartes. Jérôme se débloqua et commença à courir. Je ne le rattrapa pas... Pour l'instant. Je m'occupa en premier de la fille paralysée par la peur. Ce fût simple, je m'approche d'elle et la contourna sans qu'elle bouge son petit doigt. Je fit glisser la lame sur son cou, lentement pour plus d'agonie. Puis voyant qu'elle peinait à respirer, je lui trancha carrément la gorge en disant ma petite phrase:
Moi: Game over.
Je sorti de ma poche arrière un petit sac en plastique refermable. Je découpa délicatement l'abdomen de "Marika" et prit son rein. Je le fourra dans le petit sac et remis le paquet ensanglanté dans ma poche arrière. Restait plus que le garçon. Je couru aussi vite que je le pouvais, c'est-à-dire extrêmement vite. J'avais beaucoup d'endurance cardio-vasculaire alors en quelques secondes, je fût devant le pauvre Jérôme. Ses cheveux se raidirent instantanément et il ferma ses yeux.
Moi: Game over.
La lame transperça sa poitrine pour atteindre son cœur en 0.2 secondes. Le corps inerte s'écroula. Je lécha le sang sur le couteau. Hmm, le goût métallique enveloppa mes papilles gustatives et me laissa un goût amer dans la bouche quand je me remis à mon travail. Je pris un deuxième petit sac de plastique destiné à Eyeless Jack. J'ouvrit les entrailles du jeune homme et empoigna son rein. Hop, dans le sac. Tandis que je rangeait le sac de plastique dans mes poches, je reçu une goutte d'eau sur la peau. Merde il va pleuvoir! Je couru de mon plus vite jusqu'au manoir de Slendy. J'esquivais avec beaucoup d'habileté les arbres et les souches. J'arriva au manoir pile-poil quand l'averse commença. Je rentra me mettre au chaud même si je n'avais aucune envie d'aller me coucher. D'ailleurs, pourquoi se coucher? J'alla à la cuisine pour faire congeler les reins que j'avais amassés pour Eyeless. Je les poussa dans le congélateur et je m'asseyais à la table. Je vit Slendy qui revenait d'en haut.
Moi: Hey! Pourquoi t'étais en haut?
Slenderman: Rah, Jeff ne voulait pas dormir.
Moi: T'es allé le border peut être?
Slenderman: Non il voulait me tuer. Je lui est donné des somnifères ils devraient faire effets dans quelques minutes.
Bon... Je monta dans ma chambre que je partageait avec L.-J. Quand j'ouvrit la porte, je vis qu'il dormait déjà comme un gros bébé. Aww, il est mignon quand il dort comme ça! Je pris un nouveau paquet d'allumettes pour rallumer le feu éteint dans la cheminée. Quand l'allumette fut alimenter par sa propre flamme, je vis qu'il restait une page qui n'avait pas brûlée. Intriguant j'étais sûre de les avoir tous fait cramées... Je la lue.
«Aujourd'hui c'était mon anniversaire. J'ai eu 17 ans. J'ai reçu un rein de la part d'Eyeless, ark! Heureusement, Laughing Jack m'a offert des bonbons qui goûtent bizarres à vrai dire mais c'est quand même bon. (C'est toujours mieux que des reins). Gabrielle et Will m'ont offert un collier en argent avec une perle rouge dessus, je le porte toujours maintenant. Snowy m'a offert un livre d'horreur et Trinch m'a donné un nouveau sweat blanc... J'aurais préféré que ce soit faux mais Jeff m'a aussi donné un cadeau. Seulement, il ne me l'a pas offert en même temps que tout le monde. Il me l'a donné il y a quelques minutes avant que je me couche. Il m'a dit «Bonne fête Hacker, bonne nuit.». Il m'a donc laissé une carte et un petit paquet. Dans la carte ça disait que j'étais sympa et tout... Et un bonne fête à la fin. Ensuite, j'ai ouvert le paquet. C'était un couteau avec une lame si fine qu'on la croyait inexistante vue de côté. Je l'adore. Le manche du couteau est même incrusté avec un minuscule flacon contenant je ne sais quoi. Ça l'air d'être liquide et c'est rouge. Peut être du sang... En tout cas, bons 17 ans à moi-même...»
Je regarda le couteau que j'avais dans ma poche... Je n'avais toujours pas su qu'est-ce que le petit flacon contenait. Ce couteau était rendu un vrai porte bonheur. Je rangea le papier froissé dans ma poche arrière et pris le livre de Snowy. Je n'avais aucune envie de dormir et les ronflements sonores de Jack m'en empêchait de toute manière. Je pris le bouquin et lu les premières phrases. Malgré que j'étais vraiment réveillée, en quelques secondes ce fût comme si quelqu'un suçait toute mon énergie. Je m'endormit aussitôt la figure dans mon livre entre deux mots...
PDV JEFF
Slenderman: Allez, bouffe!
Moi: Grrraaaaa, ok!
J'empoigna les somnifères et les fourra dans ma bouche. Les avaler fut plus facile que je ne le crut. Slenderman parti en direction de la cuisine pour finir la préparation de ses petits plats. Fallait-il vraiment qu'il me donne ces pilules!? C'est trop difficile pour lui de me laisser éveillé pour que je puisse savoir quand est-ce que HackerKiller reviendra? J'ai peur pour elle. Je sortais de prendre ma douche quand j'ai entendu ses pas silencieux sortir de sa chambre. Je m'en veux de l'avoir laisser partir! C'est la pleine lune et cette fois, elle éclaire beaucoup. Hacka pourrait se faire repérer facilement! Je m'allongea dans mon lit. Quand je suis inquiet je suis vraiment plein d'énergie. Je décida d'allumer un feu dans ma cheminée. Une allumette, du papier journal, quelques bûches. Quand je l'alluma la lumière réconfortante vint me calmer mais vraiment pas assez. Je retourna sous mes couvertes en espèrant entendre Hacka... Et si je l'avais pas entendu et qu'elle était au chaud dans son lit tandis que je m'inquiétais pour elle? Non je l'aurais sûrement entendu... Ce serait tellement plus facile si elle tombait naoureuse de moi et qu'on habitait la même chambre... Je pourrais veiller sur elle. Mes sens étaient alertes et je ne voulais toujours pas m'endormir mais comme si quelqu'un suçait mon énergie, je m'effara et je m'endormis aussitôt.

Jeff The Killer 1Where stories live. Discover now