SEXTAAP

Chapitre 17.

Point de vue de Grâce.

On arrive devant un hangar, Neel descend de la moto et moi, je ne bouge pas.
-Bon tu viens ? Me demande t-il.
-C'est quoi ce truc ? C'est ça l'endroit où tu vas quand t'es pas bien ? C'est quoi cette connerie ! Je m'énerve en descendant à mon tour de la moto et examine les alentours. On est dans un coin paumé de la ville. Il n'y a que des vieux immeubles dégueulasses et cette espèce de grange. C'est l'endroit idéal pour se faire violer, franchement.
-Viens voir au moins, et si ça te plaît pas, on partira, me dit Neel en levant les yeux au ciel.
Je lève un sourcil.
-Bon ok.
On se dirige vers le bâtiment et Neel pousse la porte.
J'entre et je vois un ring de boxe. Il y a aussi une quinzaine de punchings balls et des tapis. Neel se dirige vers un coffre et sort deux paires de gants de boxe. Il m'en envoie une.
-Tu as déjà fait de la boxe ? Me demande t-il en enfilant ses gants.
-Oui.
Il me regarde attentivement, de haut en bas, en s'attardant légèrement sur ma poitrine.
-Hum, si tu veux te changer il doit y avoir des habits oubliés dans le vestiaire.
J'acquiesce. J'entre dans le vestiaire des filles et vois une boîte en carton. Je prends un short blanc et un débardeur gris qui ont l'air plus ou moins propres. J'enlève mes chaussures et m'attache les cheveux en une queue de cheval.
Je sors ensuite du vestiaire et vais rejoindre Neel qui m'attend près d'un punching ball. Lui aussi s'est changé. Il a un jogging gris et un t shirt noir assez près du corps. Putain, qu'est ce qu'il est musclé.
Je m'avance vers lui et il se retourne pour me regarder.

Point de vue de Neel.

Grâce arrive vers moi. Je l'examine. Elle est tellement sexy putain. Je me pince la lèvre, en essayant de ne pas m'attarder sur ses courbes généreuses.
-Neel, je sais que je suis belle, mais arrête de me regarder comme ça, tu vas finir par tomber amoureux, murmure t-elle en s'avançant vers moi.
Je lève mes yeux et plonge mon regard dans le sien. Un petit sourire se forme sur mes lèvres.
-Jamais, je chuchote.
Elle sourit et ses yeux pétillent. Et mon dieu, qu'est ce que j'ai envie de l'embrasser quand elle me répond :
-Il ne faut jamais dire "jamais".

[Coucouuuu ! Alors déjà, désolée si j'ai été longue. Plusieurs ont dit comme quoi j'avais arrêté l'histoire. Mais non. Si je devais l'arrêter un jour, vous seriez prévenus. Mais il faut comprendre que j'ai une vie, comme vous.
Sinon, j'espère que ce chapitre vous plaira, et je vais essayer de faire des parties un peu plus longues.
Le prochain chapitre sera posté le plus vite possible ! /!\
Bisous !
Et merci d'être aussi nombreux à lire mon histoire. MERCI !]