Chapitre 19.

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Point de vue de Neel.

Elle est collée contre le mur, son regard plongé dans le mien. Et je suis contre elle.
-Laisse moi maintenant, murmure t-elle sans pour autant essayer de partir.
-Tu me rends fou Grâce. Putain, tu me rends fou... Alors que je m'apprête à l'embrasser, elle me pousse doucement et va s'assoir sur un banc du vestiaire.
-Hum, Neel, pourrais tu quitter les lieux ? Je te rappelle que tu es dans les vestiaires des filles, dit-elle avec un sourire en coin.
-Hm, nan, je suis bien là, dis-je en fermant la porte du vestiaire à clef. Grâce ouvre de grands yeux.
-Euh, pourquoi tu fermes ?
-Pourquoi pas ? Dis-je en m'approchant d'elle avec les regard pétillant. Et sans qu'elle n'ait eu le temps de dire un mot, je l'attrape, la mets sur mon épaule et me dirige vers une douche.
-Neel, la tête du pape que si tu fais ça je te nique !
-Oh mais je n'attends que ça bébé..
Et j'appuie sur le bouton, le jet d'eau s'enclenche. Je pose Grâce, et la maintiens sous l'eau malgré ses tentatives de fuites.
-Neel putain de ta race ! Crie t-elle quand je la lâche enfin.
Et à ce moment là, je n'arrive pas à détourner mon regard de ses habits trempés, qui la rendent énormément sexy.

Point de vue de Grâce.

Je me retrouve sous l'eau, et quand Neel me laisse enfin partir, je vois que ses yeux sont posés sur mon corps. Ah comme ça je lui fais tant d'effet que ça ? Bien, très bien même.
Je viens vers lui lentement, pose mes bras derrière sa nuque, et me colle fort contre lui. Et je le regarde, le sourire aux lèvres.

Point de vue de Neel.

Elle est contre moi, sa poitrine écrasée contre mon torse. Elle sourit. Putain, qu'elle est belle. Puis, elle pose ses mains sur mon torse nu, et commence à me griffer doucement. Ses doigts se promènent sur mon torse, puis, descendent jusqu'à mon V, et elle se met à genoux. Je me mords la lèvre, et respire bruyamment. Ses mains touchent les coutures de mon caleçon. Elle embrasse mon V une fois, puis deux, et trois, avant de descendre légèrement mon caleçon et mon jogging. Puis, elle se relève et me sourit.
-Désolée, chéri, je mets que de la nourriture dans ma bouche. Et sur ses mots, elle tourne la clef, ouvre la porte, et sort du vestiaire.

[NON JE N'AI PAS ARRÊTÉ L'HISTOIRE ! Pas de panique, me revoilà plus en forme que jamais, après quelques mois douloureux, je ne vous lâche pas ! Et merci pour tous vos commentaires, vraiment, merci!]

SEXTAAPWhere stories live. Discover now