Recueil de fanfictions ( Junjou Romantica et Sekaiichi Hatsukoi )

Le timide et le lapin.

PDV Akihiko :

Le Dimanche, nous nous baladons dans tout Londres. Je connais déjà cette ville par coeur et, seul, j'aurai été nostalgique mai j'aurais vite voulu rentrer...Seulement aujourd'hui je suis avec Misaki et j'aimerai rallonger le temps pour qu'il aborde à jamais son sourire enjôleur. Mais malgré la merveilleuse journée que nous passions, mon petit ange semblait perturbé. Comme si quelque chose le bloquait. Ce n'était pas le fait que je prenne sa main en public puisqu'il lui-même parfois me tirait vers lui pour jeter un oeil à quelque chose que j'aurai déjà vu des centaines de fois avant lui. Ce n'est pas non plus parce que je l'ai embrassé dans un magasin alors qu'il y avait foule. Il a rougit puis a détourné la tête gêné mais le monde avait semblé disparaître totalement quand nous nous étions embrassés. Peut-être était-ce juste mon impression personnel et que c'était différent de son point de vue ? Je ne l'espère pas. Mais alors qu'est-ce qui le perturbe autant ?

-Misaki ? demandé-je alors qu'il regardait des tasses dans un magasin de souvenirs.

-Oui Usagi-san ?

Il ne me regarde même pas, bien trop concentré sur la tasse avec le Big Ben qu'il tient entre ses mains.

-Qu'est-ce que tu as aujourd'hui ?

-Qu-quoi ?! Mais rien du tout !

Il ne me regarde toujours pas mais fronce légèrement les sourcils dans une mine inquiéte, tout à fait adorable.

-Menteur.

Je ne dis plus rien d'autre, lui non plus. Enfin...5 minutes à peine, il me prend par la cravate et m'embrasse. Je restai stoïque un instant, surpris, ne comprenant pas ce qu'il venait de se passer.

-Tu vois ! Moi aussi je peux le faire ! C'est parce que...des fois tu t'inquiètes que mes sentiments ne sont pas partagés mais ce n'est pas parce que je ne...le dis pas, qu'ils ne le sont pas...J'ai juste besoin de temps pour te le dire...

Mon Misaki, toujours là pour comprendre mes hésitations et mes doutes, toujours aussi inquiet, toujours aussi attentif, toujours aussi adorable.

-Je t'aime, ne peux-je m'empêcher de dire.

-Baka, ne dis pas des choses embarrassantes comme ça ici...

Je ne le voulais pas mais il se tourne vers moi et fait des yeux semblables à ceux du chat potté et presque sur le point de pleurer.

-S'il te plait...

C'est le seul qui arrive à faire battre mon coeur ainsi...Même Takahiro n'a jamais réussi à autant me faire sentir comme un roi. Oui, un roi. Parce que Misaki est tellement cher à mes yeux que, tant que je l'aurai à mes côtés, je pourrai tout affronter. Je ne reculerai devant rien, n'y personne ! Personne ne me séparera de mon trésor le plus cher ! Je le pris soudainement dans mes bras.

-Je te promets que je vais te prendre tout la nuit, chuchoté-je dans l'oreille alors que je sentais sa température augmenter à travers sa peau.

Ça m'excite de savoir de savoir que je le mets dans cet état avec si peu de mots.

-Baka.

Même sur ce surnom qui m'énervait au début est précieux pour moi. Il le dit à chaque fois qu'il est gêné ou qu'il ne sait pas quoi répondre et c'est putainement adorable...

A la fin de la soirée, nous décidons de faire un tour de grande roue. Nous passons par l'allée d'arbres illuminé par des guirlandes bleues. Il fait nuit et je sais que la grande roue le soir c'est magnifique. Je suis content de partager ça avec Misaki.
Quand vient notre tour, l'homme qui fait monter les passagers fait un sourire aguicheur à MON Misaki. Je le fusille du regard jusqu'à ce que notre cabinet s'envole. Je me trouve ridicule car je sais qu'il doit tirer ce sourire à tous les passagers qu'il croise car c'est son métier mais ça m'énerve quand même. Voilà autre chose qui me dépasse, je suis encore plus jaloux et gamin depuis que Misaki était avec moi. Cet idiot...Non décidément je ne peux plus m'en passer.
Soudain Misaki me prend la main et détourne la tête.

-Usagi-san...Tu es trop jaloux, tu ne la peux être même pas remarquer mais l'homme que tu fusillais du regard était entrain de flipper ! Tu es vraiment effrayant quand il s'agit de moi...Deplus il avait la bague au doigt et je me doute qu'il s'intéresse à moi...Il faisait juste son métier.

Ça aussi il l'a remarqué...Putain, je l'aime.

-C'est parce que je t'aime. Je ne peux pas m'empêcher d'être jaloux de tout ceux qui sont trop près de toi ou qui te regarde trop. C'est de ta faute si tu es adorable.

-Arrêtes de dire que je suis adorable !

-Je dis juste la vérité.

-Baka...

Nous arrivons en haut et des étoiles apparaissent dans les yeux de Misaki quand il profite de la vue sur la ville. C'est vrai que c'est beau mais comparé ce sourire et ces yeux envoûtants, je préfère le miracle à côté de moi.

-Usagi-san enfaite je voulais te dire...

-Hum ?

Il baisse la tête et un mauvais pressentiment me prend. Que va-t-il m'annoncer ?

-Je...

Il quoi ?!

-Je t'ai-...

Soudain la cabine se bloque.

-Quoi ? Que se passe-t-il ? se plaignent les autres passagers.

Heureusement j'ai entendu, la fin de la phrase de Misaki et je suis bien content que la machine s'arrête.

-Misaki...

-Je...euh...Usagi-san ?!

Je m'approche dangereusement de ses lèvres et lui vole un baiser féroce.

-Désolé Misaki, mais finalement je ne peux pas attendre que l'on rentre. Je dois me vider.

-Quoi ?! Tu veux le faire....ici...

Le dernier mot n'est qu'un souffle accompagné de rougissements très poussés. Je caresse son pantalon et il comprend vite la réponse. Une bosse se forme aussitôt. Il me rend fou à être toujours aussi satisfaisant.

-Tu...Tu es sur ? Usagi-san ?!...Et si, et si on m'entendait ou que la machine recommence à tourner ?!

Il a raison. Il n'y a que moi qui ai le droit d'entendre ses gémissement mais la je ne peux plus me retenir, tant pis si on nous voit.

-Fais le moins de bruits possible alors.

-Usagi-san...

Sa voix est teinté de désir et il ne semble même pas s'en rendre compte. Je lui défais la ceinture et baisse rapidement son pantalon, je le retourne sur le ventre et commence à lécher cet anneau de chair que je désire tant. Il couvre sa bouche de sa main pour se retenir de gémir. J'enfonce un premier doigt après une minute. Il se courbe légèrement. J'adorerais qu'il soit nu à cet instant car rien n'est plus beau que son dos quand il se courbe mais on ne peut pas tout avoir pensais-je tristement. J'enfonce un deuxième doigt. Il était prêt mais je vais continuer encore un peu pour le plaisir.

Après quelques minutes, j'arrête et défait ma ceinture. Je me place à son entre et rentre mon gland. J'attends. Quand il bouge les hanches inconsciemment, je rentre délicatement jusqu'à y être en entier. C'est si bon ! Je fais des vas-et-vients lents au début puis de plus en plus rapidement jusqu'à être très brutal. Quand je sens que l'orgasme vient, je le retourne, le plaque contre la banquette et donne un grand coup de reins en l'embrassant. Il étouffe son cri dans ma bouche alors que je me répands en lui.

-Je t'aime Misaki...

-Ba...ka...

Il reprend sa respiration petit à petit. A ce moment, le manège se remet en route. Je me retire alors qu'il se presse pour se r'habiller ce qui me fait rire.
A la sortie, je lance un regard victorieux à l'employer qui tremble devant moi. Je pars en prenant la main de Misaki fièrement.

-Petit joueur..., me souffle Misaki en rougissant.

-Toujours quand il s'agit de toi.

Je l'embrasse sur la joue et on rentre là où j'accomplis ma promesse avec joie.

Fin 💘

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