La famille oubliée Tome 1

28. le temps avance vite . . .

Severus réfléchissait à la proposition que lui avait fait son ancien maître : venger sa fille en attaquant la maison des Weasley.
D'un côté sa fille serait vengé et le jeune Weasley ne s'attaquera plus jamais à sa fille. Car comme serveurs s'en doutait, cette situation devait être dur pour Héloïse puisque comme tout le monde le savait, Hermione aimait Ron. Cela avait du être encore plus dure pour elle. Mais Severus aurait tellement voulu être à ses côtés, il l'aurait réconforté et aidé à avancer, à oublier. Mais toujours prisonnier de Voldemort, il ne pouvait rien faire.

D' un autre côté, il ne pouvait pas accepter la proposition de Voldemort. Il ne voulait pas redevenir un mangemorts. De plus ses enfants verraient cela comme une trahison, et ayant déjà été trahi par le passé, ils perdraient toute la confiance qu'il avaient en d'autres, se disant que comme leur père les a trahi, d'autres personne insignifiante pouvaient très bien le faire aussi.
Alors pour cette raison, Severus refusa la proposition de Voldemort.

Il se retrouvait donc une nouvelle fois là, dans son bureau à finir la traduction du grimoire de Merlin dont il ne lui restait plus que deux jours pour finir.

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Comme l'avait dit Dumbledore la veille, il avait contacté  les parents des agresseurs de Luna, Neville et Héloïse.
C'est comme ça que tout ce petit monde se retrouva dans la grande salle, le bureau du directeur étant trop petit pour les accueillir.

Les quinze adolescents mis en faute avaient tous la tête baissé face à leurs parents, honteux de leur conduite. Mais le pire devait surement être Ronald Weasley, car la colère de Molly était devenu légendaire après la beuglante de deuxième année. Ron se faisait donc le plus petit possible, face à sa mère empli d'une colère sans non contre lui.

La réunion dura un peu plus d'une heure, Dumbledore commença par expliquer la situation et ce qui leur été accusés, puis ensemble ils décidèrent d'une punition adapté : un mois d'exclusion et un sursis de renvoi après leur retour.

Et le soir même, quand Fred et George debarquèrent dans le château de poudlard afin d'échapper à la colère de leur mère, on pue presque plaindre le pauvre Ronald qui comme on dit "s'en prenait plein la gueule".

Pour Héloïse et Draco tout allé bien, ils s' aimaient et n'hésitez pas à le faire voir, même en public, ce qui faisait souvent rire Aurélien d'ailleurs.
Mais seulement deux jours après la beuglante qu'avait envoyé Harry, une seconde lettre rouge fis son entrée, se déposant cette fois ci non devant le directeur mais devant Draco Malfoy . . .

<< - DRACO LUCIUS MALFOY ! COMMENT AS-TU OSÉ DÉSHONORÉ LA FAMILLE DE CETTE MANIÈRE ! Résonnait la voix de Mme Malfoy dans toute la grande salle. COMMENT PEUT TU T'AFFICHER AVEC CETTE SALE SANG-IMPURE ! C'EST INDIGNE D'UN MALFOY ! JE TE PRÉVIENS, SI TU NE LA QUITTE PAS SUR LE CHAMP, JE TE DÉSHÉRITES ! ET TON PÈRE EST DE MON AVIS N'EST CE PAS LUCIUS ?!

- heu. . . Oui, oui, mon amour, comme tu veux.

- TU ENTENDS DRACO ?!? SI JAMAIS MISS PARKINSON ME DIT UNE NOUVELLE FOIS QUE TU ES TOUJOURS AVEC CETTE FILLE, NE REVIENS MÊME PLUS À LA MAISON ! TU ES DÉSHÉRITÉ ! TU NE SERA PLUS UN MALFOY ! J'espère que la raison te reviendra et que tu prendras la bonne décision. sur ce, au revoir fils. >>

Et la lettre partit en flamme.

Héloïse, assise à côté de Draco, tremblait. Elle savait que c'était la fin, Draco ne voudrais jamais perdre sa dignité de Malfoy ni son rang et encore moins pour elle, une simple fille de sang mêlé.