Prisonnière de ses bras: Un Italien Amoureux Tome 1

Chapitre 16

__ Adriano mon fils tu es enfin là : s'exclama joyeusement Rosella

__ Oui maman je suis là. Comment vas tu aujourd'hui ?  : s'enquit-il en l'étreignant

__ Très bien mon chéri

__ Bonjour madame : salua Ambre en avançant vers elle

__ Oh ma petite Ambre, tu es là ! Mais où étais-tu passé ? Je me faisais du soucis pour toi mon enfant

__ Elle était avec moi maman

__ Avec toi ?

__ Rosella ma chérie ! : s'exclama une voix enjoué dans le hall

Cindy et sa mère, Carola Lombardie, apparurent dans la seconde suivante.

__ Oh Carola, Cindy, je ne vous attendais pas  : s'étonna-t-elle en avançant vers elles

__ Oui mais c'est que j'ai appris par Cindy que tu étais malade alors je venais voir comment tu allais : s'expliqua Carola en lui baisant la joue

__ Merci de t'en inquiéter, Carola mais ce n'était rien, juste un petit malaise. Venez donc vous asseoir : dit-elle à l'endroit de la mère et la fille

__ Adriano m'a fait comprendre que tu n'étais pas en forme alors j'ai pensé à quelque chose de plus grave : déclara Cindy en lançant un regard aguicheur à l'italien lorsqu'elle fut assez proche de lui

__ En parlant de mon fils. Adriano je te présente

__ Ce n'est pas la peine maman, j'ai des choses à faire, je vous laisse : interrompit  son fils en voulant rejoindre Ambre qui s'était déjà éloigné de quelques pas

__ Mais non Adriano, ne t'en vas pas. J'ai voulu te voir la dernière fois mais tu étais occupé : minoda Cindy avec un sourire séducteur

__ Et c'est toujours le cas : répliqua-t-il froidement

__ Je me suis dit qu'on pourrait sortir ensemble de temps en temps et faire plus ample connaissance : proposa-t-elle en touchant son bras sensuellement

Une colère noire s'empara d'Ambre. Il était claire que cette femme cherchait par tous les moyens de séduire son bel italien. Elle était belle, il n'y avait pas de doute. Elle semblait peut-être superficiel mais c'était évident que sa beauté attirait les regards. Cependant Ambre ne s'en inquiéta nullement. Elle avait confiance aux sentiments d'Adriano ce qui l'énervait par contre c'était le comportement qu'elle adoptait à son égard.

__ C'est vrai, ma fille est de très bonne compagnie : renchérit Carola

__ J'en ai déjà une : dit-il en regardant Ambre

__ Quoi cette femme ? : S'indigna Cindy avec condescendance en toisant Ambre

Sentant la colère s'accroître de plus en plus, Ambre se rapprocha d'elle. Cindy Lombardie ne savait pas à qui elle s'attaquait. Ambre n'était pas de celle qui se laissait faire, elle avait prit l'habitude d'ignorer des femmes tels que les Lombardie.
Vénale et mercantile. Voilà ce qu'elles étaient. Pas besoin d'une analyse approfondie pour comprendre leur nature. Toutefois, elle ne pouvait ignorer la méprise qu'elle avait vu dans les yeux de ces femmes. Il n'était pas question qu'elle se fasse rabaisser par elles.

__ Regardez moi bien mademoiselle Lombardie. Je suis la femme qui restera à jamais gravé dans votre mémoire si vous dite un mot de plus : déclara Ambre en se plaçant face à elle

Cindy, humilié et démunie face à Ambre ne pu que rebrousser chemin.

__ Comment osez-vous parler ainsi à ma fille espèce de petite...