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Poste de police, 1h du matin





Le poste de police était plein. Plusieurs hommes menottés passaient la porte encore plus soûl faisant régnait une odeur répugnante qui faisaient boucher les nez des officiers en charge de leurs arrestation. Tous les policiers étaient mobilisé. Les barreaux était un peu espacés et contenait au moins une quinzaine d'homme. Une chaleur étouffante faisait office des lieux. Les agents ne pouvaient laissé leurs blousons réchauffer leurs corps sinon une flamme ardente habillait leurs corps en entier. Le sergent Connard était plus furieux que jamais. L'homme, moustache au niveau de la lèvre supérieur lui donnait un air sévère et le caractérisait très bien. Il regardait d'un œil mauvais chaque personne qui passait la porte du poste, les menottes tenant fermement leurs mains derrière leurs dos voûté par ma fatigue ou la douleur.

Un vieux qui passait par la route a côté du bar a entendu la bagarre qui y avait lieu et les a tout de suite informé de la situation. Le sergent était habitué à ce genre de choses mais il ne connaissait pas Dark, le propriétaire des lieux, aussi irresponsable. C'était pour lui un pur délice d'enfin mettre la main sur des idiots tels que les hommes que confectionnait ce bar qui se disait sérieux.

Anaïs et Monika étaient les dernières à entrer dans le poste. Anaïs fut mise dans une cellule avec d'autres filles alors que Monika fut conduit dans une autre salle sombre avec une chaise et une table pour seul décoration. Monika avait l'habitude de se retrouver la, elle était même une habitué du poste. Elle se fichait de ce que le sergent pouvait penser. Tôt ou tard, ses amis débarqueraient pour la faire sortir. Ce n'était qu'une question de caution. Elle se mit a l'aise sur la chaise en laissant un soupir passer a travers ses lèvres charnues légèrement gercée. La lumière pâle que diffusait la lampe suspendu au coin de la salle n' illuminait pas assez la salle pour que Monika puisse préciser la couleur du mur. Elle n'avait jamais réussi à le faire de toute manière. Pensait-elle. Une barrière en verre était devant elle et elle pouvait deviner facilement que des hommes étaient derrière cette barrière et la regardait en se disant : pourquoi se crée-t-elle toujours des problèmes. Mais elle s'en fichait. Tant qu'elle arrivait a faire payer les horreurs que répandait les soûlards de la ville, elle se sentait capable de défier le regard noir du sergent Donald Connard qui venait d'entrer dans la salle.

- Savez-vous pourquoi mes parents m'ont appelé Connard mademoiselle Clinton? Demandait d'une voix  aigu et froide le sergent.
- Sûrement parce qu'ils savaient que vous en deviendrait un. Répondit avec dédain la jeune femme sans sourciller.
- Et savez-vous pourquoi je suis un Connard ? Redemanda le sergent en articula mot pour mot les mots de sa phrase pour bien faire comprendre qu'il jouait pas.

Monika l'analysa. Il semblait toujours le même. Froid, impassible. Il ne montrait ni sa colère ni sa haine, ni sa joie. Mais il suffisait de regarder ces yeux. Les yeux reflétaient l'État de l'âme d'une personne. Les différents couleurs qn'elles prennent suffisent a juger l'apparence d'une personne. Et Monika était douée à ce jeu. Elle savait reconnaître quand ses propos blessaient, rendait heureux, ou paralysaient quelqu'un. Le sergent n'était pas un homme simple a cerner et il devait bien son nom a sa façon d'être. Un connard de premier ordre. Pensait Monika en ne cachant pas la haine qu'elle vouait a l'homme devant elle. Elle prit son temps, rendant plus furieux l'homme devant elle qui le regardait avec des yeux noirs de colères.

- Parce que rien qu'en vous voyant le mot qui nous vient aux lèvres cher monsieur, c'est Connard sergent Connard. Articula à son tour Monika.
- Vous êtes biens impolie. Il faudrait qu'on vous dresse.

Un éclat de rire mauvais s'échappa de la bouche de Monika qui fusionna du regard le sergent qui avait les mains dans ses poches. On pouvait apercevoir le gonflement que faisait ses poings serré. Monika eut un sourire moqueur en coin en se rendant compte que le sergent ne la supportait pas. C'était là un moyen de le faire sortir de ses gons mais en même temps de le gonflait de colère. La jeune fille trouvait un malin plaisir a rendre furieux le sergent au cheveux noir corbeau. On aurait dit un gangster en regardant de plus près.

Les Couleurs De La HaineWhere stories live. Discover now