Les Couleurs De La Haine

6~Peterson...

"Demeure Peterson" #lundi 7mars 2022#

Les assiettes étaient fièrement dressée sur la table bordait de serviette blanche, et une vase de fleur au milieu laissant échapper une odeur accueillante à la salle. Des meubles trônaient de part et d'autre du  luxueux salon, grand tout en longueur et en largeur. Les murs peintes d'un bleu pâle donnait un côté charmant à la salle. Une table basse était installé entre les fauteuils formant un L et sur celle-ci, il y'avait aussi une vase de rose rouge. Un tapis blanc poilus au pieds de chaque patte de la table complétait le tout.

Un grand buffet était installé dans un coin de la salle, d'où était installé dessus des trophées : des médailles de bronze, d'argent et d'or. Une coupe en or, un Gans en argent, un ballon d'or mais aussi des photos d'homme habillés en soldat. Des photos de famille et des photos de nature. Un écran plat a côté du buffet occupé une espace importante du mur. Un peu plus loin des escaliers menaient aux différents chambres des hôtes de la demeure. En longeant le couloir qui détermine la sortie du salon, on arrive a la cuisine d'où une odeur appétissante règne. Des servantes habillé d'une uniforme blanc beige s'activaient à préparer le petit déjeuner de la famille Peterson. Chacune d'elle savait ce qu'elle avait à faire, et elles exécutaient les ordres avec une harmonie gracieuse. Tout ce qu'aime le maître des lieux, le redoutable Harry Peterson. Homme d'affaires et en même temps homme politique, Harry Peterson était un milliardaire qui dirigeait une entreprise d'ingénierie en bâtiment. Il possédait une chaine d'hôtel de part et d'autre du pays en entier. Il s'était mise à l'idée de devenir président et avait déjà déposé sa candidature. Les campagnes qui étaient pour bientôt étaient prises en charge par une masse de personne les uns plus expérimenté que les autres.

La famille Peterson était connue de tous dans le domaine de la bourgeoisie. Une famille aisée, plus qu'aisée. La femme de Peterson et bientôt première dame comme la prénommait la presse était une femme gracieuse, une mère affectueuse et surtout une épouse aimante. Son mari, bien que presque toujours absent, était chéri de tous les manières possibles. Leurs enfants avaient un bel avenir dressait fièrement devant eux. Deux garçons et une fille. Jason Peterson, l'aîné, 29 ans. Beau a en faire perdre la tête, Jason était un homme brave qui ne se laissait pas dicter ses envies ni ses désirs. Il avait une profonde affection' pour sa famille et surtout pour sa mère. Détestant qu'on le prenne de haut, il n'aime ni la traîtrise, ni les mensonge. Il a toujours été contre l'attitude hautaine de sa sœur mais l'aime trop au point de ne pas vouloir l'offenser. Elle n'avait que 17ans après tout. L'âge de la folie mais aussi de celle ou on veut être plis jolie et plus populaire que l'autre. Jason se rappelait de sa jeunesse: le badboy du lycée, c'est  ainsi qu'on le surnommait. Toute fille qui croisait son regard vert fantasmait sur ses yeux, son corps développé et musclé. C'était l'obsession de la plus part des filles et aujourd'hui encore il payait les frais de sa beauté. Chacune faisait le tout pour être avec le fils canon de Peterson allant même jusqu'à rusé pour y arriver. Bien que son image soit raffiné aux yeux des journalistes, Jason avait un passé obscur qui n'était connu de personne à part sa mère et son père. En faite, même eux ne connaissait pas tout a fait son histoire, il l'a préservé et caché pour l'honneur de sa famille mais aussi pour ne pas porter préjudice a la position de son géniteur. Il lui vouait une colère et une haine profonde qui lui faisait mal une fois qu'il essayait de se mêler de sa vie. Alors pour ne pas avoir a faire face  aux membres de sa famille, et pour ne pas faire de la peine a sa mère qui lui était chère, il était partit pour un autre pays dès l'âge de vingt ans. Voilà dix ans qu'il avait disparu de la circulation et que les médias ne cessait de le proclamait et essayaient de savoir où il était et pourquoi il avait quitté le pays. Mais ils finirent par se lasser et s'habituèrent a l'absence du beau Jason Peterson. La gente féminine était au bord de larme croyant que le plus beau des hommes convoité dans leur ville soit partis loin pour chercher ailleurs d'autres filles.