Lucas Hernandez : Dispute pour Noël et annonce

553 17 0
                                    

PDV de Chloé

Je m'appelle Chloé Torres (non je ne suis pas la soeur du célèbre joueur de football, Fernando Torres), j'ai 23 ans et je suis en couple avec le célèbre footballeur et champion du monde, Lucas Hernandez depuis maintenant un an environ. Ces derniers temps sont un peu compliqué entre nous deux. Lucas est de plus en plus distant avec moi. Je ne sais pas ce qu'il a ces derniers temps.

Aujourd'hui, on est le 24 décembre, le jour du réveillon, j'espère que cela va s'arranger. Lucas n'est pas encore rentrer de son entraînement mais il risque d'arriver d'ici quelques minutes. Tiens en parlant du loup, il vient d'arriver en regardant son téléphone, encore ! Un jour, il va se manger une marche, je vais rigoler tiens !

Il rentre dans la maison sans m'adresser la parole, pour changer j'ai envie de dire (notez l'irronie). J'en ai marre de cette situation qui dure depuis plus d'un mois. Je me pose pleins de question. Qu'est-ce que j'ai fais de mal ? Qu'est-ce que j'ai dit quelque chose de mal ? Est-ce qu'il m'aime encore ? Je ne sais pas.

J'en ai tellement marre de son silence que je décide de lui demander en me mettant devant lui et en lui prenant son téléphone.

Lucas : Rends-moi mon téléphone !
Moi : Non. Il faut qu'on parle.
Lucas (agacé) : Quoi ?
Moi : Est-ce que tu m'aimes encore ?

Il me regarde bizarrement avant de répondre.

Lucas : Bah oui. C'est quoi cette question ?
Moi (en haussant les épaules) : Je ne sais pas. J'ai l'impression que tu me prends pour une idiote. Tu ne me regardes plus, tu ne me parles plus ou si mais pour m'envoyer ballader, tu es toujours sur ton téléphone et tu m'ignores. (en commençant à m'énerver) Excuse-moi de douter mais ça porte à croire que tu n'as plus de sentiments pour moi. J'ai l'impression de ne plus exister depuis un mois. Est-ce que j'ai fais ou dis quelque chose de mal ? Dis-le moi je suis perdue.
Lucas : Dis pas ça. Ce n'est même pas vraie.
Moi : Si Lucas. Regardes j'ai du te prendre ton téléphone des mains pour pouvoir te parler.

J'en ai tellement marre que je pars de notre maison avant de prendre ma voiture et de me diriger chez ma meilleure amie, Elisa, en pleure. Je frappe chez elle et elle vient m'ouvrir en souriant mais range vite son sourire quand elle me vit en pleure. Elle me prit directement dans ses bras sans savoir ce que j'avais.

Elisa : Chloé, qu'est-ce qui se passe ?
Moi : Lucas et moi, on s'est disputé.
Elisa : Pourquoi ?
Moi : Tu sais , je t'avais dit qu'entre Lucas et moi, il n'y avait plus de communication.
Elisa : Oui.
Moi : Aujourd'hui, je me suis disputée avec lui à ce sujet. Il ne comprend pas que j'ai besoin de lui au quotidien et même encore plus ces prochaines années à venir.
Elisa (en fronçant les sourcils) : Qu'est-ce que tu veux dire par "ces prochaines années à venir" ?
Moi (en baissant le regard) : Je suis enciente.

Elisa me regarde avec de grands yeux avant de me sauter au coup et de me faire un câlin tout en me félécitant.

Elisa : Punaise. Félécitation ma chérie. Je suis trop contente pour toi. Depuis combien de temps ?
Moi : Depuis deux mois. Mais le problème c'est Lucas ça fait un mois qu'il ne me parle plus. Je n'ai pas pu lui dire du coup.
Elisa (en réfléchissant) : Whoa. Oui c'est un gros problème ça. (en souriant) Attend, on est le 24 décembre aujourd'hui !!
Moi : Oui et ?

Elle me regarde avec de grands yeux (toujours ses fameux grands yeux quand je ne vois pas ce qu'elle veut dire).

Elisa : Tu es sérieuse là ? Chloé réveilles-toi. On est le 24 décembre donc c'est Noël. Tu vas pouvoir lui annoncer aujourd'hui, se sera sa surprise ou cadeau comme tu veux, enfin ce soir quand vous serait que tous les deux.
Moi : On ne sera jamais que tous les deux. Sa mère débarque tout le temps à l'improvise et je suis sûre qu'elle va le faire ce soir. En plus, elle est persuadée que je lui est "volé" son fils.
Elisa : Ecoutes-moi Chloé. Personne ne peut dire que tu as volé le fils de quelqu'un. Ce que je veux dire c'est que son fils restera toujours son fils.
Moi : Ouais tu as raison mais j'aimerai tellement que l'on soit que tous les deux pour pouvoir lui annoncer.
Elisa : Je te comprends. Mmh ... Est-ce que tu as quelque chose, un ou plusieurs objet(s), pour lui annoncer ?
Moi : Oui, j'ai acheté des petits chaussons et un petit pyjama pour lui faire comprendre mais je ne sais pas si cela va fonctionner si sa mère reste.
Elisa : Sinon ce soir, tu sors dehors quand tu l'as vois arriver et tu lui expliques que jamais au grand jamais tu lui voleras son fils car se sera toujours son fils quoi qu'il arrive et que ce soir tu voudrais être en tête à tête avec Lucas car vous devez parler sérieusement tous les deux.
Moi : Je ne sais pas si elle va comprendre mais je vais quand même tenter comme on dit "qui ne tente rien n'a rien". Bon je vais te laisser, il faut que je rentre.
Elisa : D'accord. Tu m'appelles demain pour me raconter tout ça ?
Moi : D'accord ça marche. A plus tard !
Elisa : A plus tard !

Je reprends donc ma voiture et je me dirige vers chez moi. Arrivée chez moi, je vois la voiture de ma belle-mère, Py Laurence. Je rentre dans la maison qui est bien silencieuse d'un coup. Je vais dans la cuisine où je vois Lucas avec sa mère. Dans ma tête, c'est la danse de la joie !! (notez l'irronie s'il vous plaît). Moi qui voulais l'intercepter avant et bien c'est raté. Quand sa mère me voit, elle me lance un regard noir et moi, je lui réponds (pour la première fois) avec un sourire d'un aire de dire "désolée ma vielle mais tu ne m'atteinds pas". Par contre, quand je vois que Lucas est en pleure cela me brise le coeur. Quand son regard rencontre le miens, Lucas semble soulager de me voir.

Py Laurence : Qu'est-ce que tu fais ici toi ? Ça ne t'as pas suffit de briser le coeur de mon fils ?
Lucas (énervé) : Maman, arrête je t'en pris.

Whoa, pause deux minutes, Lucas vient de me défendre de sa mère pour la première fois. J'y crois pas !!

Py Laurence : Mais quoi, c'est vrai Lucas !
Lucas : Maman, s'il te plaît est-ce que tu pourrais nous laisser et arrêtais de la critiquer ?
Py Laurence : Non.
Lucas (en commençant à s'énerver) : Et pourquoi ?
Moi (en lui prenant la main et en lui chuchotant) : Calmes-toi Lucas s'il te plaît !
Lucas (toujours énervé) : Et pourquoi je devrais me calmer ?
Moi : C'est ta mère, Lucas.
Lucas (toujours énervé) : Et alors ? Je m'en fiche. Je veux qu'elle sorte de cette maison toute suite.

Py Laurence, suite aux mots de son fils, se mit à pleurer en sortant de notre maison.

Moi (énervée) : Tu es déguelasse avec ta mère, Lucas.
Lucas (énervé) : Pourquoi tu dis ça toi ?
Moi (en me calmant) : Ecoute Lucas, je t'aime et je pense que tu le sais mais c'est ta mère. Tu ne peux pas lui manquer de respect. (Lucas baisse le regard) Lucas regardes-moi. (il relève la tête) Tu aimerais que tes enfants te disent des mots blessant comme ça ?
Lucas (calmé) : Non. Tu as raison, je vais lui envoyer un message pour m'excuser.
Moi : Tu as raison, fais-le. Lucas, regardes-moi. (il me regarde) Je t'aime !
Lucas (en souriant) : Je t'aime aussi !

Sans que je m'y attende, il m'embrasse furtivement.

Lucas : Désolé de m'être éloigné de toi, je ne m'en étais pas rendu compte. Désolé !
Moi : Mmh ... Je ne sais pas si je te pardonne ? (il me fait une tête de chat botté) Mais si idiot je te pardonne. (quelques secondes plus tard) Lucas il faut que je te dise quelque chose.
Lucas (inquiêt) : Qu'est-ce qu'il a ?

Moi (en le regardant droit dans les yeux) : Tu peux m'attendre là 30 secondes s'il te plaît, il faut que j'aille chercher quelque chose ?
Lucas (perdu) : Euh ... oui.

Je vais chercher ce que j'ai prévu pour lui annoncer ma grossesse.

Moi (en lui tenant un sac) : Tiens c'est pour toi !
Lucas : Merci mais je ne le mérite pas.
Moi (en souriant) : Peut-être mais regarde avant de dire ça.

Il ouvre le sac, sort les petits chaussons et le petit pyjama que j'ai acheté, ouvre grand les yeux avant de sourire.

Lucas : Tu es enceinte ?
Moi : Oui.
Lucas : Depuis combien de temps ?
Moi : Depuis deux mois.

Il me sert dans ses bras avant de m'embrasser et de mettre sa main sur mon ventre tout en me disant ces mots qui ont fait battre mon coeur à deux mille à l'heure.

Lucas (en chuchotant) : Je t'aime comme je ne t'ai jamais aimé.

ImagineWhere stories live. Discover now