Une Nouvelle Famille Bien Particulière

Chapitre 17

PDV Charles : 

Je stressais. J'étais devant la porte du vestiaire mais je n'osais pas la pousser. Est ce qu'ils m'accueilleraient bien ou mal ? Me poseront ils beaucoup de questions ? Je commença à angoisser tout seul quand une voix me fis me retournais. 

- Bah alors Charles on a peur d'une porte ? Ludovic rigola et me fis un check. Content de te revoir petit, tu nous a manqué au dernier match. Ludovic était un terminal bien baraqué , ces cheveux étaient d'un blond cendré magnifique et ces yeux verts faisaient tombé par terre les pom-pom girl.

- Désolé, j'ai eu des soucis de cheville et le directeur voulait que je me recentre un peu sur mes études. C'était l'excuse que Daddys et Liam avaient décidé pour moi et ça m'aller. J'étais mauvais menteur mais là s'en était pas un énorme et au vu du sourire de Ludo' mon mensonge eut l'air de marcher. 

- Eh t'inquiète maintenant t'es là c'est le principal, bon faudrait qu'on se grouille si on veut pas avoir des tours de terrains en plus. Perso, je suis trop crevé pour en faire, les révisions pour le BAC me prennent tout mon temps et mes soirées. Vivement que ce truc soit finit. 

On entra dans les vestiaires et tous eurent l'air de plutôt bien prendre mon retour parmi eux. Le coach me nous fit le debrief de ceux qu'on allait faire. 

Lorsque l'entrainement commença les sensations revinrent immédiatement pour mon plus grand bonheur. Mes baskets crissaient sur le parquet lustré et le bruit des rebonds des ballons me détendirent. J'aime le hand depuis que mon père m'avait emmené voir un match pour mes cinq ans. Je n'avais pas lâché du regard les joueurs, tellement mon impression avait été forte, je n'avais pas bougé à la fin du match et mon père avait du me porter alors que je ne rêvais que d'une chose, me retrouver en bas, sur le parquet avec ceux, que maintenant je considérais comme mes idoles. 

Trois jours après j'étais inscrit au club de la ville et j'avais ensuite continué au collège et maintenant au lycée. Les étoiles dans les yeux, je rêvais d'une bourse me permettant de pratiqué mon sport à haut niveau tout en poursuivant mes études. Ce qui n'avait pas enchanté mes parents lorsque je leur avais fait par de ma volonté. 

FlashBack :  (1 ans en arrière)

Je me rongeais les ongles assis sur mon lit. Et mon stress s'intensifia lorsque j'entendis les voitures de mes parents se garaient dans l'allée. Julien m'avait poussé pour leur avoué ma décision pour mes études. Je voulais continué le hand et mes études. J'avais même trouvé une école réputé proposant ce cursus. Je rêvais de devenir professionnel puis de monté une agence d'agent pour les sportifs débutants. Leurs permettre de se lancer et de devenir les étoiles de demain. Restez à savoir si mes parents allaient me supporter dans cette voie. Et ça c'était une autre histoire, eux qui espéraient depuis ma naissance que je reprenne les rênes de leur multi-national dans la mode. 

Le bruit dans la serrure et les voix de mes parents me tirèrent de mes réflexions. 

- Chéri ? Tu es là ? me demanda ma mère que je n'avais pas vu depuis au mois deux mois. 

- Oui je suis en haut ! Je descends ! Je me précipita dans les escaliers en veillant à ne pas tomber sur les valises encore présentes dans l'entrée.

Mon père me fit une accolade et ma mère me fit des bisous tout en vérifiant que j'étais toujours le même depuis qu'elle était partie. 

- Tu as tellement grandis en deux mois ! s'exclama t-elle

- Isabelle, la sermonna gentiment mon père, il as pas bougé depuis qu'on est parti, mis à part aux niveaux des muscles, t'as bien pris des épaules dit donc.