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Keeyah.

Il tend sa main pour le récupérer mais je le repousse avec un regard lourd de sens. Je me redresse légèrement sur mes coudes et avec toute mon audace, j'ai décroché.

☎️ :

- Bonsoir Paulina.

- Oh, ce n'est pas la voix de cariño ça..
Tu pourrais me le passer s'il te plaît mujer ?

- Non, tu ne vas pas lui parler. Tu veux quoi ?

- C'est lui qui a demandé à ce que je le rappelle.
Je n'ai rien fait cette fois-ci.

Je hoche la tête en le regardant sourire.

- Tu seras mignonne d'arrêter de tourner autour
de mon mari, s'il te plaît. Nous ne sommes pas un
couple libertin. Bonne nuit, la pétasse.

☎️ : Paulina.

J'ai raccroché sans lui laisser le temps de répondre. J'ai ensuite pris la liberté de supprimer son numéro.

- Tu demandes à la petite pute qui ouvertement te dit qu'elle veut encore goûter ton goro de t'appeler ?

Il craque un rire, en tendant ses doigts vers mon visage mais je l'ai frappé, en haussant un sourcil.

- Qu'est ce que tu veux ? Que je te tabasse ?

- Ézéchiel : Pourquoi être aussi méchante avec moi ?

- Je pose les questions ici, esclave.

Il se mord nerveusement la lèvre avant de se redresser et sans que je ne le vois venir, il a attrapé mon cou pour le serrer. J'ai posé ma main sur la sienne en rigolant.

- Ézéchiel : Je vais te faire mal, continues.

Je souris malicieusement, en touchant son entrejambe.

Son esprit coquin a pris le dessus et il m'a embrassé sauf que j'ai attrapé son menton entre mes doigts pour ensuite ancré mon regard dans le sien.

- Tu diras à ta pétasse de t'appeler à n'importe quelle heure lorsque tu n'es pas avec moi ou dans ma future maison. On est clairs, cariño ?

- Ézéchiel : Oui.. On peut faire du sexe maintenant ?

Mon sourire s'agrandit et je le pousse de façon à me lever.

- Non, bonne nuit. Moi, je vais appeler Sara.

Je m'avance vers la salle de bain et il émit un long rire.

- Ézéchiel : Je suis un gros fils de pute si aujourd'hui je ne te passe pas dessus. Viens me sucer là.

- Ta mère est déjà une pute alors..

J'ai couru sur la fin de mon chemin puisqu'il s'était levé. J'ai essayé de fermer la porte mais sa force à côté de la mienne, c'était tout autre chose.

Égaux.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant