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Partie dédiée à AichaLam3,khadidjatousylla,BocarSarr8 et enfin à Princeob28.

Bonne lecture !

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Galo Thioukry :

Alissa tardait à rentrer et je commençais sérieusement à m'inquiéter. Elle n'avait plus mis les pieds dehors depuis un bon moment alors cela m'a paru bizarre qu'elle veuille sortir aujourd'hui.

J'ai pensé qu'elle voulait peut-être se changer les idées raison pour laquelle je l'ai laissée partir. Mais je me rends compte que je n'aurai pas dû ! J'ai commis une erreur monumentale.

S'il lui arrive quelque chose, je ne pourrai pas me le pardonner.

Les parents sont rentrés depuis quelques minutes et n'ont pas manqué de demander après elle. Au début, ils étaient surpris mais après ils ont pensé que c'était peut-être une très bonne chose.

Je sortis regarder dehors mais aucune ombre d'elle. Le pire c'est qu'elle a laissé son téléphone ici donc impossible de la contacter.

Je croisai sur le chemin l'imbécile qui ne faisait que sourire comme un con.

__ Wa Galo yangui fi batay? Dama yakaroone ni sah danga tak diabar. Yangui dieum mag dei fils

( Donc toi t'es toujours ici? J'ai même pensé que tu t'étais marié. Tu deviens vieux fils)

Parfois je me demande comment on a pu laisser Alissa l'épouser. Il n'a rien d'un homme.

Je voulus entrer chez moi quand il vint poser sa putain de main sur mon épaule.

Vous êtes d'accord qu'il veut se suicider?

Nous allons l'aider alors.
Ça fait un moment que je rêve de mettre mon poing dans sa gueule.

__ Pourquoi me largues-tu ainsi? Tu m'en veux toujours ? Et pourtant, je n'ai fait que l'aider. Elle ne voulait plus de ce mariage et me le montrait chaque jour. Elle aimait toujours ce cher professeur. Que voulais-tu ? Que je continue à souffrir ainsi alors que je pouvais refaire ma vie ailleurs ? Non mec, je mérite mieux. Tu sais...

Je me retournai brusquement et lui envoyai une bonne droite qui le fit tomber par terre.

Je le relevai et lui en donnai une autre. Je le frappais avec rage et cet abruti ne pouvait même pas se défendre.

À chaque fois qu'il tombait, je le relevais pour continuer mon travail.

Je n'avais pas besoin de parler, mes coups le faisaient bien.

__ Pi....pi....je....t'en....

Je lui envoyai un coup de pied dans le ventre. Il ne manqua pas de crier de douleur.

Je me baissai à son niveau. Je pris du sable et le lui fis avaler de force.

Son nez saignait, sa figure était défigurée, il ne tenait plus sur ses jambes. Seulement, je m'en moquais royalement.

Quand je fus satisfait de moi, je le laissai là-bas pour entrer dans ma maison.

Quand il voudra faire du mal à la cousine de quelqu'un, il réfléchira cent fois.

Imbécile !

Je me dirigeai rapidement dans ma salle de bain pour prendre un bon bain. Il avait réussi à me mettre dans tous mes états ce salop.

Unis par le destinWhere stories live. Discover now