La fleur sauvage

chapitre 8

Elle fît demi-tour et se pris la porte, elle était trop en colère pour avoir mis ses mains face à elle. Humilier par cela, elle refusa son aide quand il se précipita pour ouvrir la porte à sa place  ce qui l’énerva encore plus. Le roi demanda à un garde de la raccompagner. Lia n’avait pas envie de se tromper de porte. C’était déjà assez humiliant de ne rien voir, et d’avoir besoin d’aide continuellement. Nelan continua à travailler, même si il était extrêmement en colère, être rejeté par la femme qu’il aimait était quelque chose qu'il avait du mal à supporter. Son conseiller Brahim entra dans son bureau.
Brahim: Votre Altesse, nous devons absolument profiter de l’occasion pour faire une réception.
Nelan: Je ne sais pas si c’est une bonne idée. Je n’ai pas envie de l’utiliser pour que le peuple m’apprécie.

Brahim: Vôtre altesse, nous avions des menaces d’attentats il y a quelques jours à peine. Je ne vois pas où est le mal, de plus elle n’est pas obligé de le savoir que c'est pour apaisé les tentions du peuple. Faites une réception, présentez la comme votre ami et puis le tour est joué.

Nelan: Je n’en sais rien…

Brahim: Vous êtes dans votre palais, et la paix est en jeu. Elle ne risque absolument rien. Le peuple l’adore de par son histoire.

Nelan: Très bien, c’est d’accord.

Nelan continua à travailler le reste de la journée et rentra dans sa chambre extrêmement tard. Lia dormait paisiblement sur le lit, il fronça légèrement des sourcils, il lui en voulait terriblement de l’avoir rejeté. Il s’allongea près d’elle et la regarda quelques instants, elle était si belle et si… Inaccessible pour lui que cela en était  insupportable. Il s’endormi en lui tournant le dos.
Une semaine c’était écoulées de cette façon, Nelan travailler très tôt le matin. Il ne la voyait pas et il rentré très tard le soir, il dormait ensemble mais il ne la prenait pas dans ses bras. Elle avait le cœur brisée, elle ne comprenait pas son comportement mais n’allait certainement pas aller vers lui. Il n’avait pas envie d’être avec elle, il ne voulait même pas la voir dans la journée. Elle passait la plupart de son temps allongé sur le tapis à tenir fermement son bouquin. Amalia passer la journée avec elle est rapporté au roi ce qu’elle faisait de la journée. Ce qui était extrêmement triste, car malheureusement, Elle ne faisait pas grand-chose. Elle ne souriait plus, et ne faisait rien de ses journées qui était extrêmement longue. Elle avait l’impression de se retrouver seul même si Amalia essayée de lui tenir compagnie.
Nelan était dans son bureau en train de travailler nerveusement quand Amalia entra.

Nelan: Comment s’est passé la journée ?

Amelia: Très bien.

Nelan fronça des sourcils, elle mentait, il pouvait le voir dans ses yeux.

Nelan: Tu ne sais pas mentir Amalia, qu’est-ce qui se passe ?

Amalia: Je… J’ai  promis de ne rien dire.

Le roi se leva en fronçant encore plus des sourcils mais garda son calme par respect pour elle.

Nelan: Dis-le moi s’il te plaît.

Amelia: Elle ne va pas bien.

Nelan: Comment ça ?

Amelia: Elle n’a pas le moral, j’ai l’impression qu’elle n’a plus goût à rien.

Nelan se rassit sur son siège, allait-il la plaindre? Il était anéantie à l’intérieur de lui-même et malheureusement il ne pouvait s’empêcher de lui en vouloir.

Nelan: Nous serons deux dans ce cas-là.

Amalia: Non, vous ne comprenez pas ce que je veux dire par là.

Nelan la regarda, elle paraissait extrêmement inquiète.

Amalia: Elle reste allongée sur le tapis en tenant son bouquin fermement, tout le long de la journée.

Nelan: Mais, tu m’as pourtant dit que vous vous amusiez ?